Sahara, le dossier secret

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Le 6 novembre 1975 commence officiellement la Marche verte. Plus de 30 ans plus tard, grâce aux archives progressivement déclassifiées, on commence tout juste à mieux saisir la planification et les répercussions de cet événement resté sans équivalent dans le monde. TelQuel a eu accès aux mémorandums des négociations diplomatiques menées par le secrétaire d’Etat américain, Henry Kissinger, pendant la période 1974-1976. Ils apportent un éclairage nouveau sur la nature des relations maroco-algériennes, sur la psychologie des grands protagonistes de la Marche verte, et sur bien d’autres choses encore.



Les Marocains se souviendront longtemps de cette épopée glorieuse menée par quelque 350 000 volontaires issus de différentes couches sociales et représentant toutes les régions du royaume, qui ont répondu à l'appel d'entreprendre cette Marche pour libérer le Sahara du joug de l'occupant espagnol avec des “armes” pacifiques que sont le drapeau national, le Coran et l'attachement aux vertus de paix pour défendre leurs droits spoliés”. C’est en ces termes que, plus de 30 ans après les faits, la presse officielle commémore l’anniversaire de la Marche verte. C’est dire l’ampleur du succès de Hassan II, qui avait pensé aux moindres détails. Comme le chiffre de 350 000, qui est lui aussi symbolique : il représente le nombre de naissances intervenues au Maroc en 1975, soit l’équivalent de toute une génération de la jeunesse d’un pays, ce que Hassan II lui-même a appelé “la moisson solennelle que Dieu nous donne pour ramener à la patrie une terre que nous n’avions jamais oubliée”.

Guerre froide et décolonisation
En 1975, la situation du Sahara espagnol ne laisse déjà plus grand-monde indifférent. Comme dans d’autres points chauds de la planète, c’est la partition de la Guerre froide qui se joue, un risque d’effet dominos compris de tous. L’Algérie, arrimée à la fois aux Non-alignés et au bloc soviétique, a choisi le camp opposé au Maroc qui, lui, a les regards tournés vers l’Oncle Sam. A l’époque, chacun sait qu’un soutien trop visible de l’une ou l’autre grande puissance (Etats-Unis et URSS) impliquerait presque logiquement un engrenage guerrier. Ainsi, dans ses mémoires, Daniel Patrick Moynihan, représentant des USA à l'ONU pendant la crise de 1975, compare les histoires parallèles de Timor Leste et du Sahara occidental : “La Chine a soutenu le Fretilin au Timor, et a perdu. Au Sahara espagnol, la Russie a tout aussi clairement appuyé l'Algérie et son mouvement, connu sous le nom de Polisario, et a perdu. Dans les deux cas, les Etats-Unis désiraient une évolution telle qu'elle a eu lieu et ont travaillé dans ce sens”. C’est au même Moynihan que l’on doit cette boutade illustrant l’anti-bolchevisme qui règne aux Etats-Unis : “Si l’URSS prend pied au Sahara, le sable n’y suffira bientôt plus”.

Les stratégies en présence
L’heure est ainsi à l’équilibre des super-puissances, mais l’époque est aussi celle des dernières décolonisations africaines. L’Espagne a gardé un pied au Sahara. Mais dès 1965, les Nations Unies se prononcent pour la première fois sur la nécessaire décolonisation du territoire. Un an plus tard, l’ONU appelle même à la tenue d’un référendum d’autodétermination. Le temps de la présence espagnole sur le sol africain est donc désormais compté. Le Maroc, l’Algérie et la Mauritanie aiguisent leurs armes tout en suivant de près l’évolution juridique du dossier. Quand la Cour internationale de justice, saisie par le Maroc, rend un avis reconnaissant des liens d’allégeance entre les populations sahraouies et les sultans marocains, avant la colonisation espagnole, Hassan II croit tenir en main un blanc-seing. Côté algérien, on préfère insister sur la nécessité d’un référendum d’autodétermination, préconisé à la fois par l’ONU et par la CIJ. Côté mauritanien, on se contente de soutenir les revendications du Maroc sur les zones qui avaient avec le royaume des liens ethniques et historiques, et de se satisfaire de la réciprocité marocaine. Qu’à cela ne tienne, le jour même du verdict de la CIJ, Hassan II annonce, dans un discours télévisé à la nation, qu’il conduira lui-même 350 000 civils marocains, rassemblés en une Marche verte pacifique et sans armes jusqu’à Laâyoune.
.............
 
L’Espagne se retire
Au moment de la Marche verte, le général Franco est mourant. Dans la relation qu’il fait de son expérience au Sahara, André Lewin, porte-parole de l’ONU chargé d’une mission diplomatique auprès de Franco, le décrit ainsi : “Très affaibli, amaigri, la main tremblante en buvant son verre de Xérès ou en feuilletant distraitement son dossier, mais ferme encore dans ses attitudes et dans ses propos, étroitement sanglé dans son uniforme d'apparat devenu trop grand pour lui”. Et de continuer : “Je fus impressionné d'entendre cet homme, au pouvoir depuis près de quarante ans, - un pouvoir qui avait précisément pris naissance à partir des troupes stationnées à l'époque au Sahara espagnol et aux Canaries -, déclarer avec une nuance de regret dans la voix, mais avec assurance, que ‘si ces populations ne veulent plus de l'Espagne, il est clair que l'Espagne doit s'en aller’”. L’Etat de santé de Franco a sans aucun doute constitué une opportunité pour Hassan II. Même si le Caudillo s’était déjà résolu à abandonner le Sahara, l’arrivée de Juan Carlos sur le trône change complètement la donne. Il prend l’intérim dès le 30 octobre, à une semaine de la Marche verte, avant même la mort officielle de Franco. Un mois plus tard, le retrait espagnol du Sahara déjà largement entamé, le ministre des Affaires étrangères du nouveau roi est chargé de négocier avec le secrétaire d’Etat américain, Henry Kissinger. Le compte-rendu de la négociation révèle que l’Espagne a cherché à obtenir un signal fort de la part des Etats-Unis, en signe d’amitié envers les nouveaux dirigeants américains, désireux de sortir de la neutralité franquiste et de s’arrimer au bloc de l’Ouest : si l’Espagne quitte l’Afrique, c’est pour mieux se redéployer en Europe avec, en ligne de mire, une coopération militaire avec l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN).

La mission Waldheim
Quelques jours avant la Marche verte, le secrétaire général des Nations Unies, Kurt Waldheim, charge son porte-parole, André Lewin, d’une mission quasi impossible : convaincre Hassan II, déjà très enthousiasmé par son grand projet, de renoncer à la Marche verte. Dans sa besace, Lewin n’a rien, ou presque : un plan qui répond en presque tous points aux exigences algériennes et n’a donc presque aucune chance d’être accepté par Hassan II. “(Le roi) vint à ma rencontre, il était visiblement tendu, fiévreux, mais son regard brillait d'une flamme intérieure et d'une grande vivacité, se remémore Lewin. Il portait une robe de chambre sombre. Me tendant la main, il esquissa un sourire, me disant qu'en dépit de son état, de sa fatigue et de ses multiples charges, il avait tenu à me recevoir, en signe de considération pour les Nations Unies”. Après cette entrevue, Lewin restera longtemps marqué par la fermeté du ton de Hassan II. Le monarque lui aurait en effet expliqué en substance que, si les Nations Unies essayaient d’interférer, elles entraveraient la marche de l’Histoire et devraient en supporter les conséquences. Au pire, Hassan II s’est même dit prêt à quitter l’ONU, arguant du caractère pacifique de son entreprise. Ce faisant, il feignait d’ignorer qu’au même moment, les Forces armées royales (sous le commandement d’un certain Ahmed Dlimi) étaient stationnées au Sahara. Objectif : sécuriser et occuper plusieurs points stratégiques, mais aussi mener une véritable opération militaire contre le tout jeune Front Polisario.

La victoire de Hassan II
Au final, seuls quelques milliers de patriotes (sur les 350 000 “marcheurs verts”) quitteront les campements de Tarfaya et de Tan Tan pour parcourir une distance de 15 km dans le désert, avant que l’ordre de repli ne soit donné par Hassan II, qui négocie en coulisses avec les Espagnols. Le 9 novembre, dans un discours prononcé à Agadir, le roi met fin à la Marche verte : “La Marche a rempli sa mission, atteint ses objectifs, et réalisé ce que nous-mêmes et nos amis en attendions. Il nous appartient donc, cher Peuple, de revenir tous à notre point de départ, afin de traiter d’une autre manière et avec des méthodes nouvelles”. La victoire de Hassan II est, avant tout, celle d’avoir évité le pire à un moment où le ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika, n’hésite pas à utiliser le risque d’une situation qui dégénère, voire d’un génocide. Au risque de guerre avec l’Algérie s’ajoutait celui de pertes civiles que faisaient planer les champs de mines antipersonnel semées par les Espagnols en prévision de leur retrait. La victoire de Hassan II est également symbolique : par un incroyable coup de poker, le roi a redressé son trône et lui a conféré une aura incroyable.
 
“Alors, pensez-vous que j'aie eu raison d'agir comme je l'ai fait, convaincu que c'était pour le bien de mon pays ?”, demande Hassan II à Lewin, une fois la Marche terminée. Réponse : “Sire, je pense que vous réussirez dans l'immédiat ce qui peut apparaître comme un extraordinaire coup de poker, et que le proche avenir vous donnera raison, mais beaucoup de principes seront invoqués et beaucoup de forces se ligueront pour vous empêcher de pérenniser votre succès et s'efforceront de vous le faire payer. Le risque pour vous se situe donc à plus long terme. Aurez-vous alors les moyens d'y faire face ?”. A méditer.

La fureur de Boumediene et Bouteflika
Le fait est que la colère des dirigeants algériens est à son comble. Les archives de Kissinger montrent la détermination du négociateur Bouteflika, qui accuse son homologue américain d’avoir appuyé la Marche verte. En décembre 1975, il reproche à Kissinger, avec un langage très peu diplomatique, de ne pas avoir mis le Maroc sous embargo, de l’avoir notamment alimenté en armes et en dollars. Pendant toute la durée des opérations, le président Houari Boumediene est, lui, dans tous ses états. Le secrétaire général de l’ONU se fait d’ailleurs l’écho, auprès de Kissinger, de la tension extrême qui règne dans les deux camps : “L’émotion est à son comble et cela implique des difficultés à discuter calmement de la situation. L’émotion est vraiment grande chez le roi lui-même. (…) Maintenant, la réaction du président Boumediene est très sérieuse. Je ne l’ai jamais vu aussi furieux et incontrôlable qu’à cette occasion. J’ai eu plusieurs réunions avec lui, et il a toujours été plein de maîtrise”. En définitive, si la Marche verte a été un succès pour Hassan II, les gouvernements qui se sont succédé en Algérie lui reprochent à mots couverts de ne pas avoir été une victoire partagée. C’est sans doute en excluant Boumediene de son pacte avec le président mauritanien Ould Daddah, que Hassan II s’est offert un “meilleur ennemi” qui lui survit : le dinosaure Bouteflika qui perpétue aujourd’hui la rancœur algérienne.


Documents inédits. Les archives de Kissinger

Rapports confidentiels de missions diplomatiques ou comptes-rendus de discussions avec son staff, les archives de Kissinger sont une véritable mine d’or. Elles abondent en “citations” qui éclairent sous un jour nouveau les stratégies en présence. De Senghor à Hassan II, en passant par Bouteflika et Waldheim, ces archives déclassifiées mais inédites, montrent à la fois le double jeu américain, la détermination algérienne à contrecarrer les ambitions marocaines, et l’opportunité saisie par l’Espagne de s’arrimer à l’OTAN. Le tout dans un contexte de Marche verte, et sur fond de Guerre froide. Morceaux choisis, savoureux et exclusifs !


La suite http://www.telquel-online.com/403/couverture_403.shtml
 
[après avoir invité Hassan II à visiter les Etats-Unis au nom du président Ford] :

"Nous ne serons pas en mesure d’être à la hauteur de l’hospitalité de Sa Majesté mais nous ferons de notre mieux dans les limites de notre pays sous-développé (sic)."

Kissinger.

C'est ce qui m'a plu ,quoi que ça n'étonne personne ,venant d'un maître...qui n'aimait des arabes que Najwa Fouad ...
 
les droits de l'Homme l'Kheda3in la on voit bien la ascarade j'espere qu on aura le reste des archives....en faite le but de Boumediene c'etait soit d'anexer officiellement ou officieusement notre Sahara mais avec la marche verte l9aw Yedhoum fe cheikh:)
 
“Alors, pensez-vous que j'aie eu raison d'agir comme je l'ai fait, convaincu que c'était pour le bien de mon pays ?”, demande Hassan II à Lewin, une fois la Marche terminée. Réponse : “Sire, je pense que vous réussirez dans l'immédiat ce qui peut apparaître comme un extraordinaire coup de poker, et que le proche avenir vous donnera raison, mais beaucoup de principes seront invoqués et beaucoup de forces se ligueront pour vous empêcher de pérenniser votre succès et s'efforceront de vous le faire payer. Le risque pour vous se situe donc à plus long terme. Aurez-vous alors les moyens d'y faire face ?”.

A méditer.​


Je dis pareil... a méditer....
 
“Alors, pensez-vous que j'aie eu raison d'agir comme je l'ai fait, convaincu que c'était pour le bien de mon pays ?”, demande Hassan II à Lewin, une fois la Marche terminée. Réponse : “Sire, je pense que vous réussirez dans l'immédiat ce qui peut apparaître comme un extraordinaire coup de poker, et que le proche avenir vous donnera raison, mais beaucoup de principes seront invoqués et beaucoup de forces se ligueront pour vous empêcher de pérenniser votre succès et s'efforceront de vous le faire payer. Le risque pour vous se situe donc à plus long terme. Aurez-vous alors les moyens d'y faire face ?”.

A méditer.​


Je dis pareil... a méditer....

34 ans après on médite tjrs ! c'est long très long une méditation ? :D
 
Extrêmement intéressant. Je devinais bien que l'antagonisme USA-URSS s'était immiscé dans la question saharienne dès le départ, mais pas qu'il s'y superposait aussi fondamentalement.

A recouper avec d'autres sources, toutefois...
 
“Alors, pensez-vous que j'aie eu raison d'agir comme je l'ai fait, convaincu que c'était pour le bien de mon pays ?”, demande Hassan II à Lewin, une fois la Marche terminée. Réponse : “Sire, je pense que vous réussirez dans l'immédiat ce qui peut apparaître comme un extraordinaire coup de poker, et que le proche avenir vous donnera raison, mais beaucoup de principes seront invoqués et beaucoup de forces se ligueront pour vous empêcher de pérenniser votre succès et s'efforceront de vous le faire payer. Le risque pour vous se situe donc à plus long terme. Aurez-vous alors les moyens d'y faire face ?”.

A méditer.​


Je dis pareil... a méditer....


Sages paroles en effet, et confirmés aujourd'hui, d'ou la justesse de notre cause.

On fera tout pour y faire face, et le Maroc peut compter sur les sahraoui fidel a leur pays comme l'ont été nos ancetres !
 
“Alors, pensez-vous que j'aie eu raison d'agir comme je l'ai fait, convaincu que c'était pour le bien de mon pays ?”, demande Hassan II à Lewin, une fois la Marche terminée. Réponse : “Sire, je pense que vous réussirez dans l'immédiat ce qui peut apparaître comme un extraordinaire coup de poker, et que le proche avenir vous donnera raison, mais beaucoup de principes seront invoqués et beaucoup de forces se ligueront pour vous empêcher de pérenniser votre succès et s'efforceront de vous le faire payer. Le risque pour vous se situe donc à plus long terme. Aurez-vous alors les moyens d'y faire face ?”. A méditer.

La fureur de Boumediene et Bouteflika
Le fait est que la colère des dirigeants algériens est à son comble. Les archives de Kissinger montrent la détermination du négociateur Bouteflika, qui accuse son homologue américain d’avoir appuyé la Marche verte. En décembre 1975, il reproche à Kissinger, avec un langage très peu diplomatique, de ne pas avoir mis le Maroc sous embargo, de l’avoir notamment alimenté en armes et en dollars. Pendant toute la durée des opérations, le président Houari Boumediene est, lui, dans tous ses états. Le secrétaire général de l’ONU se fait d’ailleurs l’écho, auprès de Kissinger, de la tension extrême qui règne dans les deux camps : “L’émotion est à son comble et cela implique des difficultés à discuter calmement de la situation. L’émotion est vraiment grande chez le roi lui-même. (…) Maintenant, la réaction du président Boumediene est très sérieuse. Je ne l’ai jamais vu aussi furieux et incontrôlable qu’à cette occasion. J’ai eu plusieurs réunions avec lui, et il a toujours été plein de maîtrise”. En définitive, si la Marche verte a été un succès pour Hassan II, les gouvernements qui se sont succédé en Algérie lui reprochent à mots couverts de ne pas avoir été une victoire partagée. C’est sans doute en excluant Boumediene de son pacte avec le président mauritanien Ould Daddah, que Hassan II s’est offert un “meilleur ennemi” qui lui survit : le dinosaure Bouteflika qui perpétue aujourd’hui la rancœur algérienne.


Documents inédits. Les archives de Kissinger

Rapports confidentiels de missions diplomatiques ou comptes-rendus de discussions avec son staff, les archives de Kissinger sont une véritable mine d’or. Elles abondent en “citations” qui éclairent sous un jour nouveau les stratégies en présence. De Senghor à Hassan II, en passant par Bouteflika et Waldheim, ces archives déclassifiées mais inédites, montrent à la fois le double jeu américain, la détermination algérienne à contrecarrer les ambitions marocaines, et l’opportunité saisie par l’Espagne de s’arrimer à l’OTAN. Le tout dans un contexte de Marche verte, et sur fond de Guerre froide. Morceaux choisis, savoureux et exclusifs !


La suite http://www.telquel-online.com/403/couverture_403.shtml

origine telquel...tu connais d où vien l'argent pour financer telkel ?
 
Mais il faut laisser ces pseudos dossiers secrets nous faire rire. Il avait aussi été question que selon des archives tchèques, Ben Barka étaient un espion pour le régime tchécoslovaque!!! Un comble!

Tout ce que vous trouvez à dire, ces archives sont rendus publiques, et encore certains noms sont encore vivant dont le préseident Boutef. et sa haine contre Hassan II n'est un secret pour personne.
Ca n'étonne pas de venir D'un Nain.

Et secondo, ca prouve une certaine liberté de persse meilleure comparée à d'autres de la région.

Le fond du sujet est bien traité par cet article et colle parfaitement à d'autres sources historiques.
 
Tout ce que vous trouvez à dire, ces archives sont rendus publiques, et encore certains noms sont encore vivant dont le préseident Boutef. et sa haine contre Hassan II n'est un secret pour personne.
Ca n'étonne pas de venir D'un Nain.

Et secondo, ca prouve une certaine liberté de persse meilleure comparée à d'autres de la région.

Le fond du sujet est bien traité par cet article et colle parfaitement à d'autres sources historiques.

Quelles sources historiques? N'est-ce pas au nain que l'on mendie l'ouverture des frontières terrestres de sorte à être encore plus petit que lui?
 
Tout ce que vous trouvez à dire, ces archives sont rendus publiques, et encore certains noms sont encore vivant dont le préseident Boutef. et sa haine contre Hassan II n'est un secret pour personne.
Ca n'étonne pas de venir D'un Nain.
Et secondo, ca prouve une certaine liberté de persse meilleure comparée à d'autres de la région.

Le fond du sujet est bien traité par cet article et colle parfaitement à d'autres sources historiques.


il y'a le nain et le gros :langue:
 
Loll
on parle pas de l'actuel,
Plutot son père qui était l'ennemi juré du Nain, de boumediene et Ben Bella.
Il était très élégant et beau parleur on dit même que le Nain voulait le mimer :D

Cela me fait penser à une de ces fables :D

Sa majesté H2 sur son trône,
Tenait dans sa bouche un fromage.

Le Président Boumédienne par l'odeur alléché ,
Lui tint à peu près ce langage :
«Et bonjour Majesté .
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre djelaba,
Vous êtes le phénix des hôtes de ce royaume»

A ces mots H2 ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre sa bouche et laisse tomber sa proie.

Boumédienne s'en saisit et dit: "Majesté,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute."

H2 honteux et confus
Jura mais un peu tard , qu'on ne l'y prendrait plus
 
Loll
on parle pas de l'actuel,
Plutot son père qui était l'ennemi juré du Nain, de boumediene et Ben Bella.
Il était très élégant et beau parleur on dit même que le Nain voulait le mimer :D

Hassan Ii considérait Bouteflika comme un fils. Pour preuve, le président algérien s'était rendu à ses funérailles.

Or, sa disparition n'a pas avantagé les contentieux entre les deux pays.
_______________________

Car Mohammed VI n'est pas seulement le "commandeur des croyants", le maître absolu en son royaume. Il est aussi le chef d'entreprise le plus puissant du pays. Par l'intermédiaire de la holding Siger (anagramme de regis, "du roi" en latin), le palais contrôle les secteurs clés de l'économie marocaine: construction, agriculture, banques. A lui seul, Mohammed VI pèse 6% du PIB du pays, ce qui fait de lui la septième fortune royale au monde, selon le magazine Forbes.

http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Actualite/La-part-d-ombre-du-roi-des-pauvres-111473/
 
J'ai beaucoup aimé cet article qui en réalité fait plus lieu de roman :D


et voilà pourquoi :



Désormais persuadé que Madrid profite habilement des oppositions entre les pays de la région, la monarchie marocaine est convaincue que seule la création d'un front commun entre les 3 États frontaliers du Sahara pourrait contraindre l'Espagne à quitter le territoire. Hassan II s'y emploie activement, mais c'est sous l'impulsion du président algérien, Houari Boumedienne, que les États frontaliers du Sahara se rencontrent une 1ère fois lors de la conférence islamique tenue à Rabat du 22 au 25 septembre 1969 à l'issue de laquelle un rapprochement entre le royaume du Maroc et la République Islamique de Mauritanie est amorcé.

Les autorités marocaines disposées à faciliter une réconciliation entre les 3 États, renonce d'une part, le 27 mai 1970, à leur revendication sur la région de Tindouf, et d'autre part, acceptent, le 8 juin 1970, de signer à Casablanca avec le président mauritanien, Mokhtar ould Daddah, un traité de solidarité et de bon voisinage par lequel le Maroc reconnait officiellement l'indépendance de la Mauritanie. Finalement, c'est à la conférence tripartite de Nouadhibou du 14 septembre 1970 que les gouvernements marocain, mauritanien et algérien conviennent de conjuguer leurs efforts pour hâter la décolonisation du Sahara Occidental.

[...]


A l'occasion de la conférence tripartite d'Agadir des 23 et 24 juillet 1973, [Hassan II] réaffirme avec les chefs d'État mauritanien et algérien son attachement au principe d'autodétermination. La position de Rabat avait déjà été clairement énoncée à l'occasion de rapprochement entre les 3 pays en 1970 à la 1ère conférence tripartite de Nouadhibou en Mauritanie. Pour régler la question saharienne, le régime marocain a accepté d'importantes concessions diplomatiques en direction des gouvernements algérien et mauritanien. Mais en l'échange de la reconnaissance de la Mauritanie d'une part et de la frontière avec l'Algérie d'autre part, ces deux pays devaient appuyer la revendication marocaine sur le Sahara Occidental. etc etc

http://books.google.fr/books?id=M6L...esult&ct=result&resnum=7#v=onepage&q=&f=false



Autrement dit, contrairement à ce que raconte l'article de Telquel, l'Algérie a très vite été mise au parfum quant aux projets expansionnistes d'Hassan II.

Lui qui feinta pendant longtemps aux yeux du monde son soutien au vote d'autodétermination pour le peuple saharaoui, tenta même d'acheter en soubassement les dirigeants algériens avant de clairement leur proposer d'intégrer son complot colonialiste, ce qui fût en vain.


Dès les années 1960 jusqu'à aujourd'hui il ne fait aucun doute que les algériens aient soutenu sans faillir le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.

Et puisque dans l'article il s'agit de lui, je rajouterais : tout cela malgré les propositions plus qu'alléchantes qu'ont pu offrir un à un la tortilleuse lignée des rois marocains à l'éternel poil à gratter Bouteflika qui après toutes ces années a au moins le mérite d'être resté droit dans ses bottes en les renvoyant (du grand père au petit fils) se rassoir sur leur trône.:D
 
Dès les années 1960 jusqu'à aujourd'hui il ne fait aucun doute que les algériens aient soutenu sans faillir le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui..

je passe sur le reste de l'intervention qui au final n'a que peut d'importance pour arriver a cette fameuse phrase , "l'autodétermination du peuple sahraoui "
et qu'en est il de l'autodétermination du peuple algérien ?y a des élections libre en algerie ? a quand un référendum pour les kabyles qui sont nombreux a ne pas se sentir algérien ?


le coup du soutien a un peuple privé de liberté est une escroquerie intellectuelle , c'est meme digne de kadhafi tellement c'est improbable
ce soutien est une conséquence direct de la guerre froide et de la volonté d'alger d'empêcher rabat d'accéder au ressource de cette zone
 
je passe sur le reste de l'intervention qui au final n'a que peut d'importance pour arriver a cette fameuse phrase , "l'autodétermination du peuple sahraoui "
et qu'en est il de l'autodétermination du peuple algérien ?y a des élections libre en algerie ? a quand un référendum pour les kabyles qui sont nombreux a ne pas se sentir algérien ?


le coup du soutien a un peuple privé de liberté est une escroquerie intellectuelle , c'est meme digne de kadhafi tellement c'est improbable
ce soutien est une conséquence direct de la guerre froide et de la volonté d'alger d'empêcher rabat d'accéder au ressource de cette zone

Quelle autodétermination du peuple algérien? C'est le seul Etat véritablement indépendant du Maghreb central. Preuve qu'il est le seul à avoir fait amender l'article 4 al.2 de la loi française du 25 février 2005 faisant l'éloge de la colonisation française en Afrique du Nord. Alors que les autres anciennes colonies françaises étaient pour la reconnaissance des bienfaits de la colonisation. Un comble!

Quant aux élections libres, apparemment elles le sont puisque même des experts internationaux sur place l'ont décrété. Seule tare, c'est le taux d'léection du président qui est erroné et celui-ci n'a jamais obtenu plus de 60% de voix.

S'agissant des Kabyles, ils n'aspirent aucunement à une quelconque scission sinon ils auraient remis leur dossier à l'ONU. Pour ta gouverne, sache que les Kabyles se considèrent comme les seuls véritables Algériens (faisant rire au passage toute la République)

Enfin, un article de la Constitution algérienne stipule que la nation doit soutenir tout peuple désrieux de s'administre par lui-même. Et pour cause, l'Algérie soutient les Palestiniens comme elle avait soutenu l'ANC sud-africaine au temps de l'apartheid sévissant en Afrque du Sud.
 
J-L Servan Schreiber (Hachakom) ,le père spirituel du patron..

il est aussi subventionné par l'Etat....ne cherche pas à comprendre !

Et pourquoi donc si l'etat les finances comme tu dis.... aurrait mis sous sequestre un de leur numero consacré à l'anniversaire de l'accession au Trone?

Tel quel ont des défauts c'est sur je deteste cette organe de presse.... mais il faut leurs reconnaitre leurs qualitées aussi, que leur but n'est pas de brosser dans le sens du poil.... mais surtout de poinghter la ou ça derangeen poussant minutieusement vers le débat.
 
Quelle autodétermination du peuple algérien? C'est le seul Etat véritablement indépendant du Maghreb central. Preuve qu'il est le seul à avoir fait amender l'article 4 al.2 de la loi française du 25 février 2005 faisant l'éloge de la colonisation française en Afrique du Nord. Alors que les autres anciennes colonies françaises étaient pour la reconnaissance des bienfaits de la colonisation. Un comble!

Quant aux élections libres, apparemment elles le sont puisque même des experts internationaux sur place l'ont décrété. Seule tare, c'est le taux d'léection du président qui est erroné et celui-ci n'a jamais obtenu plus de 60% de voix.

S'agissant des Kabyles, ils n'aspirent aucunement à une quelconque scission sinon ils auraient remis leur dossier à l'ONU. Pour ta gouverne, sache que les Kabyles se considèrent comme les seuls véritables Algériens (faisant rire au passage toute la République)

Enfin, un article de la Constitution algérienne stipule que la nation doit soutenir tout peuple désrieux de s'administre par lui-même. Et pour cause, l'Algérie soutient les Palestiniens comme elle avait soutenu l'ANC sud-africaine au temps de l'apartheid sévissant en Afrque du Sud.



L'Algérie soutient elle le peuple tchétchène face aux russes ??


Soutient-elle le peuple Tibétain ??

etc ....
 
L'Algérie soutient elle le peuple tchétchène face aux russes ??


Soutient-elle le peuple Tibétain ??

etc ....


Ni la Russie ni la Chine pays amis de l'Algérie ne font partie du tiersmonde!
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NOUVELLES ACCUSATIONS DE TAÏEB FASSI FIHRI
«L’Algérie bloque l’UMA»

Le chef de l’Etat l’a rappelée au cours de son discours d’investiture au mois d’avril dernier.

«Je n’ai pas besoin de réaffirmer nos positions dans le monde arabe, en Afrique et dans le tiersmonde et notre appui à toutes les causes justes, et notamment à celles des peuples en lutte pour leur libération comme le peuple sahraoui et le peuple palestinien», a alors souligné Abdelaziz Bouteflika.

http://www.tsa-algerie.com/autres_liens/p38/l-expression.html
 
Maroc-Algérie - La famille qui avance et celle qui recule

Le Roi du Maroc vient de lancer un vaste chantier de « rénovation et de modernisation de l’Etat » en installant, dimanche 3 janvier 2010, une Commission Consultative de Régionalisation (CCR) avec à sa tête son actuel ambassadeur en Espagne. Dans son discours prononcé à Marrakech, à l’occasion du 10e anniversaire de son arrivée au Trône, Mohammed VI a réaffirmé sa volonté de faire bénéficier toutes les régions du pays de ce nouveau mode de gouvernance qui est l’autonomie élargie dont le Sahara va être le premier bénéficiaire.
En Algérie, la Commission Sbih, chargée de proposer un schéma de régionalisation, a rendu ses conclusions depuis cinq ans. Bouteflika l’a jeté dans le tiroir des enterrements où gisent déjà le rapport Issad sur la refonte de la justice et celui de la Commission du même nom sur le « printemps noir » de 2001. Toujours obsédé par sa propre succession à lui-même, notre assoiffé de pouvoir lui a préféré une révision constitutionnelle à la Bokassa Ier, en humiliant un parlement croupion et un pays castré.
Ce contraste saisissant entre une monarchie populaire qui se démocratise en se modernisant et une « démocratie populaire » qui se fossilise en se monarchisant montre à lui seul qui est « la famille qui avance et celle qui recule »[1]. Il met en relief deux attitudes opposées : Celles de dirigeant ayant l’amour de leur pays et ceux qui ont la haine de leurs peuples.
Le MAK félicite les Marocains pour ce progrès qui va les propulser dans la modernité. En même temps, il dénonce l’immobilisme des « décideurs » algériens basé sur une incapacité à concevoir une Kabylie autonome et nous condamnant de fait à être à la traîne de la marche du monde.
Pour pousser les gouvernants que nous subissons chez nous à aller dans le sens du progrès et de l’Histoire, les Conseils Universitaires du MAK de Vgayet et de Tizi-Ouzou appellent à des marches dans ces deux capitales kabyles pour mardi 12 janvier 2010 à 10h. Notre Mouvement fera de ce Yennayer un rendez-vous avec notre destin de liberté. Même si le régime algérien ne se préoccupe que de la rente pétrolière pour ses tenants, le MAK est décidé à faire accéder le peuple kabyle à la maîtrise de son avenir.
P/ Le MAK
Ferhat Mehenni
 
Maroc-Algérie - La famille qui avance et celle qui recule

Le Roi du Maroc vient de lancer un vaste chantier de « rénovation et de modernisation de l’Etat » en installant, dimanche 3 janvier 2010, une Commission Consultative de Régionalisation (CCR) avec à sa tête son actuel ambassadeur en Espagne. Dans son discours prononcé à Marrakech, à l’occasion du 10e anniversaire de son arrivée au Trône, Mohammed VI a réaffirmé sa volonté de faire bénéficier toutes les régions du pays de ce nouveau mode de gouvernance qui est l’autonomie élargie dont le Sahara va être le premier bénéficiaire.
En Algérie, la Commission Sbih, chargée de proposer un schéma de régionalisation, a rendu ses conclusions depuis cinq ans. Bouteflika l’a jeté dans le tiroir des enterrements où gisent déjà le rapport Issad sur la refonte de la justice et celui de la Commission du même nom sur le « printemps noir » de 2001. Toujours obsédé par sa propre succession à lui-même, notre assoiffé de pouvoir lui a préféré une révision constitutionnelle à la Bokassa Ier, en humiliant un parlement croupion et un pays castré.
Ce contraste saisissant entre une monarchie populaire qui se démocratise en se modernisant et une « démocratie populaire » qui se fossilise en se monarchisant montre à lui seul qui est « la famille qui avance et celle qui recule »[1]. Il met en relief deux attitudes opposées : Celles de dirigeant ayant l’amour de leur pays et ceux qui ont la haine de leurs peuples.
Le MAK félicite les Marocains pour ce progrès qui va les propulser dans la modernité. En même temps, il dénonce l’immobilisme des « décideurs » algériens basé sur une incapacité à concevoir une Kabylie autonome et nous condamnant de fait à être à la traîne de la marche du monde.
Pour pousser les gouvernants que nous subissons chez nous à aller dans le sens du progrès et de l’Histoire, les Conseils Universitaires du MAK de Vgayet et de Tizi-Ouzou appellent à des marches dans ces deux capitales kabyles pour mardi 12 janvier 2010 à 10h. Notre Mouvement fera de ce Yennayer un rendez-vous avec notre destin de liberté. Même si le régime algérien ne se préoccupe que de la rente pétrolière pour ses tenants, le MAK est décidé à faire accéder le peuple kabyle à la maîtrise de son avenir.
P/ Le MAK
Ferhat Mehenni

Je ne sais pas si tu le connais,mais ce ferhat est un bouffon, considéré comme tel par tous les Algériens. C'est un pûr produit de la France.
Pour ce qui est du Sahara:" Algériens, marocains, ki tefrouha kolouli"
 
Maroc-Algérie - La famille qui avance et celle qui recule

Le Roi du Maroc vient de lancer un vaste chantier de « rénovation et de modernisation de l’Etat » en installant, dimanche 3 janvier 2010, une Commission Consultative de Régionalisation (CCR) avec à sa tête son actuel ambassadeur en Espagne. Dans son discours prononcé à Marrakech, à l’occasion du 10e anniversaire de son arrivée au Trône, Mohammed VI a réaffirmé sa volonté de faire bénéficier toutes les régions du pays de ce nouveau mode de gouvernance qui est l’autonomie élargie dont le Sahara va être le premier bénéficiaire.
En Algérie, la Commission Sbih, chargée de proposer un schéma de régionalisation, a rendu ses conclusions depuis cinq ans. Bouteflika l’a jeté dans le tiroir des enterrements où gisent déjà le rapport Issad sur la refonte de la justice et celui de la Commission du même nom sur le « printemps noir » de 2001. Toujours obsédé par sa propre succession à lui-même, notre assoiffé de pouvoir lui a préféré une révision constitutionnelle à la Bokassa Ier, en humiliant un parlement croupion et un pays castré.
Ce contraste saisissant entre une monarchie populaire qui se démocratise en se modernisant et une « démocratie populaire » qui se fossilise en se monarchisant montre à lui seul qui est « la famille qui avance et celle qui recule »[1]. Il met en relief deux attitudes opposées : Celles de dirigeant ayant l’amour de leur pays et ceux qui ont la haine de leurs peuples.
Le MAK félicite les Marocains pour ce progrès qui va les propulser dans la modernité. En même temps, il dénonce l’immobilisme des « décideurs » algériens basé sur une incapacité à concevoir une Kabylie autonome et nous condamnant de fait à être à la traîne de la marche du monde.
Pour pousser les gouvernants que nous subissons chez nous à aller dans le sens du progrès et de l’Histoire, les Conseils Universitaires du MAK de Vgayet et de Tizi-Ouzou appellent à des marches dans ces deux capitales kabyles pour mardi 12 janvier 2010 à 10h. Notre Mouvement fera de ce Yennayer un rendez-vous avec notre destin de liberté. Même si le régime algérien ne se préoccupe que de la rente pétrolière pour ses tenants, le MAK est décidé à faire accéder le peuple kabyle à la maîtrise de son avenir.
P/ Le MAK
Ferhat Mehenni

Bien qu'il faille toujours soutenir un opposant, en l'occurrence on ne sait pas trop pour qui "roule" Fehrat Mehenni. Cela dit, il y a lieu d'espérer qu'une marche de protestation puisse se faire sans l'intervention des forces de sécurité afin de prouver que l'Algérie est une démocratie qui ne punit pas le séparatisme comme ailleurs.
 
Je ne sais pas si tu le connais,mais ce ferhat est un bouffon, considéré comme tel par tous les Algériens. C'est un pûr produit de la France.
Pour ce qui est du Sahara:" Algériens, marocains, ki tefrouha kolouli"

un pur produit de la france? OK mais il a autant si ce n'est plus de legitimiter que la plupart des usurpateurs au pouvoire qui sont plutot des purs produit de la degenerescence française
 
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