Salut à tous,
J'y vais de ma plume, l'envie de partager, en esperant qua ca vous plaise.
"Parfois la nostalgie me guette quand je regarde en arrière,
cette ere d'innocence, pure, un vieux trente trois tours plein de poussieres,
Des rires et des pleurs, mais bon sang ce que j'ai aimé,
les dessins animés du dimanche soir, et la periode des gouters.
Le lendemain y'avait l'ecole, on jouait au foot avec une balle de tennis,
je me rapelle, il y avait seb, arnaud, ilyes et meme clarisse,
les plus chanceux avaient les premiers jeux electronique, avec dedans tetris,
la fin de la recré sonnait, on esperait avoir au dessus de 10.
Question fringues, c'etait comment dire, un vrai genocide,
pour des adidas, certains auraient pu aller jusqu'à l'homicide.
On avait des pulls trop petits, habillés de mille couleurs, des vrais arlequins,
il y avait aussi Karine, elle aimait cyril, et nous les crevards, nous tournions autour tels de vrais requins.
Le soir, j'esperais que ma mere m'envoie acheter du pain à leclerc,
au rayon jouet, il y avait la nintendo, et une file d'attente comme un rationnement en temps de guerre.
J'oublais toujours ce pourquoi j'etais venu, et comme d'hab, aziz et ses 23 piges abusait,
nous et nos petits corps, devant sa rage de jouer, on se resignait.
Le college et ses premiers rateaux, la prof de math et mes premiers zero,
on avait des Bombers, des patogaz aux pieds, et une belle coupe en V,à la parker lewis,
on se mattait les sitcom d'ab production, hartley coeur à vifs, ou meme beverly hills.
A chaque fin de trimestre je transpirais, scotché à la fenetre,je me consummais à l'instar d' une bougie,
le facteur et son lot de mauvaises nouvelles, le relevé de notes et mon 4 en biologie,
L'epoque des 103 et des chappy, des reebok pump et des t shirt waikiki.
Le temps ou on frodait la piscine, pour se payer une canette à l'interieur,
le temps ou on se mettait a 4 pour draguer en pensant qu'on serait meilleurs.
Le hip hop revenait en force, et avec lui mes premiers smurfs,
on breakait au centre commercial, fallait surtout pas que j'oublie de ramener le paris-turf .
c'etait le temps des bonbec au detail, des pin's et des badges,
mario et sonic etait pour nous bien plus que des images.
Si steeve daignait nous inviter à sa boum d'anniversaire,
on implorait nos meres, pour s'acheter du gel et du scorpio,
on etait pas les moins bien sapés, qu'est ce qu'on etait fier,
meme si le cuir chevelu ramassait severe, avec les tubes de pento.
Vint le lycée, et les levers à 6 h du mat,
caterpillar au pieds, ***** j'ai oubliais le devoir de math,
Entre midi et deux, on allait a inter, c'etait l'epoque de la quiche aux poireaux,
comme des petits ****, juste apres on essayait nos premieres marloboro.
Les premieres sorties en boites, et les premiers rebombages,
c'etait tres souvent la faute à Said, et ses clark's du moyen age,
****** c'est loin tout ca, et en meme temps si près,
meme si je regarde nos degaines, tom sauyer, on avait rien a lui envier.
Parfois, je matte de vielles photo en noir et blanc,
j'ai ,bien sur, de vieux instantanées, que je garde precieusement,
Pas de factures, ni de chomage, tous ca c'etait pour les grands,
et quand je vois l'avenir, je crains qu'il ne soit moins avenant...."
J'y vais de ma plume, l'envie de partager, en esperant qua ca vous plaise.
"Parfois la nostalgie me guette quand je regarde en arrière,
cette ere d'innocence, pure, un vieux trente trois tours plein de poussieres,
Des rires et des pleurs, mais bon sang ce que j'ai aimé,
les dessins animés du dimanche soir, et la periode des gouters.
Le lendemain y'avait l'ecole, on jouait au foot avec une balle de tennis,
je me rapelle, il y avait seb, arnaud, ilyes et meme clarisse,
les plus chanceux avaient les premiers jeux electronique, avec dedans tetris,
la fin de la recré sonnait, on esperait avoir au dessus de 10.
Question fringues, c'etait comment dire, un vrai genocide,
pour des adidas, certains auraient pu aller jusqu'à l'homicide.
On avait des pulls trop petits, habillés de mille couleurs, des vrais arlequins,
il y avait aussi Karine, elle aimait cyril, et nous les crevards, nous tournions autour tels de vrais requins.
Le soir, j'esperais que ma mere m'envoie acheter du pain à leclerc,
au rayon jouet, il y avait la nintendo, et une file d'attente comme un rationnement en temps de guerre.
J'oublais toujours ce pourquoi j'etais venu, et comme d'hab, aziz et ses 23 piges abusait,
nous et nos petits corps, devant sa rage de jouer, on se resignait.
Le college et ses premiers rateaux, la prof de math et mes premiers zero,
on avait des Bombers, des patogaz aux pieds, et une belle coupe en V,à la parker lewis,
on se mattait les sitcom d'ab production, hartley coeur à vifs, ou meme beverly hills.
A chaque fin de trimestre je transpirais, scotché à la fenetre,je me consummais à l'instar d' une bougie,
le facteur et son lot de mauvaises nouvelles, le relevé de notes et mon 4 en biologie,
L'epoque des 103 et des chappy, des reebok pump et des t shirt waikiki.
Le temps ou on frodait la piscine, pour se payer une canette à l'interieur,
le temps ou on se mettait a 4 pour draguer en pensant qu'on serait meilleurs.
Le hip hop revenait en force, et avec lui mes premiers smurfs,
on breakait au centre commercial, fallait surtout pas que j'oublie de ramener le paris-turf .
c'etait le temps des bonbec au detail, des pin's et des badges,
mario et sonic etait pour nous bien plus que des images.
Si steeve daignait nous inviter à sa boum d'anniversaire,
on implorait nos meres, pour s'acheter du gel et du scorpio,
on etait pas les moins bien sapés, qu'est ce qu'on etait fier,
meme si le cuir chevelu ramassait severe, avec les tubes de pento.
Vint le lycée, et les levers à 6 h du mat,
caterpillar au pieds, ***** j'ai oubliais le devoir de math,
Entre midi et deux, on allait a inter, c'etait l'epoque de la quiche aux poireaux,
comme des petits ****, juste apres on essayait nos premieres marloboro.
Les premieres sorties en boites, et les premiers rebombages,
c'etait tres souvent la faute à Said, et ses clark's du moyen age,
****** c'est loin tout ca, et en meme temps si près,
meme si je regarde nos degaines, tom sauyer, on avait rien a lui envier.
Parfois, je matte de vielles photo en noir et blanc,
j'ai ,bien sur, de vieux instantanées, que je garde precieusement,
Pas de factures, ni de chomage, tous ca c'etait pour les grands,
et quand je vois l'avenir, je crains qu'il ne soit moins avenant...."
