Sarkozy invite Assad en 2008. Suite au désaccord sur le pétrole : Sarkozy promet une Syrie à feu et à sang rejoignant le projet israelo anglo US

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Quovadis
  • Date de début Date de début
Cela rappelle l'invitation à Kaddafi avant que

Sarko et l'Otan ne ruinent son pays et le font

assassiner par leurs terroristes.

Mais les raisons sont d'une part, qu'il etait en passe

de créer une banque alternative d'Afrique avec

des capitaux libyens pour affranchir les africains

du rackett du FMI à des taux d'usurier en plus

d'en prendre la souveraineté via les conditions

imposées et d'autre part de ne plus vouloir

traiter les ventes de son pétrole en dollars.

Ajoutons qu'il a fait envoyer un satellite de

télé commincations pour l'Afrique pour 400.000

dollars en une fois, pour éviter que ce continent continue

de se faire arnaquer par la location d'un satellite

européen pour 500.000 dollars PAR MOIS.

Pour moins que ces 3 raisons les occidentaux ont

fait des coups d'état et ou des assassinats contre des

dirigeants qui voulaient s'affranchir du carcan

des puissances étrangères occidentales.





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Dernière édition:
Pipelines de pétrole ou de gaz, refus de bases

US, intérêts commerciaux, intérêts d'expansion

israeliens...etc...des tas de raisons qui

intéressent les puissances maléfiques qui ont

ruiné ce pays pluri millénaire et multi

confessionnel.

Mais jamais l'occident ne se mobilise pour les

droits de l'homme des damnés de la terre.

Jamais.

Les USA ont renvoyé des bateaux remplis de

réfugiés juifs fuyant le nazisme alors que

le territoire volé aux amérindiens est immense.

La moitié de ces réfugiés revenus en Europe

ont fini dans la camps.

Jamais les anglosaxons ne se sont souciés

des droits des autres non WASP dans leur

histoire. Ils ont même vendu des irlandais

aux caraïbes.

Ils ont gazé les arabes et les Kurdes pour

pour contrôler Mossoul.

S'ils se souciaient de la vie d'enfants arabes

ils ne fourniraient pas des bombes aux

génocidaires sionistes en plus de faire barrage

avec le veto pour un cessez le feu et pour cesser

la colonisation des neo nazis israeliens au

mépris du droits et résolutions de l'ONU.

Droits de l'homme tu parles.

Tous les dictateurs pro US ont continué a violer

les droits humains avec leur protection et même

qui sont arrivés au pouvoir par des coups d'état US.



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Les références :D
Julien Rochedy, né le 10 mars 1988 à Guilherand-Granges (Ardèche), est un homme politique français d'extrême droite.

Il milite au Front national de 2006 à 2014, où il assume la fonction de directeur national du Front national de la jeunesse (FNJ) entre 2012 et 2014. Demeurant actif à l'extrême droite, il poursuit ses activités comme entrepreneur et vidéaste.
Il adhère au FN en 2006, et participe à la campagne de Jean-Marie Le Pen pour l'élection présidentielle de 2007. Se disant « dégoûté que les Français choisissent Sarkozy » à cette élection, il ne renouvelle pas son adhésion l'année suivante.

Il réadhère au parti en 2010, séduit par Marine Le Pen<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Rochedy#cite_note-Coroller|2012-3">3</a>. Lorsque celle-ci prend la présidence du FN au congrès de Tours en 2011, il entre à la direction nationale du FNJ, chargé de la formation politique des jeunes. Quelques mois plus tard, il est nommé porte-parole.

Lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, il est président du mouvement « Les Jeunes avec Marine », créé pour l'occasion, et conseiller politique à la jeunesse de Marine Le Pen etc etc

On retrouve de plus en plus de notre Yanyan et notre Michel Col long qui revient aussi .

Une autre vidéo de la même chaîne youtube


Le même qui adule Poutine et Trump :



Islam dehors et remigration :


Tu as de sacrés références pour un soit disant « intellectuel « du copier/coller qui a une bibliothèque de 300 m de long sur 18 étages :D
 
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Quatre idées reçues sur la guerre en Syrie​

Guerre de religion ? Guerre énergétique ? La Syrie État laïc ? L'EI est une création de ?...

Une guerre se livre sur tous les fronts, notamment sur celui de l'information. Le conflit syrien, qui rentre aujourd'hui dans sa sixième année, ne fait pas exception à la règle. Les puissances, les médias, les analystes livrent des récits multiples qui alimentent, consciemment ou non, la confusion sur la nature et les enjeux de ce conflit. Dans ce marasme d'informations, construit à partir d'une logique de storytelling, se confondent mythes et réalités. Les théories les plus loufoques, qui ne s'appuient sur aucun fait, sont relayées, notamment sur les réseaux sociaux, et impactent profondément la compréhension du grand public.
Retour sur quatre idées reçues sur la guerre syrienne, qui ont la dent dure.

La guerre en Syrie est une guerre de religion
Une guerre de religion est une guerre opposant les partisans de religion différente. Si la dimension confessionnelle du conflit syrien est impossible à écarter, cela n'en fait pas pour autant une guerre de religion. La thèse d'un simple affrontement entre la majorité sunnite, représentant plus de 72 % de la population syrienne et la minorité dirigeante alaouite, branche du chiisme, ne résiste pas à l'analyse factuelle.

Dans la foulée des printemps arabes, la rébellion est en marche, en 2011, contre le régime au pouvoir, jugé répressif et corrompu. Des manifestations transcommunautaires vont éclater dans tous le pays. Les chrétiens de Syrie, souvent caricaturés comme un bloc homogène et prorégime, vont participer à ces manifestations. À Daraya, ville de la banlieue sud de Damas majoritairement sunnite, où vivait une communauté chrétienne, les premières protestations pacifiques se feront au son des cloches des églises. Certaines personnalités issues de la communauté assyrienne feront les frais de la répression du régime, comme Gabriel Mouchi Kouriyeh arrêté à Qamichli le 19 décembre 2013, puis jugé pour « contact avec des personnalités de l'opposition extérieure ».
D'autres figures de l'opposition syrienne chrétienne, comme Michel Kilo, membre de la Coalition nationale, et Georges Sabra, président du Conseil national syrien, verront leurs biens confisqués. Ce dernier sera le meneur, en 2011, du mouvement de rébellion de sa ville, Qatana, au sud-ouest de Damas, ce qui lui vaudra d'être emprisonné. Il lui sera reproché d'avoir « porté atteinte au moral de l'État », d'avoir voulu « créer un émirat islamiste (à Qatana) et d'avoir » incité les gens à manifester « contre le régime du président Bachar el-Assad.
 
Plus le conflit s'est prolongé, plus sa dimension communautaire a pris de l'importance, en raison des stratégies du régime et de ses alliés, mais aussi de celles des puissances régionales qui ont parrainé l'opposition armée, à savoir la Turquie, le Qatar ou l'Arabie saoudite. Cette opposition armée est aujourd'hui composée uniquement de sunnites. La population vivant dans les régions rebelles est exclusivement arabe sunnite. Le recrutement militaire se fait également à partir de critères confessionnels. Les combattants étrangers côté régime, libanais, afghans, pakistanais, iraniens, irakiens, sont mobilisés en raison de leur appartenance à la communauté chiite. Du coté des jihadistes de l'État islamique ou d'al-Nosra (branche syrienne d'el-Qaëda), c'est le même principe. Les recruteurs font grossir leurs rangs par des personnes aux nationalités diverses, mais à la seule condition que celles-ci soient sunnites.

Cela étant dit, il serait réducteur de présenter le conflit syrien comme une guerre sunnito-chiite. La ville d'Alep en est le meilleur contre- exemple. La partie ouest, contrôlée par le régime, est essentiellement peuplée d'arabes sunnites, tout comme la partie est, aux mains de l'opposition. Ici le facteur prépondérant est l'appartenance sociale (bourgeoisie/classes populaires) et non l'appartenance communautaire. Dans le même sens, la province de Lattaquié, présentée comme le fief de la famille Assad, est aujourd'hui majoritairement peuplée par des sunnites, qui se sont réfugiés dans les zones progouvernementales.
Aux critères communautaires et sociaux s'ajoute le critère ethnique. Les Kurdes syriens, (plus de 8 % de la population) sont à 95 % sunnites, mais cette minorité n'est pas entrée en conflit direct avec le pouvoir en place, et n'a pas non plus rejoint la rébellion.
 
L'enjeu de la guerre en Syrie, c'est le gaz et le pétrole
Les théories complotistes sur l'origine de la guerre en Syrie pullulent et prospèrent sur la toile. Elles sont étayées par les propos de plusieurs personnalités de premier plan, d'experts ou de journalistes. À titre d'exemple, Robert Kennedy Junior a révélé le mois dernier dans Politic les « vraies raisons de la guerre en Syrie ». Selon cet avocat, « la décision américaine d'organiser une campagne contre Bachar el-Assad n'a pas commencé avec les manifestations pacifiques du printemps arabe en 2011, mais en 2009, lorsque le Qatar a offert de construire un pipeline pour 10 000 millions de dollars qui traverserait l'Arabie saoudite, la Jordanie, la Syrie et la Turquie ». Bien avant lui, l'ancien ministre français des Affaires étrangères, Roland Dumas clamait que « les Anglais préparaient la guerre en Syrie deux ans avant les manifestations de 2011 ». Des thèses qui donnent du crédit au récit officiel du régime syrien, qui se dit victime d'un complot international. Comme chaque théorie complotiste, celle de l'enjeu des hydrocarbures en Syrie s'appuie sur une partie de la vérité, mais elle l'a déformé et en fait la seule grille d'analyse d'un conflit multidimensionnel.

En 2009, le Qatar propose effectivement à Bachar el-Assad la construction d'un gazoduc reliant leurs deux pays en passant par l'Arabie saoudite et la Jordanie afin d'acheminer le gaz du gisement North Dome, situé dans le golfe Persique, vers l'Europe. Mais Damas refuse le projet de l'émir qatari et signe en 2011 avec Téhéran un accord pour la construction d'un gazoduc reliant l'Iran à la Syrie en passant par l'Irak. Selon un rapport de l'AFP, la justification du refus d'Assad était « de protéger les intérêts de (son) allié russe, premier fournisseur de gaz de l'Europe ». Tous les acteurs extérieurs du conflit syrien, à savoir l'Iran, la Russie, le Qatar, l'Arabie saoudite, la Turquie et les États-Unis sont des puissances ayant d'importantes ressources énergétiques, et le territoire syrien a une positon stratégique pour acheminer du gaz des pays arabes ou de l'Iran à l'Europe.

Mais même si la question énergétique figure parmi les enjeux du conflit syrien, elle n'en est pas le plus important et elle ne saurait en expliquer l'origine. La confrontation politique entre l'Iran et l'Arabie saoudite, les deux candidats à l'hégémonie régionale est, à titre d'exemple, plus déterminante que la question énergétique pour comprendre le conflit syrien.
Les limites de cette thèse ne manquent pas : les Russes et les Iraniens ont par exemple des intérêts concurrentiels sur la question des hydrocarbures, alors qu'ils coopèrent tous les deux pour soutenir le régime. Les Occidentaux, particulièrement les Américains, et Israël, qui sont accusés d'avoir fomenté cette révolution, sont pourtant relativement restés en retrait par rapport aux puissances régionales et à la Russie. Les interventions des puissances régionales ont toutes été motivées par des considérations politiques, stratégiques et religieuses et non par une volonté d'installer la démocratie en Syrie. Mais propager l'idée d'un complot contre la Syrie vise à dédouaner le régime et ses alliées de leurs responsabilités et à cacher les réelles origines des manifestations de 2011 : la lutte pacifique et transcommunautaire contre un régime répressif.
 
La Syrie est un état laïc
Novembre 2012. Dans une interview accordée à la chaîne de télévision russe Russia Today (RT), le président syrien prétend que son régime est « la dernière forteresse de la laïcité «» au Moyen-Orient. Mais qu'en est-il réellement ? Dans une thèse intitulée La problématique de la laïcité à travers l'expérience du parti Baas en Syrie (2012), Zakaria Taha porte la lumière sur la prétendue laïcité du pouvoir syrien. « La laïcité constitue un aspect important de l'idéologie du parti Baas à laquelle sont attachés nombre de baassistes. Avec la transformation du pouvoir politique en régime autoritaire, la laïcité fait l'objet d'une manipulation de la part des dirigeants, dont l'objectif premier est de conserver le pouvoir », explique-t-il.

L'État est-il alors vraiment séparé de la religion ? Depuis la Constitution syrienne de 1973, le président se doit d'être musulman. Cependant, l'islam n'est pas religion d'Etat. La famille Assad a toujours pu compter sur un ministère des Affaires religieuses et un mufti de la République pour gérer une bureaucratie islamique. Et comme le rappelle Jean-Pierre Filiu, dans son article Le mythe de la laïcité des Assad, les imams, en Syrie, sont censés tous les vendredis célébrer la gloire du chef de l'État et ses réalisations. Pour démontrer sa laïcité, le régime a « tenté de promouvoir une représentativité des communautés notamment minoritaires au sein du gouvernement et de l'armée: un moyen de se rallier les diverses communautés et de se présenter à l'extérieur comme un régime soucieux des droits des minorités », estime Zakaria Taha. Les alaouites, dont est issu la famille Assad, dominent les postes importants du pouvoir. Cependant, le pouvoir baassiste a toujours fait prévaloir une représentation des minorités religieuses et a rallié à ses côtés de nombreuses personnalités sunnites. Zakaria Taha conclut que « la laïcité reste la seule carte à jouer par le régime qui se présente, envers les minorités, comme le rempart à tout conflit ».

L'État islamique est une création de...
L'État islamique (EI) est né sous X. De nombreuses théories, souvent contradictoires, approprient la paternité du mouvement jihadiste à une ou plusieurs puissances internationales. Les deux thèses les plus en vogue étant que l'EI serait une création de Bachar el-Assad, ou l'EI serait une création des États-Unis et de ses vassaux au Proche-Orient, Israël et l'Arabie saoudite.

... du régime syrien
La première thèse s'appuie sur deux arguments : primo, l'État syrien achète les hydrocarbures de l'EI et, deusio, il ferait semblant de combattre le groupe jihadiste. Le premier argument est avéré et a même fait l'objet de plusieurs articles détaillés comme celui du journal Le Monde le 26 février 2016 intitulé « En Syrie, le régime, la Russie et l'État islamique unis pour exploiter un champ de gaz ». Mais le régime n'est pas le seul acteur à acheter du pétrole de l'EI. L'organisation jihadiste s'étant emparée de nombreux champs d'hydrocarbures, tous les acteurs du conflit syrien sont obligés de collaborer avec lui pour être alimentés en gaz et en pétrole.
Concernant le deuxième argument, il pouvait être défendable jusqu'à juin 2014. Le régime et l'EI évitaient en effet jusqu'alors la confrontation et se concentraient, l'un comme l'autre, sur le combat contre les milices rebelles. Mais depuis, les deux camps s'affrontent à peu près partout dans le pays. Les jihadistes multiplient, en outre, les attentats contre des positions gouvernementales. Les plus importantes ont touché au mois de février la ville de Homs et le mausolée de Sayyeda Zeinab. L'instrumentalisation des groupes jihadistes par le régime Assad, notamment au moment de l'intervention américaine en Irak et la libération, en 2011, des prisonniers islamistes, a contribué à populariser la thèse d'une accointance entre l'EI et le régime. Mais cette idée omet un fait essentiel : l'EI est avant tout une organisation irakienne.

... des États-Unis, d'Israël et de l'Arabie saoudite
Selon Robert Kennedy Junior, « la CIA a utilisé les membres du groupe extrémiste État islamique pour protéger les intérêts des États-Unis sur les hydrocarbures et instrumentaliser les forces radicales pour réduire l'influence de (l'ancienne) Union soviétique dans la région ». Les propos de l'animatrice de la télévision égyptienne al-Hayat, Iman Izz el-Din, en novembre 2015, vont encore plus loin. Selon elle, l'EI « est une création israélo-anglo-américaine et ses initiales (ISIS) sont celles de Israeli Secret Intelligence Service (Services secrets de renseignements israéliens) ». Et de poursuivre : « Le chef de l'EI, Abou Bakr el-Baghdadi, est un juif nommé Simon Elliot, et est soutenu par le sénateur américain John McCain. Les comparaisons avec Ben Laden abondent sur les réseaux sociaux, dont la formation militaire en Afghanistan par la CIA n'est plus un secret. »
 
Les États-Unis ont une part de responsabilité dans la création de l'EI du fait de leur intervention en Irak. L'EI est en effet un héritage du groupe el-Qaëda en Irak qui s'est implanté dans le pays à la faveur de l'intervention américaine. De la même façon, les pétromonarchies du Golfe, mais aussi la Turquie, ont aussi une part de responsabilité dans le développement de l'organisation jihadiste. La Turquie a longtemps fermé les yeux sur les jihadistes qui souhaitaient se rendre en Syrie et l'organisation jihadiste a pu compter, à ses débuts, sur des dons privés venus du Golfe. Toutes les puissances de la région, excepté Israël, sont actuellement engagées dans la lutte contre l'EI, qui constitue une réelle menace pour eux. Mais parce que cette lutte n'est pour l'instant pas leur priorité, ils ont fait – et continuent de faire – le jeu de l'organisation jihadiste, qui est avant tout forte de la faiblesse, ou de l'hypocrisie, de ses adversaires. Compte tenu de l'imbrication des acteurs et de l'histoire de l'organisation, faire d'une seule puissance la génitrice du mouvement est une idée simplificatrice et, pour l'instant, impossible à prouver.

 
VERIF' - Syrie : comment la sphère pro-Assad contre-attaque sur le champ de la désinformation


Une semaine après la chute du régime de Bachar al-Assad, des comptes pro-russes, pro-iraniens, mais aussi pro-israéliens ciblent les rebelles syriens.

Mais depuis quelques jours, la contre-offensive du camp pro-Assad s'organise. L'ancien chef d’État syrien a lui-même mentionné "un flot de désinformations et de récits très éloignés de la vérité" dans son premier communiqué après sa fuite (nouvelle fenêtre), ajoutant qu'"il est essentiel de s’attaquer à ces distorsions". Pour cela, il peut compter sur des acteurs assez disparates, allant de comptes pro-iraniens, pro-russes en passant par des pro-israéliens.

Al-Jolani, cible directe de la désinformation​

Cible toute trouvée : le chef de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), Abu Mohammed al-Jolani, nouvel homme fort du pays. Plusieurs publications tentent de le présenter comme piloté par Israël, et vont même jusqu’à analyser les vêtements du chef de HTS : sur ce compte ouvertement pro-iranien (nouvelle fenêtre), al-Jolani est même accusé de porter un "équipement tactique fabriqué en Israël" sur lequel on peut lire l'inscription "Emersongear". Mais cette société n’a rien à voir avec Israël puisqu’elle est basée en Chine (nouvelle fenêtre). Celle-ci a même publié un billet de blog (nouvelle fenêtre)pour affirmer qu’il ne s’agissait pas d’une veste authentique, mais probablement d’une contrefaçon.

Supposées exactions et désinformation géopolitique​

Associer les rebelles à l'État islamique est une des stratégies qui prédomine. Ce compte pro-russe affirme notamment montrer que le Premier ministre syrien fraichement nommé, Mohammad al-Bachir, est en réalité un ancien membre de l'État islamique, photo à l'appui. Si la ressemblance peut surprendre, il ne s'agit pas du même homme. Celui de gauche est Rachid Kassim (nouvelle fenêtre), un recruteur de l'État islamique connu pour avoir recruté des combattants français et présumé décédé.

Des comptes pro-israéliens insistent également sur la violence des groupes rebelles, les associant. Pour cela, ils affichent de supposées exactions des rebelles, en particulier avec les anciens membres du régime de Bachar al-Assad. Certains châtiments affichés sont particulièrement choquants, comme une vidéo censée montrer un proche de Bachar al-Assad enterré jusqu’au cou (nouvelle fenêtre). Pourtant, il suffit d'écouter l’homme enterré, voire de remonter à la source de la vidéo postée sur TikTok par des internautes soudanais, pour comprendre qu’il s’agit d'un exercice militaire où l'homme est sommé de décliner son nom. Si la source exacte de la vidéo n'a pas pu être retrouvée, les uniformes visibles au second plan sont généralement ceux utilisés par l'armée soudanaise. (nouvelle fenêtre)Le dialecte utilisé correspond davantage à un arabe parlé entre le Soudan et la Libye, et donc pas celui de Syrie.

Enfin, d’autres comptes, parmi lesquels des pro-russes, tentent d'utiliser la situation géopolitique au Moyen-Orient pour semer la confusion. Celui-ci (nouvelle fenêtre)affirme notamment que le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, aurait déclaré que "les villes que nous appelons Alep, Idlib, Damas et Raqqa deviendront nos provinces". L’extrait est en réalité tronqué, et le chef d’État turc mentionnait les frontières déterminées après la Première Guerre mondiale. Il évoquait le fait que ces villes syriennes auraient pu être turques si le découpage choisi avait été différent à l’époque, comme l'a clarifié un journaliste du média turc TRT World (nouvelle fenêtre). Rien à voir donc avec une stratégie révélée au grand-jour.

Ainsi, que l'objectif soit d’exploiter les inquiétudes concernant l'extrémisme des groupes rebelles, de promouvoir des théories du complot ou d’exacerber les tensions géopolitiques, les méthodes convergent dans leur objectif final : saper la crédibilité des rebelles et prôner un retour de Bachar al-Assad.
 
Les pays du Golf sont impliqués jusqu'au cou. Ce sont les premiers à ne pas vouloir un moyen orient démocratique. Ce sont des dictatures monarchistes qui ne pourraient pas se maintenir autour de pays qui offrent un autre modèle, surtoutsi c'est un modèle de réussite. C'est pourquoi participer à détruire ces pays (ce sont peut étre même les initiateurs) a été indispensable pour eux.

Les monarchies dites musulmanes reposent sur un système esclavagistes. Les monarchies pauvres esclavagisent leur peuple et les monarchies riches importent des esclaves de pays pauvres qui travaillent pour eux.

On peut évidemment blamer l'occident prédateur qui ne renoncera à aucune opportunité qui se présente pour s'accaparer des ressources, sans ressources s'en est fini d'eux. Mais les monarchies arabes font quoi avec ce pouvoir et cet argent : absolument rien que de consommer des biens matériels. Ils participent a tuer des millions de gens pour de la consommation. C'est d'un pathétique.
 
Les pays du Golf sont impliqués jusqu'au cou. Ce sont les premiers à ne pas vouloir un moyen orient démocratique. Ce sont des dictatures monarchistes qui ne pourraient pas se maintenir autour de pays qui offrent un autre modèle, surtoutsi c'est un modèle de réussite. C'est pourquoi participer à détruire ces pays (ce sont peut étre même les initiateurs) a été indispensable pour eux.

Les monarchies dites musulmanes reposent sur un système esclavagistes. Les monarchies pauvres esclavagisent leur peuple et les monarchies riches importent des esclaves de pays pauvres qui travaillent pour eux.

On peut évidemment blamer l'occident prédateur qui ne renoncera à aucune opportunité qui se présente pour s'accaparer des ressources, sans ressources s'en est fini d'eux. Mais les monarchies arabes font quoi avec ce pouvoir et cet argent : absolument rien que de consommer des biens matériels. Ils participent a tuer des millions de gens pour de la consommation. C'est d'un pathétique.

Ce qui les caractérisent...c'est la soumission à l'occident et la complicité dans le malheur qui touche les pays qui tiennent encore à leur souveraineté.

Ils en sont encore à combattre les pays musulmans non soumis qu'ils soient sunnites ou chiites....pour maintenir un leadership stérile mais toujours sous un statut de vassal des puissances anglosaxonnes pour l'essentiel
et de ce cancer sioniste néo nazi qui affiche sa barbarie messianique expansioniste d'une rare cruauté.

Ces monarchies du Golfe ne font que salir l'islam en montrant leur couardise et leur complicité à participer à la ruine de la Oumma via leurs terroristes islamo sionistes wahabites.

L'enfer qu'ils participent a faire subir aux autres populations musulmanes en étant complices des prédateurs israelo occidentaux se retournera contre eux.

En attendant ils ne voient pas leur déshonneur et le mepris dont ils font l'objet de la part de leurs maîtres qui les utilisent.

Leur châtiment sera lourd peut être déjà dans ce monde quand leurs maîtres se retourneront contre eux bientôt mais sans aucun doute au jour du jugement qui nous attend tous.

Je ne voudrais pas être à leur place pour tout l'or du monde.

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Ce qui les caractérisent...c'est la soumission à l'occident et la complicité dans le malheur qui touche les pays qui tiennent encore à leur souveraineté.

Ils en sont encore à combattre les pays musulmans non soumis qu'ils soient sunnites ou chiites....pour maintenir un leadership stérile mais toujours sous un statut de vassal des puissances anglosaxonnes pour l'essentiel
et de ce cancer sioniste néo nazi qui affiche sa barbarie messianique expansioniste d'une rare cruauté.

Ces monarchies du Golfe ne font que salir l'islam en montrant leur couardise et leur complicité à participer à la ruine de la Oumma via leurs terroristes islamo sionistes wahabites.

L'enfer qu'ils participent a faire subir aux autres populations musulmanes en étant complices des prédateurs israelo occidentaux se retournera contre eux.

En attendant ils ne voient pas leur déshonneur et le mepris dont ils font l'objet de la part de leurs maîtres qui les utilisent.

Leur châtiment sera lourd peut être déjà dans ce monde quand leurs maîtres se retourneront contre eux bientôt mais sans aucun doute au jour du jugement qui nous attend tous.

Je ne voudrais pas être à leur place pour tout l'or du monde.

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Quelle négativité permanente.

T'as pas pensé à faire de la méditation ? A te concentrer sur des choses essentielles, à ne pas t'imprégner d'idées négatives ? ça va t'amener à faire un AVC tout ça. Je te l'ai déjà dit. Trop d'idées négatives jouent sur la santé.
 
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