Le journal électronique Hespress a procédé à un sondage sur le dynamisme de l’équipe gouvernemental de M.Benkirane , sondage auquel ont répondu plus de 93 000 lecteurs de ce journal .
La question posée au lecteur était simple : «Quel est selon vous le ministre le plus dynamique et le plus actif du gouvernement Benkirane» [/u]
Résultats du sondage :
-Saad Eddin El Othmani (PJD - Affaires Etrangères)…;……………………….........39,4% de voix
-Mustafa Lekhalfi (PJD- Information, porte parole du gouvernement)............21,6%
-Mustafa Ramid (PJD- Justice et libertés)………….…………………………….........12,75%
-Aziz Rabbah (PJD- Equipement et transport)…………………………...................8,24%
-Aziz Akhanouch (Sans parti- Agriculture et pêches)……………………………........4,44%
-Hussein Ourdi (PJD- Santé)./………………………………………………………................3%
-Mohammed Wafa (PI- Education Nationale)…………………………………….............2,22%
-Bassima Hakkaoui (PJD- Affaires sociales)……………………………………….............1,33%
Les autres ministres obtiennent chacun moins de 1% voix .
Prié de donner son avis sur les résultats de ce sondage, M.Mohamed El Ghali, professeur des Sciences Politiques à la Faculté de Droit de Marrakech précise que, même si ce sondage ne répond pas tout à fait aux « techniques scientifiques » des sondages …il livre néanmoins une tendance « intéressante » .
Pour lui, il est évident que , dans le gouvernement Benkirane « il y a ministre et ministre «
En ce sens qu’il y a des ministres qui tirent leur légitimité du Parti dés lors que l’unanimté du Parti s’est fait autour de leur noms au moment de la constitution du gouvernement (cas de El Othmani, Ramid, Lekhlifi…
et en plus, il se trouve que, intrinsèquement, ces ministres ont « une forte personnalité » .
Pour ces ministres, il a donc été facile de prendre «leur autonomie » et des initiatives….et donc de « bouger » avec aisance.
Le cas de Saad Eddine El Othmani est particulièrement édifiant : son indéniable aura et son dynamisme..ont transformé le ministère des affaires étrangères, le rendant plus transparent contrairement à ses prédécesseurs qui étaient surnommés « les empereurs du silence »
Quant aux autres ministres (ceux qui ont obtenu moins de 1%) , ils ont peu de marge de manœuvre car, pour la plupart, ils ont été choisis « par défaut » par les chefs de leurs partis …et, de ce fait, ils sont contraints de faire « profil bas » …sachant qu’ils sont redevables de leurs postes à ces chefs !
Source :
http://hespress.com/politique/54353.html
La question posée au lecteur était simple : «Quel est selon vous le ministre le plus dynamique et le plus actif du gouvernement Benkirane» [/u]
Résultats du sondage :
-Saad Eddin El Othmani (PJD - Affaires Etrangères)…;……………………….........39,4% de voix
-Mustafa Lekhalfi (PJD- Information, porte parole du gouvernement)............21,6%
-Mustafa Ramid (PJD- Justice et libertés)………….…………………………….........12,75%
-Aziz Rabbah (PJD- Equipement et transport)…………………………...................8,24%
-Aziz Akhanouch (Sans parti- Agriculture et pêches)……………………………........4,44%
-Hussein Ourdi (PJD- Santé)./………………………………………………………................3%
-Mohammed Wafa (PI- Education Nationale)…………………………………….............2,22%
-Bassima Hakkaoui (PJD- Affaires sociales)……………………………………….............1,33%
Les autres ministres obtiennent chacun moins de 1% voix .
Prié de donner son avis sur les résultats de ce sondage, M.Mohamed El Ghali, professeur des Sciences Politiques à la Faculté de Droit de Marrakech précise que, même si ce sondage ne répond pas tout à fait aux « techniques scientifiques » des sondages …il livre néanmoins une tendance « intéressante » .
Pour lui, il est évident que , dans le gouvernement Benkirane « il y a ministre et ministre «
En ce sens qu’il y a des ministres qui tirent leur légitimité du Parti dés lors que l’unanimté du Parti s’est fait autour de leur noms au moment de la constitution du gouvernement (cas de El Othmani, Ramid, Lekhlifi…
Pour ces ministres, il a donc été facile de prendre «leur autonomie » et des initiatives….et donc de « bouger » avec aisance.
Le cas de Saad Eddine El Othmani est particulièrement édifiant : son indéniable aura et son dynamisme..ont transformé le ministère des affaires étrangères, le rendant plus transparent contrairement à ses prédécesseurs qui étaient surnommés « les empereurs du silence »
Quant aux autres ministres (ceux qui ont obtenu moins de 1%) , ils ont peu de marge de manœuvre car, pour la plupart, ils ont été choisis « par défaut » par les chefs de leurs partis …et, de ce fait, ils sont contraints de faire « profil bas » …sachant qu’ils sont redevables de leurs postes à ces chefs !
Source :
http://hespress.com/politique/54353.html