Le président des Girondins de Bordeaux, Jean-Louis Triaud n'apprécie pas la méthode de ses homologues stéphanois.
les Verts ont vendu conjointement Pascal Feindouno et Nivaldo au Qatar pour faire baisser le pourcentage de revente à verser à Bordeaux concernant le Guinéen. Résultat, Al Saad a payé cinq millions d'euros pour Feindouno et trois millions d'euros pour Nivaldo. Des sommes étonnement proches eu égard au talent divergent des deux joueurs.
«Ca sent l'arnaque ! Si l'on n'est pas convaincu, on se réserve le droit de saisir les juridictions de commerce compétentes» , a prévenu Triaud dans les colonnes de Sud Ouest. Les Girondins ont d'ailleurs déjà saisi la commission juridique de la LFP, «pour avoir accès aux documents que Saint-Etienne était tenu par contrat de nous envoyer et alors que nous avions une option prioritaire sur le joueur» , a précisé Triaud. Il avait en effet été convenu par contrat lors de son transfert vers l'ASSE en 2004 que le club bordelais percevrait 50% de la plus-value réalisée en cas de nouveau transfert.
La version de Nivaldo tend à confirmer le présage de Triaud. Après son transfert, le Brésilien avait avoué ne pas avoir été consulté et jeté comme un malpropre par les Verts. Peu utilisé depuis son arrivée dans le Forez, le défenseur a d'ailleurs été immédiatement prêté à un club qatari de deuxième division ! Les deux clubs français sont convoqués le 28 octobre devant la commission juridique de la Ligue. «Si on n'est pas convaincu par les explications qui seront fournies, on se réserve le droit d'engager des procédures sportives et civiles» , a prévenu Triaud.
les Verts ont vendu conjointement Pascal Feindouno et Nivaldo au Qatar pour faire baisser le pourcentage de revente à verser à Bordeaux concernant le Guinéen. Résultat, Al Saad a payé cinq millions d'euros pour Feindouno et trois millions d'euros pour Nivaldo. Des sommes étonnement proches eu égard au talent divergent des deux joueurs.
«Ca sent l'arnaque ! Si l'on n'est pas convaincu, on se réserve le droit de saisir les juridictions de commerce compétentes» , a prévenu Triaud dans les colonnes de Sud Ouest. Les Girondins ont d'ailleurs déjà saisi la commission juridique de la LFP, «pour avoir accès aux documents que Saint-Etienne était tenu par contrat de nous envoyer et alors que nous avions une option prioritaire sur le joueur» , a précisé Triaud. Il avait en effet été convenu par contrat lors de son transfert vers l'ASSE en 2004 que le club bordelais percevrait 50% de la plus-value réalisée en cas de nouveau transfert.
La version de Nivaldo tend à confirmer le présage de Triaud. Après son transfert, le Brésilien avait avoué ne pas avoir été consulté et jeté comme un malpropre par les Verts. Peu utilisé depuis son arrivée dans le Forez, le défenseur a d'ailleurs été immédiatement prêté à un club qatari de deuxième division ! Les deux clubs français sont convoqués le 28 octobre devant la commission juridique de la Ligue. «Si on n'est pas convaincu par les explications qui seront fournies, on se réserve le droit d'engager des procédures sportives et civiles» , a prévenu Triaud.