Dramatique ! Une mère de trois enfants a succombé à la morsure d’un chien enragé.
Les faits ont eu lieu dans la commune de Sidi El Mokhtar, près d’Essaouira.
Les proches de la défunte regrettent de n'avoir pu avoir accès au vaccin antirabique.
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Une mère de trois enfants est morte à Sidi el Mokhtar, prés d’El Jadida, après été mordue par un chien enragé.
Elle avait bien pris soin de se rendre, suite à sa mésaventure, au dispensaire le plus proche, mais le vaccin qui aurait pu lui sauver la vie n’était pas disponible, rapporte le quotidien arabophone Assabah dans son édition du vendredi 20 mai.
La pauvre femme a donc fini par rendre l'âme.
Le journal "Assabah" précise que le Centre Pasteur a cessé d’approvisionner le centres de santé de Sidi El Mokhtar, à cause des dettes qui se sont accumulées.
Nulle trace de vaccin antirabique dans ce centre de santé !
La victime a été transférée dans un autre centre de soins, mais il était déjà trop tard.
Cette situation a provoqué la colère de la société civile et interpellé une association locale qui qualifie ces centres de soins d'"irresponsables", souligne le journal.
Ces faits laissent en effet planer un doute certain quant à la conscience professionnelle des fonctionnaires de la santé dans les petites localités et les contrées éloignées, où l’accès aux soins et aux médicaments les plus vitaux est devenu un luxe.
Qods Chabaa
le360.ma
Les faits ont eu lieu dans la commune de Sidi El Mokhtar, près d’Essaouira.
Les proches de la défunte regrettent de n'avoir pu avoir accès au vaccin antirabique.
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Une mère de trois enfants est morte à Sidi el Mokhtar, prés d’El Jadida, après été mordue par un chien enragé.
Elle avait bien pris soin de se rendre, suite à sa mésaventure, au dispensaire le plus proche, mais le vaccin qui aurait pu lui sauver la vie n’était pas disponible, rapporte le quotidien arabophone Assabah dans son édition du vendredi 20 mai.
La pauvre femme a donc fini par rendre l'âme.
Le journal "Assabah" précise que le Centre Pasteur a cessé d’approvisionner le centres de santé de Sidi El Mokhtar, à cause des dettes qui se sont accumulées.
Nulle trace de vaccin antirabique dans ce centre de santé !
La victime a été transférée dans un autre centre de soins, mais il était déjà trop tard.
Cette situation a provoqué la colère de la société civile et interpellé une association locale qui qualifie ces centres de soins d'"irresponsables", souligne le journal.
Ces faits laissent en effet planer un doute certain quant à la conscience professionnelle des fonctionnaires de la santé dans les petites localités et les contrées éloignées, où l’accès aux soins et aux médicaments les plus vitaux est devenu un luxe.
Qods Chabaa
le360.ma