Sit-in aux postes frontaliers de Beni Anssar et Sebta
Le Comité National pour la Libération de Sebta et Melilla se mobilise
Le Comité National pour la Libération de Sebta et Melilla a organisé samedi deux sit-in au niveau des centres frontaliers de Sebta et de Beni Anssar à proximité de Melilla. Les manifestants ont appelé le colonisateur espagnol à libérer les deux villes marocaines ainsi que leurs îles, alors que les autorités espagnoles ont décidé de fermer les deux postes frontaliers quelques minutes avant les sit-in.
A Sebta, ils étaient 500 manifestants selon les organisateurs, qui répondaient à l'appel du comité, afin de répondre au rapport de la fondation Kennedy, qui avait décrit le Maroc, comme étant le dernier colonisateur sur le continent africain. Le Sahara est un territoire marocain et c'est notre façon de répondre pour leur dire que c'est l'Espagne qui doit être considéré comme le dernier colonisateur puisque nos deux villes sont occpuées depuis longtemps, explique Lehbib Hajji, membre du comité.
A Melilla, le nombre dépassait largement les 3.000 manifestants, avec à leur tête, le député parlementaire et militant Yahya Yahya. Pour symboliser la situation, les manifestants ont posé un cadenas sur les portes frontalières des deux villes occupées.
aufait
Le Comité National pour la Libération de Sebta et Melilla se mobilise
Le Comité National pour la Libération de Sebta et Melilla a organisé samedi deux sit-in au niveau des centres frontaliers de Sebta et de Beni Anssar à proximité de Melilla. Les manifestants ont appelé le colonisateur espagnol à libérer les deux villes marocaines ainsi que leurs îles, alors que les autorités espagnoles ont décidé de fermer les deux postes frontaliers quelques minutes avant les sit-in.
A Sebta, ils étaient 500 manifestants selon les organisateurs, qui répondaient à l'appel du comité, afin de répondre au rapport de la fondation Kennedy, qui avait décrit le Maroc, comme étant le dernier colonisateur sur le continent africain. Le Sahara est un territoire marocain et c'est notre façon de répondre pour leur dire que c'est l'Espagne qui doit être considéré comme le dernier colonisateur puisque nos deux villes sont occpuées depuis longtemps, explique Lehbib Hajji, membre du comité.
A Melilla, le nombre dépassait largement les 3.000 manifestants, avec à leur tête, le député parlementaire et militant Yahya Yahya. Pour symboliser la situation, les manifestants ont posé un cadenas sur les portes frontalières des deux villes occupées.
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