Sarkozy: "Fais pas le malin, toi"
Présent à Chambéry pour une commémoration, le président de la République française a sermonné un jeune homme qui s'est essuyé la main sur son pull après lui avoir serré la main.
Après le "Casse-toi alors pauv'***", Nicolas Sarkozy a lancé un triple "Fais pas le malin, toi" à un jeune homme qui s'était essuyé la main sur son pull après avoir serré celle du président.
Présent à Chambéry pour commémorer le rattachement de la Savoie à la France, le chef de l'État français s'en est pris à cet inconnu lors d'un bain de foule devant la mairie.
Plus tôt, dans son discours, Nicolas Sarkozy avait vanté "l'intégration de la Savoie" comme "valeur d'exemple", à l'occasion du 150e anniversaire du rattachement de la région à la France.
""L'unité de la France a plus à craindre d'une uniformité rigide que d'une souplesse dans la diversité et la reconnaissance de chacune des identités de notre territoire. On ne bâtit pas un grand pays en niant les identités de toutes ces petites patries qui font la grande patrie française. Il y a dans la Savoie comme un condensé de France. On ne construit rien sur le dénigrement systématique", sur "la haine", sur "l'exclusion", a ajouté Sarkozy. "On ne construit rien sans le travail, sans la droiture, sans le devoir."
7sur7.be
Présent à Chambéry pour une commémoration, le président de la République française a sermonné un jeune homme qui s'est essuyé la main sur son pull après lui avoir serré la main.
Après le "Casse-toi alors pauv'***", Nicolas Sarkozy a lancé un triple "Fais pas le malin, toi" à un jeune homme qui s'était essuyé la main sur son pull après avoir serré celle du président.
Présent à Chambéry pour commémorer le rattachement de la Savoie à la France, le chef de l'État français s'en est pris à cet inconnu lors d'un bain de foule devant la mairie.
Plus tôt, dans son discours, Nicolas Sarkozy avait vanté "l'intégration de la Savoie" comme "valeur d'exemple", à l'occasion du 150e anniversaire du rattachement de la région à la France.
""L'unité de la France a plus à craindre d'une uniformité rigide que d'une souplesse dans la diversité et la reconnaissance de chacune des identités de notre territoire. On ne bâtit pas un grand pays en niant les identités de toutes ces petites patries qui font la grande patrie française. Il y a dans la Savoie comme un condensé de France. On ne construit rien sur le dénigrement systématique", sur "la haine", sur "l'exclusion", a ajouté Sarkozy. "On ne construit rien sans le travail, sans la droiture, sans le devoir."
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