Je ne sais pas comment le formuler

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aimant : trou noir hologram ivresse et oublie

 
etude



signe sens valeur

voyage langue litterature culture

 
bonjour

je cherche le nom de la science ou encore mieu un site livre ou autre qui traite de :
pour chaque sens (percetion ) ce que les stimuli les plus basique evoque en particulier au niveau du ressenti pas de l'intellect

exemple pour la vision ce qu'evoque le forme (ex rond ) les couleur (rouge jaune etc ...)

certain intonation ou music basique
exemple pour le son de mot l'effet connu kiki et bouba :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_bouba/kiki

etc ....
@tajali tu serais pas synesthésique par hasard ou bien une autre forme de synesthésie…. ? Avoir des ressenti formes avec des couleurs ou bien même des mots qui prennent des formes et des couleurs dans le cerveau…. Je suis évidemment sérieux là …
 
@tajali tu serais pas synesthésique par hasard ou bien une autre forme de synesthésie…. ? Avoir des ressenti formes avec des couleurs ou bien même des mots qui prennent des formes et des couleurs dans le cerveau…. Je suis évidemment sérieux là …

oui il y a de ca mais on les tous : ideesthesie

c juste une question d'efficacité du traitement des signes (voir semiotique)
certain on plus de filtre pour decodé et selectionné l'information pertinente

c comme une radio qui capterai plusieur programme a la fois et ta capacité a passé d'une chaine a l'autre sans interference: synthonisation

je pense avoir un d.i.l https://fr.wikipedia.org/wiki/Inhibition_latente
c comme etre dans un entre 2 bordeline ou zchyzoide
ce qui fait que l'information se superpose c comme dans un reve
et je dois donc faire un traitement du signal ou de l'information
ce qui me demande beaucoup de ressource en terme de charge mental

donc je doit trouvé un moyen ou algorithme pour affiné mon traitement des signaux
quand je veux communiqué avec quelqu'un c difficile car je doit retrecir mon champs de vision
c pour cela que j'ai crée une toile d'araigné sur ce forum pour mieu traité et organiser l'information
 
@tajali tu serais pas synesthésique par hasard ou bien une autre forme de synesthésie…. ? Avoir des ressenti formes avec des couleurs ou bien même des mots qui prennent des formes et des couleurs dans le cerveau…. Je suis évidemment sérieux là …

l'auteur du coran doit avoir le meme cerveau que moi
dans ce verset c à cela qu'il fait allusion
c pour cela que le coran pour moi est addictif car il parle mon langage :
effet tetris ?

il suffit de suivre les signes : ici je sais que le mot clef est أَضْغَاثُ
et cela me renvoie a dawud et son maillage


21v5 بَلْ قَالُوا أَضْغَاثُ أَحْلَامٍ بَلِ افْتَرَاهُ بَلْ هُوَ شَاعِرٌ فَلْيَأْتِنَا بِآيَةٍ كَمَا أُرْسِلَ الْأَوَّلُونَ
Mais ils dirent: «Voilà plutôt un amas de rêves! Ou bien Il l'a inventé.
Ou, c'est plutôt un poète. Qu'il nous apporte donc un signe [identique] à celui dont furent chargés les premiers envoyés».

12v44 قَالُوا أَضْغَاثُ أَحْلَامٍ وَمَا نَحْنُ بِتَأْوِيلِ الْأَحْلَامِ بِعَالِمِينَ
Ils dirent: «C'est un amas de rêves! Et nous ne savons pas interpréter les rêves!»

palais de salomon
 
ou bien peut etre que tout cela est simplement un jeu pour captiver mon esprit pour tromper l ennuie ou autre :

mot clef twist

twisted fantaisie twisted game mot clef game (wicked wait survival etc ...)
mot clef : dust : ex stardust
mot clef wolf et reine ou chaperon rouge colombe fidelité lucy couché de soleil
mot clef pour me recentrer fidelité rose vie
 
lettre mem siren
voix verbe est le lien entre la matiere et l'esprit

 
@tajali tu serais pas synesthésique par hasard ou bien une autre forme de synesthésie…. ? Avoir des ressenti formes avec des couleurs ou bien même des mots qui prennent des formes et des couleurs dans le cerveau…. Je suis évidemment sérieux là …

pour repondre simplement a ta question
mon probleme est plus simple je n'arrive pas a voir ou me concentrer sur une chose a la fois
donc je doit apprendre a me concentrer et a prendre mon temps pour discerné mes sensation pensé etc ...
pour mieu les delimité et cerner

c pour cela que lire ou repondre a une simple question est difficile car mon cerveau fait plein de lien
c comme si je te te demandé quel est le nom de ce fruit inconnu que tu as gouté ?

tu comprend que c difficile de decrire une chose sans connaitre son nom
on si je te demande de me decrire un paysage en un mot
c'est faisable mais pour cela je doit trouvé le bon mot
 
pour repondre simplement a ta question
mon probleme est plus simple je n'arrive pas a voir ou me concentrer sur une chose a la fois
donc je doit apprendre a me concentrer et a prendre mon temps pour discerné mes sensation pensé etc ...
pour mieu les delimité et cerner

c pour cela que lire ou repondre a une simple question est difficile car mon cerveau fait plein de lien
c comme si je te te demandé quel est le nom de ce fruit inconnu que tu as gouté ?

tu comprend que c difficile de decrire une chose sans connaitre son nom
on si je te demande de me decrire un paysage en un mot
c'est faisable mais pour cela je doit trouvé le bon mot
La concentration s’apprends et dans l’apprentissage, on peut aussi détourner le cerveau des divagations en apprenant sous forme de jeu …. Apprendre aussi à lâcher prise vis à vis de quelque chose qu’on ne comprends pas … Exemple : Il y a un mécanisme pour apprendre comment et pourquoi l’eau s’évapore, je n’arrive pas à le saisir..Et bien tant pis … Pour moi ce sera un phénomène qui existe mais que je ne comprends pas … ça me laissera de l’espace et de l’énergie dans mon cerveau…
 
La concentration s’apprends et dans l’apprentissage, on peut aussi détourner le cerveau des divagations en apprenant sous forme de jeu …. Apprendre aussi à lâcher prise vis à vis de quelque chose qu’on ne comprends pas … Exemple : Il y a un mécanisme pour apprendre comment et pourquoi l’eau s’évapore, je n’arrive pas à le saisir..Et bien tant pis … Pour moi ce sera un phénomène qui existe mais que je ne comprends pas … ça me laissera de l’espace et de l’énergie dans mon cerveau…

oui je suis d'accord dans mon cas c trés simple il suffit que je coupe internet et mon cerveau n'a plus ses ressources et cela me liberera une grande partie de mon esprit

mais pourquoi les gens sont accro et combien sont pret a se couper des media roman bd internet film jeux video reseau sociaux etc ... ?
meme si il ont conscience que cela les coupes de la realité ?


1/apprendre a me concentrer : interieurement
2/apprendre a gerer le trop plein d'information du mon reele : exterieurement
3/me detourné du surplus d'information inutile : en coupant internet
 
oui je suis d'accord dans mon cas c trés simple il suffit que je coupe internet et mon cerveau n'a plus ses ressources et cela me liberera une grande partie de mon esprit

mais pourquoi les gens sont accro et combien sont pret a se couper des media roman bd internet film jeux video reseau sociaux etc ... ?
meme si il ont conscience que cela les coupes de la realité ?


1/apprendre a me concentrer : interieurement
2/apprendre a gerer le trop plein d'information du mon reele : exterieurement
3/me detourné du surplus d'information inutile : en coupant internet
Rien de cela …. Tu dois juste comprendre par l’expérience que nôtre cerveau est d’abord un organe. Au même titre que le coeur, les poumons ou le foie …. Ils fonctionnent en mode automatique et donc de façon inconsciente pour nous… Pas besoin de leur demander de fonctionner et impossible de les arrêter de façon consciente…. Notre cerveau est une machine que l’on peux pas arrêter, on peut juste canaliser l’envie du cerveau de tout analyser, tout ranger , tout contrôler …. De plus , notre mental est addict à la pensée … à rêver , à s’évader grâce à notre imagination…. L’objectif est donc d’apprendre à être présent, Dans la présence , ni dans le passé ni dans le futur…. Car en définitif la réalité est uniquement dans le moment présent le reste n’est qu’une construction du mental qui vous d’accaparer de nôtre petit « moi ». Ce que l’on pense être nôtre petit jardin secret et qui devient vite un enfer car on sort de la réalité… Le présence peut se faire dans les actes du quotidien comme marcher , cuisiner, jardiner le but étant de revenir à la réalité quand on commence à s’évader mentalement… Quand on sait que l’Homme a peu près 70 000 pensées par jours …. Ça devient difficile de canaliser et laisser passer ces pensées sans partir dans des films mentaux…
 
Rien de cela …. Tu dois juste comprendre par l’expérience que nôtre cerveau est d’abord un organe. Au même titre que le coeur, les poumons ou le foie …. Ils fonctionnent en mode automatique et donc de façon inconsciente pour nous… Pas besoin de leur demander de fonctionner et impossible de les arrêter de façon consciente…. Notre cerveau est une machine que l’on peux pas arrêter, on peut juste canaliser l’envie du cerveau de tout analyser, tout ranger , tout contrôler …. De plus , notre mental est addict à la pensée … à rêver , à s’évader grâce à notre imagination…. L’objectif est donc d’apprendre à être présent, Dans la présence , ni dans le passé ni dans le futur…. Car en définitif la réalité est uniquement dans le moment présent le reste n’est qu’une construction du mental qui vous d’accaparer de nôtre petit « moi ». Ce que l’on pense être nôtre petit jardin secret et qui devient vite un enfer car on sort de la réalité… Le présence peut se faire dans les actes du quotidien comme marcher , cuisiner, jardiner le but étant de revenir à la réalité quand on commence à s’évader mentalement… Quand on sait que l’Homme a peu près 70 000 pensées par jours …. Ça devient difficile de canaliser et laisser passer ces pensées sans partir dans des films mentaux…

oui je suis d'accord : apprendre à focaliser sur le ressenti plutot que sur la pensé
 
eco phenomenologie : madeleine thé café

deformation vague wave modulation (model) sensibilité lac calme cygne

tout bouge : constante montagne passe nuage (de point) variable fiabilité morya

meta dimension : contexte signe objet interpretant

repetition mem probleme
pb1 vague manque discernement rigueur precision
pb2 repetition du mem motif
pb3 ecart cible

vie ego
 
hors cadre hors champs
derriere le miroir devoiler voile toile (tal dome) horizon (wrd)


https://www.youtube.com/watch?v=oa2brw-WV2g
https://www.youtube.com/watch?v=HUZ1ka9y2Sw
https://www.youtube.com/watch?v=5QBYzSGBesc
https://www.youtube.com/watch?v=w_-_4hMQcJ4
https://www.youtube.com/watch?v=ViPU2QbSls0


Universum.jpg


digital-art-fantasy-art-nature-painting-wallpaper-preview.jpg
 
au dela
tableau noir black mirror contact
par dela bien et mal
"Celui qui combat des monstres doit prendre garde à ne pas devenir monstre lui-même.
Et si tu regardes longtemps un abîme, l’abîme regarde aussi en toi."


 
wrd word world (secret garden)

 
en turquoise mes reperes

message d @Arboresence

Il m'est difficile de retenir tout ce qui m'est passé par la tête contenu après contenu (si le cerveau n'avait pas aussi une sorte de mémoir tampon arff) Bien que l'exercice d'intervenir à propos de chaque idées connexes me semble dense, j'essaie de m'y prêter tant cela m'inspire et que je trouve de la pertinence à rebondir dessus.

(imaginal entre perception et intellect)
Idésthésie, ou peut être "lien étroit entre émotivité et intellect" à la frontière du ressenti et de l'intelligible,
si bien qu'on se demanderait qui de l'oeuf ou de la poule... si cela va vraiment de paire.

hayku
Mise en lumière par le teste bouba/kiki comme un échantillon sur une petite unité (mots entier),
il me semble que ce mot peut être élargie comme nous l'avons mentionné à propos de la poésie
(au sens global et non pas uniquement à propos du procédé dit "synesthésie" en poésie, son cousin, il va sans dire).

l'origine mimetique onomatopé des langue (george bohas matrice etymon ) exemple chat cat qit gato neko ...
Je me souviens un peu du contenu de ce blog dont je te parlais où les unités les plus petites d'un mot ( sonorité des syllabes par exemple) étaient apprécié par leur empreinte émotionnelle/idéelle lors d'une redondance comme dans les figures de style: assonance, allitération.
Il s'en suivait une qualification suivant l'impression que le phonème donnait en terme de ressenti: rugosité, agressivité, sphérique, douceur...
Je me demande si il est possible d'occulter ou non la résonance du champ lexical qui pourrait accentuer ou non le choix du qualificatif (peut être un affinage est préféré?!). Les mots utilisés étaient compréhensible (Cad dans la langue du locuteur).

Je me souviens de Daniel Tammet (un autistes de haut niveau, synesthètes, polyglotte... écrivain: je suis né un jour bleu) que les chercheurs en neurosciences ont nommé la pierre de rosette du cerveau. Il racontait que pour apprendre une autre langue il utilisait son intuition (et ce qui semblerait être idéesthésique parfois ), de la sorte qu'il utilisait par rapprochement l'idée contenu dans les phonèmes des mots d'une langue, mots faisant parti d'un même groupe, groupe famille contenu dans un même champ lexical et/ou ayant une étymologie commune (parfois spécifique à une langue ou semblable dans plusieurs).

Ainsi il pouvait avoir un tron commun, quelque chose de (volontairement) mnémotechnique appuyé sur une idée commune, plus ou moins quelque chose côtoyant le principe de sensation dans certain cas. Un exemple donné était en français les mots: lustre, loi, luxe, luxure, lumière, livide... au delà des suffixes et préfixe, étymons...( mais ceci aussi aidant à la compréhension du sens d'un mot et de son affiliation à d'autres groupes et sous groupes de façon rationnelle)

Ce qui est intéressant c'est qu'il donnait un exercice à faire, confronté à une langue dont on ne comprend aucun mot, la sonorité aiguille de façon intuitive sur la qualité idéelle lorsqu'on nous donne une bride d'information: exemple en chinois (de mémoire) "chichi" serait un chien qui est assis ou un chien qui court?

comment le cerveau et nous connectons les objets ? association d'idée ? memoire : bout de la langue : langue au chat
difference entre cerveau gauche (langage precis ) et droit (intuition impression global flou)

Tammet à fait se pencher les scientifiques un peu plus sur le sujet de "l'intuition" entre autre sur sa nature et sur quoi elle repose, ainsi que sur la pertinence de celle ci ( ce qui n'est pas sans me plaire puisque par intuition justement j'en était à suivre ces pistes de réflexions). Il est évident désormais que le cerveau classe, range, organise, sinon plus vraisemblablement, "connect" les objets mentals entre eux de façons logiques déjà en amont. Disons avec abus de langage assumé "en hard"! Si les constituants de sa notion, couleur, forme, prononciation du mot attribué etc etc résident dans plusieurs parties spécifiques, et qu'il(s) côtoi(ent) (mis en parenthèse pour appuyer le fait qu'un objet mental est en fait constitué de plusieurs... informations extraites) ce sont en fait plein de liens logiques qui régissent l'allocation(s).

En somme si c'est rangé là c'est que c'est logique, et si un constituant en appel un autre (ce éventuellement avec effet boule de neige) c'est que c'est logique tant bien même l'objet semblerait exogène. De plus l'attention (conscient/subconscient...) à peut être occulté des informations/stimuli qui ont appuyés une tel remonté d'objets.


Outre les influences culturelles (disont le tronc commun), sociétale, du à l'espèce... on peut trouver une démonstration de ces associations lors de...
 
Dernière édition:
cheminement de la pensé : progression :
...jeux "psychologique" sur fond d'hypnose de foires tel que celui qui consiste à faire faire une tâche arithmétique à une personne et de lui demander très vite de nous donner une couleur et un outil, vite, directement ceux qui en premier lui passent par la tête ( évidement, sur un papier on aura au préalable inscrit la couleur rouge et le mot marteau)... pour la plus grande surprise de l'assemblé.

J'ai de mon côté émi l'hypothèse d'un mécanisme de "pathfinding" ( "pathfinder", ce devait être mon pseudo ici mais c'était déjà pris) globalement comme architecture de la vie, non pas en tant que prédétermination mais en tant que vestige observable de la sommes des conditions qui ont permis l'existance d'une chose. J'émets la notion de survivance, le chemin préférentiel d'un continuum de vie ("préférentiel", encore la sans connotations de prédeterminisme même si l'observation depuis un embranchement jusque plus en amont laisse parfois à penser que...).

La notion de "pathfinding" et de "chemin préférentiels est un des concepts au coeur de mon articulation y compris pour ce qui régirait l'idésthésie (maintient et acquisition).
Le pathfinding connu entre autre en informatique (je fais parfois un parallel avec l'informatique sachant bien que c'est du domaine de l'extrapolation dans le but d'une tentative de vulgarisation, des systèmes imagés qui se prêtent à l'exercice sont bien souvent trop singuliers...), notamment dans les jeux tour-par-tour où un sous programme calcul et affiche au joueur (en position sur une grille) le nombre de tours qu'il lui faut pour aller à un point B, éventuellement en contournant tel ou tel obstacle, le tout en relation avec sa capacité de mouvements.

blob
Différemment, en biologie, les champignons, colonies de bactéries etc ont un comportement semblable ou disons un vestige de comportement semblable ( observable sous forme d'arborescence). Il n'y a ici non pas un but ou une volonter de prime abord (dans certains cas) de vouloir atteindre un point B, mais de répondre à un besoin primaire (se nourrir, se reproduire...).

Le champignon allant et vivotant sur un terrain propice. Je nommerai par néologisme "pathfooding". Il s'en suit la survie et la continuité des embranchements là où Il y a encore de quoi prospérer, les autres embranchements meurent, se font réabsorber, migrent...

On parle souvent de chemin préférentiels et de pathfinding qui les sous tends.

autoorganisation (force invisible tension denouement) specialisation par repetition limitation des choix selection naturel
Chez les fourmis et leurs autoroutes, de plus en plus de nourriture, phéromones et aller retour faisant, la ou les routes se consolident et se renforcent on y va parce qu'on y trouve... et pour ce qui est des autres chemins...
Il y a aussi les arborescences témoins du passage de la foudre...
Il y a les fissures, dans les matériaux par exemple.
La langue des reptiles peut être vu comme un organe pathfinder... ici il fait chaud, ici il fait froid (ça rappel un jeu enfantin de chasse au trésor)...
Il y a aurait aussi les vibrisses des animaux...
Puis il y a surtout le cerveau, et lors de l'apprentissage. On image souvent cela par une piste de sky avec des sillons plus ou moins marqués, plus ils sont marqués et plus il est facile et rapide de les empreinter. En revenche l'information s'appuie sur ce qu'elle contient déjà et ne renforce presque que cela. Tant que c'est un peu comme avec l'IA de YouTube par exemple, il s'appuie sur les recherches et goût ce qui tend à aller que dans un sens, proposant moins de chose d'extérieur à cette zone de confort ou de connu... moins de diversité, pas ou peu de surprise. (On se retrouve confiné avec des propositions de vidéos de même type)

Il reste possible d'arpenter ces sillons connexes et moins marqués, comme il est possible de faire du hors-piste...

Bien utile est la plasticité cérébrale, qui par exemple lors de liaisons dans une partie du cerveau, permet après un temps de faire en sorte que d'autre parties du cerveau prennent le relais pour le fonctionnement de cette tâche.

Ce concept est au coeur des phénomènes évolutifs, que ce soit sur une représentation de l'arbre phylogénétique des espèces ou (et c'est là où je veux également appuyer) celui des langues.

Je fais une parenthèse sur certaines espèces d'animaux qui n'ayant pas grand chose en commun, ou étant relativement éloignées, voient une de leur spécificité converger vers une même singularité... que ce soit dans leur aspect, un moyen de défense (Je pense au hérisson et son sosie qui lui descend de l'éléphant
 
GENE MEME : epigenetisme

predisposition influence

..non pas par mimétisme mais vraisemblablement parce que les facteurs extérieurs
ainsi que le terrain propice et emprunté par l'évolution de ses espèces non pas laissé d'autres alternative (une réponse unique à une problématique en somme).
Non pas que touts les autres alternative n'est pas pu exister, mais surtout par le fait que si il y en eux elles n'ont pas perdurées, et/ou été efficaces...

Ceci tendrait à sous entendre, tendrait à permettre, tout de même une certaine notion de prédétermination.

Une théorie que l'on rencontre lors de prospections "scientifique" sur l'apparence de possibles extraterrestres si il en ai, serait qu'à contrario des chimères en tout genre, qu'il est fort probable que l'espèce émergente d'une autre planète nous ressemblerait beaucoup... qu'ainsi il en serait de même pour leur écosystème et les espèces (ayant une palette de possibilités autorisant des variétés contraintes par leur environnement...) ainsi que pour leur planète. Il va s'en dire que nous cherchons d'autres planètes extrasolaires autant en vu de coloniser, de terraformer plus facilement (pour x-y raisons), que d'y trouver plus probablement de la vie...


En linguistique, ceux dont c'est la spécialisation utilisent un lexiques de plusieurs centaines de mots pour vérifier/organiser la filiation des langues (pas uniquement dans ce but).
Je me dois d'arriver sur ce qui à été relevé à propos de certains vocables et certaines phonétiques redondantes parmis le lexique de plusieurs langues.
Les mots pour dire "maman" etc

Il y a un parallèle fait avec l'acquisition du mot, l'âge où celui ci est abordé, les capacités psychomotrice...

Cela fait quelque années que je me demande, à l'instar du foetus qui selon une théorie suivrait lors de ses phases de développement les étapes de l'évolution de son espèce, si le jeune humain lors de son développement en corrélation avec l'acquisition du langage suivrait de la sorte un même récapitulatif. (Sans parler par la suite, de facteur environnemental, sociétale, politique... l'accès à l'école etc)


Il y aurait une corrélation entre sa facilité à prononcé via les labials en premier lieu et le fait qu'un des premiers réflexe est celui de succion, que les premiers objets figurant sa nécessité et les premiers besoins soient "rond" (cela n'est que speculatif mais je voulais le souligner). Apprivoisement de ses capacités, dextérité faisant , et peut être même tout cela déclenché par d'autres facteurs (tel que le reflexe de succion) lui permette de faire un récapitulatif vitesse grand V de l'évolution du Language chez son espèce???

Il y a un outil d'apprentissage en le mimétisme, pourrions nous penser qu'en mimant ses parents articuler (lors d'un sourir par exemple) et explorant sa palette sonore il est pu comme ses ancêtres franchir l'étape utile à l'évolution dans un milieu.

Que ce soit pour chasser, prévenir d'un danger, les oiseaux par exemple (mais pas que...) beaucoup d'espèces imitent le son du prédateur.

Signe, Signal... où ceci commence à glisser vers le système symbolique?!

comme si ....

Annecdote

Je me souviens d'un ami à l'époque qui faisait psycho, nous parlions, ou plutôt il me parlait du "système symbolique", nos opinions avaient divergés. Belle réthorique, effectivement, je ne savais pas bien ce qu'était le système symbolique, ni sa définition... et bel exemple pavlovien encore de sa part, je n'étais toujours pas convaincu de l'absence de système symbolique chez les autres animaux sans pouvoir l'expliquer. Cette conversation est sûrement tombée dans l'oubli pour lui, j'ai apprécié ces reportages sur koko la gorille. Voir la transmission de la langue des signes entre adultes et de générations en générations spontanément. J'ai été ébloui de voir ce gorille contraint par sa plasticité à trouver un autre moyen de signer. Plus intéressant encore, il a été admis que du moins pour le gorille et les grands singe qu'ils avaient bien un système symbolique, une notion d'extrapolation, qu'ils avaient un certain sens de l'humour, de l'ironie, de la surprise, de la mascarade, le moyen de feinter en appelant une chose par une autre... et mieux encore pouvoir inventer des mots, de façon intelligible, avec logique.

On a pu découvrir en outre que les gorilles avaient des coutumes, dans la société des gorilles un enfant élevé avec un autre qui n'est pas de sa famille ou même de son clan est considéré comme un frère ou une soeur.
 
ANALOGIE OU LOGIQUE ?
Koko à mis en évidence une notion de code et de moral dans la société des gorilles avec cette notion "le tabou".
Elle a manifesté un refus, une gène, lorsqu'on essaya de la faire se reproduire avec un gorille mâle qu'on adopta et fit grandir avec elle.

Elle manifesta l'expression d'une notion de "mal et de bien" lors des échanges avec son éducatrice (?) à ce sujet.


Il se peut lors de l'affiliation des langues qu'il y ai aussi un phénomène de convergence qui ferait que, quand bien même deux langues aient un lexique de base en commun, ces langues n'aient rien d'autre comme parenté que le fait d'avoir les mêmes contraintes psychomotrice de l'espèce, ayant peut être des convergences mais surtout allant en divergent.

Cela peut nous ramener vers la question ou vers la quête de la langue commune, la langue originelle... de Babel comme cela à été mentionné.
Je dirais "qu'importe le chemin que l'on empreinte pour arriver à cette question... ni même comment on la parcour" que ce soit d'un point de vu symbolique, spirituel, scientifique... où même inspiré de tout ceci... ce sont les articulations qui sont importantes!

Même par la scolastique, l'expérience de pensées, l'extrapolation... même par la mesure et l'observation seuls... ce qui compte ce sont les pistes de réflexions, que ce soient encore par l'art, la spiritualité, la philosophie, les maths etc

Et avant tout, avec toutes ces questions qui amèneraient une ou des application(s) concrète(s)... dans la vie, la première chose c'est "ce que tu en faits?!". Je ne néglige aucune pistes ni ne maintient aucune chose dans une interaction confiné... interragissant juste à l'angle depuis lequel on se penche.

Bien que parfois c'est un peu risible de voir des termes passés d'un sujet à un autre,
il y a toujours une articulations, un schéma qui révèle quelque chose d'intelligent ne serait ce que par l'imagination.

Je me souviens du terme "quantique" repris dans le domaine de la spiritualité depuis quelque années... la question c'est juste "qu'est ce que tu en fais?"... si on y trouve du sens dans sa propre vie, si cela ne fait pas de mal ni ne trompe volontairement les gens, si cela ne nuit pas, n'abuse pas de la naïveté...


bref je digresse non sans but de revenir sur le symbolisme, l'idiosyncrasie.
Car ce sont souvent les allégories et le symbolisme qui font le sujet classé plus ou moins entre "science" et "pseudoscience".
(C'est parfois là que les gens partent en cacahuettes)

Ce que révèle les Mancies (sciences de devinations) vu globalement, c'est toujours l'utilisations de phénomènes cognitifs tel que la Paréidolie. (Voir Paréidolie et la théorie évolutif de son apparition et son maintient... faux positif, vrai positif... pathfinding...) Parfois les charlatans utilisent des biais comme celui de confirmation. Toujours volontairement ou non, il y a d'autre modes de communications lors de ces entrevues , tel que la lecture à froid...

Tous utilisent l'interprétation symbolique et/ou intuitive.


Pour une petite anecdote, j'avais vu un reportage sur la misère des établissements psychiatriques... Il y avait une personne qui témoignait, lorsqu'on lui demanda de répondre du comment et du pourquoi de son idiosyncrasisme, il a répondu "... un catéchisme trop rapide!".

A l'image de sa maladie la réponse à fait sourire de part son contenu hors propos.
Les infirmières s'affairaient en relevant à peine, pour que sais-je, parce qu'elle ne doivent rentrer dans le jeu et donner du crédit, parce qu'elle s'en foutent, parce qu'elles n'ont pas compris...

Ce pendant cette réponse étaient aussi claire que drôle.

Je me suis dit qu'elle mettait peut être en lumière un fondement de ce trouble.

comparé avec langage des reves apocalypse ... schyzophrenie dil ...etc ...
Des associations symbolique excessives(?) qui tendrait à faire basculer un mot d'un lexique pour le substituer par un autre venant lui d'un autre lexique.

Que ce soit par le biais de néologismes, ou un principe non développé qui s'exprime par la contraction et le rapprochement de concepts éclectique dans la même phrase...

La symbolique et l'idiosyncrasie me semble régit par un phénomène de pathfinding et de chemins préférentiels.
D'ailleurs, souvent, ceux qui dans divers courants étudient et transmettent une grille de lecture symbolique nomment cela "initiation"
 
Il va de soit que lorsqu'on étudie un sujet, lorsqu'on se passionne, même les moments où cette activité n'est pas d'actualité, on arrive à capter des mots, des idées, des principes et pistes de cogitations. Des sortes de bulles qui pop, le cerveau les enregistrent, et ce de plus en plus souvent, de mieux en mieux, de plus en plus facilement on arrive à faire des connexions. (Typologie, tu me disais ranger sur ce site tes pistes de pensées, pensés dans lesquelles tu naviguent finalement lorsque tu reviens... mise en abime et sorte de métalepse d'une certaine façon)

Le Phénomène de répétition (largement utiliser dans la pub, l'industrie du disque, jusque dans ces formats américain de vulgarisations scientifique et autres reportages... des flashback, "previously"... jusqu'au bourrage de crâne) aussi assistent à ces chemins préférentiels lors de l'apprentissage.


Partager ici, par exemple, aide à la révision de mes idées sur le sujet... en plein pathfinding...haha

Je me vois mal critiquer plus l'exercice de la scolastique... comprenez également que depuis des milliers d'années les philosophes et scientifiques (qui étaient, parfois, pour ne pas dire "souvent", les mêmes) de tout horizon en ont tiré de belles et bonnes choses.
Tout autant que par la mesure, semblerait elle isolé de quelconque forme là aussi d' "interprétation ", d'une grille de lecture.
(Il y a toujours une grille de lecture, toujours une interprétation)


L'idiosyncrasie elle aussi est sujet à la culture et autres facteurs environnementaux.

À moins de parler d'un symbole dans un contexte clair et précis... les cultures ce sont mélangés, se mélangent, et plus depuis l'écriture jusqu'à l'arrivé des moyens de communication actuelles.


N'appelle t on pas les nouvelles choses par le nom de ce qui ressemble de près ou de loin à nos croyances ou croyances anciennes?! Ethernet, Apple...
Dans les contenus vidéo ne retrouvons nous pas des noms (plus ou moins déformés) tirés de la philosophie...
Je vois parfois des gens utiliser des symboles bien maladroitement, mais peut être ne sont ils qu'aux prémices de leurs considérations?! Chemin faisant...
Si on lance une discussion "fruit défendu", il peut y avoir plusieurs sensibilités culturelles, pour certain une pomme, pour d'autre une figue etc
Lors, de notre époque d'aucun ne peut vraiment ignorer le fait que l'idiosyncrasie fluctue, empreinte, sinon considère celle des autres.
Il en va pour tout autre symbole, l'arbre de la conaissance, du pêché etc etc


Toujours est il que par rapprochement même douteux parfois, cela match, à chacun d'en jauger de la qualité.

Quand on fait un rapprochement aussi hasardeux semble t il, servant je ne sais quel dessein, par étymologique par ex entre un myth "Babel" et le mot "balbutiements"...
Paternité ou pas, empreint ou non, abus peut être mais symboliquement cela fait sens. Et je ne crois pas que du vestige des vieilles civilisations, il n' y ai que dès pistes hasardeuses, qu'ils ne puissent avoir mis le doigt sur quelque chose lors de leur tentatives d'expliquer les chose, ou lors de leurs prospections.

Je digresse encore mais j'ai vu que le sujet avait été abordé.
Diverses motivations trouvent parfois un objectif commun:
le fait d'avoir observé la lune depuis toujours, la course à l'armement de la guerre froide... certain romantique arrive à nommer leur dulcinée "ma lune".

Il faut aussi considérer aux sujet des prospections en quoi elles servent à ce qu'elles se manifestent.

Il a fallu que la technologie suppose le permettre pour qu'on oeuvre plutard à faire ces chaussures à laçage automatique issue du film "retour vers le futur". Je ne sais plus quel scientifique parlant de fine frontière entre réalité scientifique et science fiction racontait: Quand j'étais jeune il n'y a que dans star trek qu'on pouvait voir un si petit appareil de télécommunications, il ponctuait par "Entreprise... téléportation!". Concluant que finalement les générations d'après ne se rendent même pas compte du pas franchi avec la téléphonie mobile.

Lorsque je voie les sénari de SF imaginés il y a bien longtemps, dans lesquels l'humanité souffre de tel ou tel dictature de conglomérat et/ou d'un gouvernement mondial élitiste et sans scrupule... qu'importe l'idée avancé, je m'interroge toujours sur le degré d'avertissement, le degré de "ça arrivera" tant même ce qui est déplaisant peut être cultivé et que parfois on engraine les choses à se focalise dessus de peur que justement cela arrive. Quid de la loi de Murphy ?!
 
J'ai envie de partager cette idée, qu'il est possible qu'une intelligence hors du temps ne perçoit pas les constituants avec une vision ponctuelle (la graine, la pousse, l'arbre, la fleure, le fruit... jeunes et ancêtres) mais l'ensemble des constituants et son continuum superposé. (Ainsi la notion de "potentiel" ne serait que si à la fois concrétisé, concret et concrétisable, cad dénué d'une notion de point de vu donné à un instant T).


J'arrive sur l'encapsulation, les protocoles dont tu as fait référence pour aborder les models procédural.

La première génération procédural à été fait astucieusement en réponse à un problème de mémoire en informatique.

Un concepteur de jeux avait utilisé un principe de "seeds"
pour générer le nom de planètes, de leurs attributs et ressources etc (de mémoire je crois que le jeu c'était "star elite").

A fin d'économiser un maximum de mémoire au début de l'informatique, il avzit organisé les groupes de bits et inversé leur valeur.
La "seed" issue d'une fonction "random" (Cad un chiffre pseudo aléatoire, contenu dans une fourchette...) modifiait des variables utilent à la génération des planètes suivant une procédure simple et précise.

Beaucoup de chose à présent son programmé de cette façon, des jeux vidéos (avec littéralement des univers entier),
des modèles de cartographies qui sont souvent utilisés combiné à un principe de formes autoréplicantes de types fractales auxquels on incorpore des erreurs pour faire moins symétrique... rendre une végétation plus vrai et moins artificiel en apparence par ex, ou encore en météorologie, en astronomie lors de modélisations de la création de l'univers et de son expansion, pour essayerc de comprendre la possible répartitions des amas de galaxies.

On les retrouvent dans les models de réseaux neuronaux artificiels, les IA, le deep lurning etc etc

Il se pourrait que l'ADN ai une version biologique de génération procédurale.

Les idées également! Quid alors du tronc commun avec son balbutiements de grammaire cogntive et par la suite sa divergence symbolique propre à une langue avec ses croyances et coutumes? L'acquisition et le développement du language pourrait être elle aussi procédural(?).


Je ne sais pas si il existe ne serait ce même un arbre phylogénétique des sciences.
Il ce pourrait que là aussi des embranchements éloignés convergent (quelle surprise à l'époque qu'on créée une nouvelle "science" en la psychanalyse à partir du cerveau, du comportement etc et de la symbolique... qu'elle drôle de rapprochement entre l'onirisme et la science).
Je me souviens, il y a une 20ène d'années, de ces lunettes aux verres teintés qui ont fait la mode, après l'émergence d'études et d'essaie à propos des couleurs et du psychisme.

Il en résultait que si la symbolique des couleurs est culturel il en demeurerait néanmoins une certaine tendance général, une sensibilité quand à la couleur des filtres et à l'influence de ceux-là sur l'état d'esprit général des individus toutes populations confondu... un tronc commun encore semble t il peut être propre à l'espèce.

(Goethe avait écrit son traité des couleurs, il y a aussi newton... ça vaut au moins le coup d'oeil même si cela parle d'optique et de plein de chose, pas forcément de ce qu'on cherche explicitement...).

De la même façon avec l'émergence des sons binauraux, des drogues numériques, de l'étude (?) de l'influence des fréquences sur le comportement (souvent il est donné tel ou tel fréquences pour tel ou tel effet: méditation , stimulant...) cela vaudrait le coup de s'y intéresser.

Je me souviens de plusieurs études sur le son, l'une était sur l'influence de la musique sur la consommation (Il semblerait que dans les magasins une musique au rythme soutenu ferait plus consommer, au-delà d'un certain point cela aurait un effet inverse).
L'autre étude/expérience plus intéressante était fait par un musicologue et un psy sur des classes d'enfants allant de 5 à 8 ans, cela portait sur la mise en évidence de la création musicale via des phrases qu'on faisait répetter x fois.
Peut être le fait d'aborder cela comme un jeu, peut être sous influence de l'instinc grégaire ou du cadre scolaire , il ressortait qu'outre le fais de perdre le sens du mot (Je ne me souviens plus du nom de ce phénomène connu, lorsqu'on répète un mot à en perdre son sens) il résultait que la phrase prononcé devenait naturellement "chanté". Petit à petit, passant par une sorte de proto mélodie en accentuant et modulant les vocables en fonction des percussives, le rythme naturel des sonorité de la langue entraînait le processus mélodique.
 
SEMIOTIQUE
COMMENT RELIER OU SEPARER ISOLER les signes ?

Il va sans dire que partout dans le monde les chansons et la musicalité est au centre des cultures, dès le berceau et même bien avant cela dans le ventre de la mère.

Quid alors de la culture comme tu soulevait la question, et Quid de l'iné peut être dans cet autre tronc commun de l'espèce à la mesure d'un possible schéma récapitulatif de l'acquisition du langage lors du développement de l'enfant?
(Comme je faisais référence pour la théorie de la récapitulation précédemment).
Pourait on aussi trouver en l'étude des mots d'une langue par l'idéesthésie des sensibilités émotionnel/idéel/psychologique propre à chaque culture.

Tu peux jeter un oeil sur la "créolisation", ça pourrait t'intéresser dans la foulée, ce pourrait t'emmener vers d'autres questionnements, surtout pour ce qui est de la création de langues chez les enfants laissé à l'abandon entre eux par exemple ( ce qui ne veut pas dire qu'il n'y ai d'influences extérieurs... il vivent dans monde... ils ont été portés par une mère...).


J'ai déjà aborder la forme au travers de l'articulation et celle via la bouche, mais j'aimerais parler sur ce qui est de l'écriture.
Comme tu soulignait celle des caractères japonais (idéogrammes)...c'est souvent pris comme exemple.


Il y aussi ces interprétations des alphabets, et des lettres qui les composent (que ce soit la graphie et la prononciation, qui parfois tendent à se corroborer). La lettre "A" qui serait symboliquement la lettre première marquant le début de l'écriture en corrélation avec le mode de vie sédentaire prédominant dans notre notre société (agriculteur et l'élevage), cela propice à l'émergence de la Civilisation.

Une lettre qui est commune à pas mal de civilisation voisines qui ne partage pas forcément le même alphabet par ailleurs (Alif, Aleph, Alpha), cela peut être par calque, empreint, ou par filiation. Pour certain ce serait le signe d'une tête de vache puis au fil du temps ce serait vu inversé. (J'avoue que par analogie, mon cerveau à chaque fois pense a l'iconodouli, dans les écritures, à propos des adorateurs du vaux d'or).

Chaque alphabet possède une graphie rappelant un objet, voir une prononciation qui est propre à une culture.

Souvent pour étayer leur recherche sur une langue originelle, les chercheurs de tout bord prenaient comme exemple la lettre "S" de l'alphabet latin...

On a rejeté cela au fil du temps, puis dans la communauté certains se sont mis à repenser cette hypothèse d'associations idée/phonétique/graphologique à la lumière de l'idéesthésie (comme entre autres facteurs) comme étant un vestige probable.

Plus encore pour ce qui est de la psychologie des formes, les signes et la Synchronicité.

On pourrait parcourir (peut être avec le cliché vulgarisant qu'on a de) par l'angle l'autisme, l'idiosyncrasie maladif, l'interprétation des bricoleur contemporain de la mystique,
cet exemple de Sartre :

Où l'autisme trouverait tout isolé pertinemment, sinon d'égale valeur, il "trouverait" la singularité de chaque élément "sans chercher".
Ne reliant rien de ses objets entre eux, sinon éventuellement comme éléments d'une sommes de pertinence (Quand Paul est là, le monsieur avec sa chemise à carreaux s'assit autre part...) de façon plus fine et consciente qu'une personne lambda le ferait.

Un malade avec son idiosyncrasisme y trouverait peut être une autre grille de lecture,
même un schizophrène qui peut être aussi autrement qu'un mystique trouverait des "signes".

Focus, et mise au point. Tel les caméras, qui ont parfois une netteté de 10-20-30 centimètres à plus ou moins l'infini, d'autres qui ont cette propriété de mettre en avant un objet à un certain plan et de flouter le reste... au besoin d'une mise au point.
Ou encore le fait que sur numérique la résolution autorise bien plus de zooms et de recadrage comparé à l'authentique.

L'importance des objets au delà de la corrélation entre leur emplacement tel "un pourquoi du comment ils sont là" comme lors d'une chaine des effets se fait par celui qui arpente le lieu.
Même sans parler de possible spécificité (autisme etc) la convergence ape chaque objet vers un but
 
STIMMUNG : ECOPHENOMENOLOGIE

Les signes sont dans un premier temps mécanisme du pathfinding, offrant le oui ou le non, une valeur à implémenter qui se confront à la prospection. On pourrait y voir des éléments de probabilité. Un fois l'objet principal trouvé, il n'y a plus convergence et ces éléments secondaires cessent d'exister dans leur pertinence.
S'offrirait à nous tout un éventail de direction, d'importance, de présence, qui participe à la perception qualitatif de l'environnement... fonds et formes, sujet principal seraient des notions subjectives.

D'un point de vue sptituel, philosophique voir religieux, Le symbolisme seraient l'Approb des signes par l'interprétation.

Une corrélation insidieuse du chemin à empreinter, parfois un moyen de se faire guider.
Il y aurait prédétermination puis un vestige prévisible et prévu.
Une fois que l'objet principal cherché est trouvé, les autres éléments secondaires appuient celui ci.

Je n'oppose pas le concept de pathfooding ( sélection d'embranchement par l'expérience physique sur chaque terrain) au "choix" (spéculation en amont...).
Quelque soit l'angle il n'y aurait que prédisposition pour appréhender les objets comme un survolé, mais la perception serait ponctuée et ponctuelle.


Je trouve beaucoup de cette "idéesthésie global" et poétique dans l'oenologie ou dans toutes ses "sciences du verbe" qui mettent en évidences le caractère singulier de l'objet par glissement et empreint de lexique. La description est sensitif et colle à une idée du constituant de l'objet.

(Dans l'ordre d'idée gestaltthéorie, il y a aussi le principe de "
Dasein")


Je me suis intéressé à
l'héraldique (science des blasons). Véritable mélange de signaux, sigles, et de symboles... a l'époque ou seul le visuel permettait d'identifier de loin un adversaire, un allier, son clan, ses intention, sa région... son histoire son nom de famille parfois. Un cassure dans une famille ou un schisme dans une confrérie religieuse, par exemple était représentés par des lignes brisé... Un nom de famille était symbolisé par l'étymologie, la phonétique, la décomposition etc etc
J'ai étudié cette "
langue des oiseaux" (langue des anges, considéré aussi comme " langue primordiale... ) et ce double langage des alchimistes et autres mystique). L'intéret à émergé un peu avec l'arrivé de mystiques new age, de théoricien du complot et autre francmachonnerie ces derniers temps.
À travers la poésie, à la recherche de "
complications"(comme en horlogerie) pour enrichite le moyen de faire passer mes idées, sentiments.
Pour suggérer d'autres grilles de lectures, que les échos, les ricochaient alimentent les volutes dans différents méandres.
Tout ceci à fin de poser la sphère d'idées à la fois hors et à l'intérieur de boîtes contextuelles.
Boites pouvant interagir comme le ferait les objets, le fond et la forme, de personnification en glissement d'avatar.

J'aime l'idée d'illusion (où non), d'une troisième ou Nième histoire comme
un arrière goût que l'on devine.
(Bernar Werber avait fait référence à ce phénomène à propos d'un compositeur qui utilisais un procédé presque semblable en musique)
 
On comprends l'utilisation du mécanisme de rangement et de sélection avec chaque sens d'un mot et le caractère initiatique ou averti... la clef de compréhension, et aussi/donc "d'association" d'un symbole tient à l'acquisition d'un jargon idiosyncrastique. (Pouvant s'appuyer sur de l'histoire, de la mythologie, des sciences etc Et peu aussi être personnel autant que personnellement affiné/arpentée).

Il y a des exemples connus d'homophonie de mots, groupes de mot, de parties d'un mot décomposé.

Fait vrier, février, fève-riez... par exemple
...

Se posait alors la question de l'échelle de valeurs et de priorité quand à l'empreinte cognitive et l'impact émotionnel dans le contenus d'une information.

Lorsque l'oeil et l'oreil (par ex mais pas que) étaient mélangés sur un support propre à l'autre,
Et quand divers supports côtoyaient divers lexiques et interprétations, lorsqu'ils ont un bagage d'une sensitivité différentes... où se trouvent les priorités idéesthésique de toutes ces façons d'appréhender un sujet?
Rien qu'au travers d'un mot lu, sa charge, la charge de ses composants et plus petites unités, comme aussi bien le rôle du mot dans la phrase...

Signifiant et signifié, phonèmes, sèmes, graphie, morphologie, signe, symbole... tout pourrait converger.

L'enchevêtrement et le connexions seraient de nature idéesthésique par essence.
Leur manifestation en fil logique qu'une forme identifiable à un moment ponctuelle. (Une latance)

Tel qu'il y aurait un homonculus sensitif (Voir wikipédia) il pourrait y avoir un homonculus idéesthésique
 
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