[Lundi 08/11/2010
Le responsable de la commission sur les travailleurs étrangers, Yaakov Katz, du parti Union Nationale, avertit : dans quelques années, Israël comptera 100 000 Africains illégaux. Cette déclaration fait suite aux chiffres publiés pat lAutorité des frontières et de lImmigration. Selon elle, durant la première semaine de novembre, un nombre record dillégaux a franchi la frontière avec lEgypte, soit 700 personnes alors que la moyenne mensuelle se situe autour de 1100. « Le nombre dillégaux ne fait quaugmenter ; nous lavions déjà dit il y a un an. Il ne fait aucun doute que les habitants de Tel-Aviv vont demander à déménager en Judée-Samarie lorsque la ville va devenir africaine », a ajouté Yaakov Katz au début de la réunion de la commission.
Selon lAutorité des frontières et de limmigration, lannée 2010 a enregistré une hausse de 200 % des Africains arrivant en Israël, avec 10 858 entrées durant les dix premiers mois de lannée. A la même période en 2009, les chiffres plafonnaient à 4341 personnes. Daprès les dernières estimations, 27 000 Africains résident actuellement en Israël. La majorité des nouveaux arrivants sont des hommes âgés entre 20 et 25 ans et la plupart sont originaires du Soudan et de lErythrée, puis du Nigéria, du Ghana, de la Côte dIvoire. En général, le passage en Israël se règle à prix dor avec les bédouins égyptiens qui demandent près de 3000 dollars.
Le gouvernement israélien a déclaré son intention de faire cesser lafflux dillégaux africains, quil considère davantage comme des immigrants économiques que des demandeurs dasile. Parmi les mesures étudiées : construire une barrière le long de la frontière avec lEgypte, renforcer la coopération avec les forces de sécurité égyptiennes dans le Sinaï et resserrer la législation à légard des immigrants. A limage de plusieurs rabbins de Tel-Aviv, ceux de la ville de Bnei Brak ont également publié une décision halakhique, interdisant aux résidents de louer les appartements de la ville à des immigrants africains.
Le responsable de la commission sur les travailleurs étrangers, Yaakov Katz, du parti Union Nationale, avertit : dans quelques années, Israël comptera 100 000 Africains illégaux. Cette déclaration fait suite aux chiffres publiés pat lAutorité des frontières et de lImmigration. Selon elle, durant la première semaine de novembre, un nombre record dillégaux a franchi la frontière avec lEgypte, soit 700 personnes alors que la moyenne mensuelle se situe autour de 1100. « Le nombre dillégaux ne fait quaugmenter ; nous lavions déjà dit il y a un an. Il ne fait aucun doute que les habitants de Tel-Aviv vont demander à déménager en Judée-Samarie lorsque la ville va devenir africaine », a ajouté Yaakov Katz au début de la réunion de la commission.
Selon lAutorité des frontières et de limmigration, lannée 2010 a enregistré une hausse de 200 % des Africains arrivant en Israël, avec 10 858 entrées durant les dix premiers mois de lannée. A la même période en 2009, les chiffres plafonnaient à 4341 personnes. Daprès les dernières estimations, 27 000 Africains résident actuellement en Israël. La majorité des nouveaux arrivants sont des hommes âgés entre 20 et 25 ans et la plupart sont originaires du Soudan et de lErythrée, puis du Nigéria, du Ghana, de la Côte dIvoire. En général, le passage en Israël se règle à prix dor avec les bédouins égyptiens qui demandent près de 3000 dollars.
Le gouvernement israélien a déclaré son intention de faire cesser lafflux dillégaux africains, quil considère davantage comme des immigrants économiques que des demandeurs dasile. Parmi les mesures étudiées : construire une barrière le long de la frontière avec lEgypte, renforcer la coopération avec les forces de sécurité égyptiennes dans le Sinaï et resserrer la législation à légard des immigrants. A limage de plusieurs rabbins de Tel-Aviv, ceux de la ville de Bnei Brak ont également publié une décision halakhique, interdisant aux résidents de louer les appartements de la ville à des immigrants africains.