Le savoir n'existe pas ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Calame
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Ce qu'on appelle "savoir" n'existe pas objectivement parlant, il s'agit d'une croyance rationnelle.
Une croyance est le fait de tenir une chose quelconque pour vrai ou pour faux sans preuves.
Ainsi on ne sait pas un axiome, on l'a croit car cela peut ne pas être vrai en l'absence de démonstration qui prouverait sa véracité.
Or tout "savoir" est basé sur une axiomatisation de prémisses non démontrées, il s'agit donc d'une croyance rationnelle puisqu'elle apporte des résultats conformes à notre observation.
Pour qu'il y ait savoir, il faut qu'il y ait aucun axiome.
Ce qui est impossible car on est forcé de tenir certaines choses non démontrées pour vrai afin de pouvoir élaboré certaines démonstrations et certaines preuves.
En axiomatisant les prémisses de Peano, on obtient un "savoir": "les mathématiques"
Il s'agirait plutôt d'une croyance rationnelle car je peux affirmer cette chose:
"En axiomatisant l'origine du monde comme la cause sans causes de toutes choses existantes, on obtient un "savoir": "Dieu". "
Or on ne dit pas qu'on sait Dieu, on dit qu'on croit Dieu.
Mais paradoxalement on ne dit pas qu'on croit les mathématiques, on dit qu'on sait les mathématiques.
Si on axiomatise les prémisses de Peano, on peut prouver la véracité des mathématiques.
De même, si on axiomatise le fait que l'existence de tout ce qu'on observe procède d'une cause sans cause, on peut prouver l'existence de Dieu.
Sans axiome, il n'y a aucun savoir. Donc si l'on axiomatise certaines évidences on obtient un savoir.
Ainsi si j'axiomatise "toutes choses ayant un début procède d'une cause sans causes" alors je sais l'existence de Dieu.
Car il est évident que s'il n'y a pas de "début sans début/cause sans cause", il ne peut y avoir un milieu ni une fin, il ne peut donc y avoir quelque chose, ce serait le néant.

Donc de même que je considère les mathématiques comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses, je considère l'existence de Dieu comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses.

Car autrement, les mathématiques sont une croyance, pareillement pour l'existence de Dieu.
 
Bonjour et bienvenue sur ce forum,

Mais tous les axiomes ne se valent pas. Il y en a qui sont fondés sur des préjugés, d’autres sur des traditions qu’il est déconseillé de discuter, d’autres sur des conventions dans le cadre d’une activité ou une discipline (comme ton exemple des maths, si je le comprends bien), mais certains axiomes reposent sur des choses assez évidentes, que tout le monde peut percevoir et reconnaître (sauf les adolescents qui aiment contredire pour le plaisir).

Prenons un exemple contemporain : certains pensent qu’il est axiomatique qu’il existe seulement deux sexes, masculin et féminin. Tout ce qui ne cadre pas tout à fait avec cet axiome exécrable est considéré comme aberrant, pathologique, malformation, quelque chose qui doit être corrigé, normalisé. Et cet axiome, qui n’est pas si évident que ça, a causé de grandes souffrances aux personnes intersexes et transgenres!! Mais rien n’interdit de repartir d’un axiome différent sur les différences sexuelles ou de relativiser nos idées sur le sujet. @etre2en1

Dans le cas de l’existence de Dieu, c’est clair que différents publics apprécieront différemment les arguments et leurs présupposés. Des athées positivistes seront pas sensibles aux mêmes « évidences » que des existentialistes, des communistes, des féministes ou des bouddhistes!! Il faut donc savoir à qui on parle.
 
Bonjour et bienvenue sur ce forum,

Mais tous les axiomes ne se valent pas. Il y en a qui sont fondés sur des préjugés, d’autres sur des traditions qu’il est déconseillé de discuter, d’autres sur des conventions dans le cadre d’une activité ou une discipline (comme ton exemple des maths, si je le comprends bien), mais certains axiomes reposent sur des choses assez évidentes, que tout le monde peut percevoir et reconnaître (sauf les adolescents qui aiment contredire pour le plaisir).

Prenons un exemple contemporain : certains pensent qu’il est axiomatique qu’il existe seulement deux sexes, masculin et féminin. Tout ce qui ne cadre pas tout à fait avec cet axiome exécrable est considéré comme aberrant, pathologique, malformation, quelque chose qui doit être corrigé, normalisé. Et cet axiome, qui n’est pas si évident que ça, a causé de grandes souffrances aux personnes intersexes et transgenres!! Mais rien n’interdit de repartir d’un axiome différent sur les différences sexuelles ou de relativiser nos idées sur le sujet. @etre2en1

Dans le cas de l’existence de Dieu, c’est clair que différents publics apprécieront différemment les arguments et leurs présupposés. Des athées positivistes seront pas sensibles aux mêmes « évidences » que des existentialistes, des communistes, des féministes ou des bouddhistes!! Il faut donc savoir à qui on parle.
Mathématiquement, pour déterminer le genre sexuel des êtres humains, on devrait pour tenir compte de sa vrai diversité, non pas avoir un classement binaire en 100% masculin ou 100% féminin, mais un classement par un couple ( pourcentage de masculinité, pourcentage de féminité ), ou si on voudrait être plus précis, une liste donnant des paramètres précis, formant un code individuel personnalisé :
exemple :
( type pilosité faciale, type de pilosité du crane, type de pilosité du torse, type de pilosité des membres supérieurs, type de pilosité des membres inférieurs, type développement mammaire, type de testicule, type de prostate, type de pénis, type d'ovaires, type d'utérus, type de vagin……………….) ,
on peut très bien avoir des seins féminin, un utérus et des ovaires, pas de vagin, un pénis très développé, pas de testicules, être chauve, avoir une pilosité du reste du corps très développée, les variantes sont très nombreuses.

Les gens ont toujours eu tendance à être partisans du moindre effort, alors ils ont préféré un classement binaire approximatif loin de la réalité, comme on le fait, on classe les gens en " méchant " ou " gentil ", sans même chercher à les connaitre, en mathématiques, dans la plupart des sciences, on fait la même chose, on établit des axiomes en gommant le reste.
On le voit lors de la résolution d'équations, plus on avance dans les études, plus on se rend compte que les méthodes apprises au départ ne sont que des cas particuliers inclus dans des méthodes plus complexes, les premières sont des approximations, comme l'est la représentation planétaire des atomes et molécules.

Le classement à la naissance et après, en seulement 100% homme ou 100% femme, est un classement purement arbitraire, basé sur un axiome prétendant que les êtres humains sont soit 100% homme soit 100% femme.
Un axiome auquel un certain nombre de personnes s'accrochent, un axiome qui va à l'encontre des faits démontrés.
Un axiome désigne une proposition non démontrée, utilisée comme fondement d’un raisonnement ou d’une théorie mathématique.
 
Ce qu'on appelle "savoir" n'existe pas objectivement parlant, il s'agit d'une croyance rationnelle.
Une croyance est le fait de tenir une chose quelconque pour vrai ou pour faux sans preuves.
Ainsi on ne sait pas un axiome, on l'a croit car cela peut ne pas être vrai en l'absence de démonstration qui prouverait sa véracité.
Or tout "savoir" est basé sur une axiomatisation de prémisses non démontrées, il s'agit donc d'une croyance rationnelle puisqu'elle apporte des résultats conformes à notre observation.
Pour qu'il y ait savoir, il faut qu'il y ait aucun axiome.
Ce qui est impossible car on est forcé de tenir certaines choses non démontrées pour vrai afin de pouvoir élaboré certaines démonstrations et certaines preuves.
En axiomatisant les prémisses de Peano, on obtient un "savoir": "les mathématiques"
Il s'agirait plutôt d'une croyance rationnelle car je peux affirmer cette chose:
"En axiomatisant l'origine du monde comme la cause sans causes de toutes choses existantes, on obtient un "savoir": "Dieu". "
Or on ne dit pas qu'on sait Dieu, on dit qu'on croit Dieu.
Mais paradoxalement on ne dit pas qu'on croit les mathématiques, on dit qu'on sait les mathématiques.
Si on axiomatise les prémisses de Peano, on peut prouver la véracité des mathématiques.
De même, si on axiomatise le fait que l'existence de tout ce qu'on observe procède d'une cause sans cause, on peut prouver l'existence de Dieu.
Sans axiome, il n'y a aucun savoir. Donc si l'on axiomatise certaines évidences on obtient un savoir.
Ainsi si j'axiomatise "toutes choses ayant un début procède d'une cause sans causes" alors je sais l'existence de Dieu.
Car il est évident que s'il n'y a pas de "début sans début/cause sans cause", il ne peut y avoir un milieu ni une fin, il ne peut donc y avoir quelque chose, ce serait le néant.

Donc de même que je considère les mathématiques comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses, je considère l'existence de Dieu comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses.

Car autrement, les mathématiques sont une croyance, pareillement pour l'existence de Dieu.
Un axiome est une vérité qu' on ne peut pas démontrer on la vois on la constate
-deux droites parallèle ne se rencontrent jamais leur intersection est nulle c est une vérité
-deux droites parallèles si on passe une droite perpendiculaire à une elle sera perpendiculaire à la deuxieme cest une vérité..
......
Ce sont des vérités géométrique qu'on peut les utiliser pour démontrer d'autres phénomènes ...
Utiliser les chiffres et la géométrie cad utiliser les mathématiques pour prouver l'existence d'Allah ou autres ca nécessitent le savoir dautres sciences...
La science est une pyramide inversé qui se tiens sur sa pointe,la pointe cest les mathématiques a travers ce point s'appuient les autres savoir et les autres sciences qui se répartissent tout au long de la pyramide en se basant sur les mathématiques...
Un philosophe ou un connaisseur qui ne sait pas manipuler les chiffres n'aboutira jamais à la vérité il passera toute sa vie à tourner en rond....
 
Ce qu'on appelle "savoir" n'existe pas objectivement parlant, il s'agit d'une croyance rationnelle.
Une croyance est le fait de tenir une chose quelconque pour vrai ou pour faux sans preuves.
Ainsi on ne sait pas un axiome, on l'a croit car cela peut ne pas être vrai en l'absence de démonstration qui prouverait sa véracité.
Or tout "savoir" est basé sur une axiomatisation de prémisses non démontrées, il s'agit donc d'une croyance rationnelle puisqu'elle apporte des résultats conformes à notre observation.
Pour qu'il y ait savoir, il faut qu'il y ait aucun axiome.
Ce qui est impossible car on est forcé de tenir certaines choses non démontrées pour vrai afin de pouvoir élaboré certaines démonstrations et certaines preuves.
En axiomatisant les prémisses de Peano, on obtient un "savoir": "les mathématiques"
Il s'agirait plutôt d'une croyance rationnelle car je peux affirmer cette chose:
"En axiomatisant l'origine du monde comme la cause sans causes de toutes choses existantes, on obtient un "savoir": "Dieu". "
Or on ne dit pas qu'on sait Dieu, on dit qu'on croit Dieu.
Mais paradoxalement on ne dit pas qu'on croit les mathématiques, on dit qu'on sait les mathématiques.
Si on axiomatise les prémisses de Peano, on peut prouver la véracité des mathématiques.
De même, si on axiomatise le fait que l'existence de tout ce qu'on observe procède d'une cause sans cause, on peut prouver l'existence de Dieu.
Sans axiome, il n'y a aucun savoir. Donc si l'on axiomatise certaines évidences on obtient un savoir.
Ainsi si j'axiomatise "toutes choses ayant un début procède d'une cause sans causes" alors je sais l'existence de Dieu.
Car il est évident que s'il n'y a pas de "début sans début/cause sans cause", il ne peut y avoir un milieu ni une fin, il ne peut donc y avoir quelque chose, ce serait le néant.

Donc de même que je considère les mathématiques comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses, je considère l'existence de Dieu comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses.

Car autrement, les mathématiques sont une croyance, pareillement pour l'existence de Dieu.
Dieu n utilise pas les mathematique
Pour faire les choses
C est platon et toute la bandar
A picsou qui aiment cette pratique
 
[QUOTrenaissance
r mereE, posMere c6092858,dana
Lebcentre de9644"]Pour moi le nous ir existe, en effet le savoir est une somme de connaissance appliquée pour résoudre une problématique donnée !
PS: Désolé j'ai pas lu les 25 lignes de ton post :desole:[/QUOTE]
Le savoir n est que de la memoire
Est ce que tout les bebes a 5 mois dans
Le ventre de leur mere on la
Meme connaissance
 
Ce qu'on appelle "savoir" n'existe pas objectivement parlant, il s'agit d'une croyance rationnelle.
Une croyance est le fait de tenir une chose quelconque pour vrai ou pour faux sans preuves.
Ainsi on ne sait pas un axiome, on l'a croit car cela peut ne pas être vrai en l'absence de démonstration qui prouverait sa véracité.
Or tout "savoir" est basé sur une axiomatisation de prémisses non démontrées, il s'agit donc d'une croyance rationnelle puisqu'elle apporte des résultats conformes à notre observation.
Pour qu'il y ait savoir, il faut qu'il y ait aucun axiome.
Ce qui est impossible car on est forcé de tenir certaines choses non démontrées pour vrai afin de pouvoir élaboré certaines démonstrations et certaines preuves.
En axiomatisant les prémisses de Peano, on obtient un "savoir": "les mathématiques"
Il s'agirait plutôt d'une croyance rationnelle car je peux affirmer cette chose:
"En axiomatisant l'origine du monde comme la cause sans causes de toutes choses existantes, on obtient un "savoir": "Dieu". "
Or on ne dit pas qu'on sait Dieu, on dit qu'on croit Dieu.
Mais paradoxalement on ne dit pas qu'on croit les mathématiques, on dit qu'on sait les mathématiques.
Si on axiomatise les prémisses de Peano, on peut prouver la véracité des mathématiques.
De même, si on axiomatise le fait que l'existence de tout ce qu'on observe procède d'une cause sans cause, on peut prouver l'existence de Dieu.
Sans axiome, il n'y a aucun savoir. Donc si l'on axiomatise certaines évidences on obtient un savoir.
Ainsi si j'axiomatise "toutes choses ayant un début procède d'une cause sans causes" alors je sais l'existence de Dieu.
Car il est évident que s'il n'y a pas de "début sans début/cause sans cause", il ne peut y avoir un milieu ni une fin, il ne peut donc y avoir quelque chose, ce serait le néant.

Donc de même que je considère les mathématiques comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses, je considère l'existence de Dieu comme un savoir par l'axiomatisation de certaines prémisses.

Car autrement, les mathématiques sont une croyance, pareillement pour l'existence de Dieu.
Bonjour/salam

Est ce que le fait de penser et d'etre conscient de cette pensée est il un axiome démontré ? Peut on parler de savoir parce que l'on sait que l'on pense ?

Et s'il est démontré qu'implique t'il vis à vis de la perception intrinsèque que l'on a du soi?

Et s'il n'est pas démontré, cela signifie qu'il n'existe pas? Si tel est le cas, est ce que cette perception, cette 'auto' conscience, non plus?
En conséquence le produit des pensées qui ont suggéré cette idée la non plus aussi ? Nous n'existerions pas dans un pareil cas de figure? Or dans le dit cas de figure, qu'est ce qui mouvoit cette succession d'idées du départ de l'axiome quand à la pensée ? Et est ce que cette pensée existe ?
 
voir video et theorie suivante au sujet des sciences :
https://www.bladi.info/threads/complots-existent.470115/page-3#post-16115641
https://www.bladi.info/threads/foi.445353/page-4#post-15508748
https://www.bladi.info/threads/foi.445353/page-3#post-15442578
https://www.bladi.info/threads/ijaz-miracle-incapacite.433971/#post-15448507


  • Le monde, tel que nous le percevons, est de notre invention4.
  • Agissez toujours de manière à accroître vos choix (vos possibilités)5. (voir entropie)
  • Le problème n’est pas la vérité, le problème c’est la fiabilité6.
« Lutz Damneck : On laisse s’étendre des systèmes de ‘machines’, quasiment à l’infini ?

  • von Foerster : Oui.
  • Lutz Damneck : N’est-ce pas risqué ou dangereux ?
  • von Foerster : Oui. Dans ce système de ‘machines’, tous les énoncés sont exacts (constructivisme, structuralisme) et c’est exactement ce que l’on veut.
  • von Foerster : Et pourquoi sont-ils exacts ? Parce qu’ils (la population, et les propositions mathématiques) se déduisent tous les uns des autres.
  • Lutz Damneck : À quoi cela conduit-il ?
  • von Foerster : À d’autres déductions.
  • Lutz Damneck : Mais il existe bien une limite ?
  • von Foerster : Non, c’est l’avantage, on peut toujours aller plus loin.
  • Lutz Damneck : Dans la logique ?
  • von Foerster : Oui c’est ça.
  • Lutz Damneck : Mais dans la réalité ?
  • von Foerster : Où se trouve la réalité ? Montrez-la-moi. »
Discours à deux niveaux, Dans Das Netz, Voyage en cybernétique. »
 
Dernière édition:
Bonjour/salam

Est ce que le fait de penser et d'etre conscient de cette pensée est il un axiome démontré ? Peut on parler de savoir parce que l'on sait que l'on pense ?

Et s'il est démontré qu'implique t'il vis à vis de la perception intrinsèque que l'on a du soi?

Et s'il n'est pas démontré, cela signifie qu'il n'existe pas? Si tel est le cas, est ce que cette perception, cette 'auto' conscience, non plus?
En conséquence le produit des pensées qui ont suggéré cette idée la non plus aussi ? Nous n'existerions pas dans un pareil cas de figure? Or dans le dit cas de figure, qu'est ce qui mouvoit cette succession d'idées du départ de l'axiome quand à la pensée ? Et est ce que cette pensée existe ?

Bonjour sage Milamber! :timide:

C'est quoi un "axiome démontré"? Un axiome n'est-il pas indémontrable par définition? Ou alors une proposition qui est axiomatique dans tel système logique peut être susceptible de démonstration dans tel autre système, par exemple dans une tentative d'ordonner logiquement les sciences!

Quant au "je pense, donc je suis", certains ont objecté à Descartes qu'il aurait fallu dire : "je pense, donc il y a de la pensée", sous-entendu : il y a pas une évidence immédiate de l'existence d'un "moi" (et certains philosophes et scientifiques contemporains pensent que la croyance au moi est illusoire).
 
@Ebion
La pensée est guidée par un système électrique et chimique que l'homme ne maîtrise pas ( rangement des informations dans la tête)

"(et certains philosophes et scientifiques contemporains pensent que la croyance au moi est illusoire)."
ils se sont fait pincé les fesses et ce n'était plus une illusion.

Mémoire; il y a séparations des taches mais les liens existent
 
Pour moi le savoir existe, en effet le savoir est une somme de connaissance appliquée pour résoudre une problématique donnée !
PS: Désolé j'ai pas lu les 25 lignes de ton post :desole:

Mon avis : Le savoir est l'information que notre esprit reçoit de notre extérieur. En chacun de nous se trouve la quantité de savoir que le Créateur nous a prédestiné.
 
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