Songes délirants

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Mohammad

hein + hein = euh
VIB
Ceci n'est pas un topic sur l'interprétation des rêves:

Les pieds nus (la nuit du 6 au 7/10/2010)

Dans ce topic , je souhaite exposer toutes sortes de songes délirants qui paraissent cohérents au moment où on a la certitude de les vivre mais qui deviennent affligeants une fois de retour dans le monde des vivants.

J’ai pour habitude de libérer mes sandales à chaque passage dans la pièce où sévit mon ultime contribution à ce monde, afin d’éviter à avoir, à courir derrière au moment où il s’en emparera. Connaissant mes habitudes , ce petit pervers de Morphée s’est arrangé pour me jouer un assez vilain tour puisque déchaussé , je le fus mais au moment de ma monté dans le train.

Embêté et honteux, je me suis mit à méditer sur la distance qui séparait la gare de mon lieu de travail et qu’il me faudrait cette fois, parcourir pied nu. En toute logique, car même dans nos rêves, il existe ces moments de lucidité , je me dis qu’il me fallait avant d’arriver à bon port , trouver un magasins de chaussure.
Je m’entends encore interrogeant les passants (qui avaient la prestance des habitants des quartiers chics américains) sur la possibilité de trouver au plus près une boutique qui me permettra de mettre fin à cette épreuve quelque peu humiliante.

Arrivé à bon port, et vous noterez que je ne suis plus dans le train , je me mets à parcourir ce magasins de long en large et qui bizarrement ne contient que sacs à main et combinaison ski, quant enfin, toujours grâce à ce bon sens qui ne me quitte jamais, j’interpelle une vendeuse qui me dit de sa voix de canard (oui c’est fini les américains) : le rayon chaussure, c’est juste derrière vous.

Dépité, je constate que ce rayon ne contient que 3 paires de sandales de petites tailles et une quatrième en plastique de couleur rose pointure 43 ; votre serviteur coincé en ce lieu inédit, et chaussant du 44 se risque tout de même à essayer ce qui devait le tirer de ce mauvais pas et qu’il n’avait vu, auparavant que dans les pieds d’une cousine nettoyant avec application la surface carrelée de son rez-de-chaussée.

Nouveau rebondissement, mon chef de projet m’interpelle et me dit comme a son habitude, stop tout ce que tu fais, c’est une catastrophe, plus personne ne sait travailler, tu dois m’aider,
Embêté mais consciencieux, je décide de mettre temporairement de côté mes soucis et de le suivre dans la salle des machines afin d’évaluer avec lui la nature du nouveau défi qui se pose à nous. Il va s’en dire que n’ayant rien décidé, je conserve en main, ces sandales roses auxquelles je n’ai pas encore renoncé.

(...)
 
Les rêves ne s’embarrassant ni du temps , ni de l’espace, ma sœur vint me trouver sur mon lieu de travail et me dit : "moh il est 23H30, ramènes moi à la maison". Mon regard croise celui de mon chef qui me fait comprendre que le plus dur est fait et que pour le suite , ma collaboration n’est plus indispensable.

J'explique à ma sœur qu’il me faut dans un premier temps, payer mes chaussures , ce qu’elle comprend parfaitement ; revenu au magasin, je croise les caissières, toutes avec leurs cassettes pleines d'argents sous les bras. Sur leur passage j'ai juste le temps de marmonner que je souhaite payer , aucune d’elles ne me calcule et plus loin la caissière du milieu hurle ; c’est trop tard, on a fermé, il va falloir revenir demain !

Le réveil a sonné, j’ai froid au pied, la prochaine fois , je dormirais avec mes chaussettes !
 
Oui souvent nos rêves expriment ce qui se passe en vrai. Le pire c'est de rêvé qu'on va aux toilettes parce qu'en vrai on a vraiment envie de faire pipi. Alors si notre rêve est particulièrement profond, faut faire attention au matelas! :D
 
Oui souvent nos rêves expriment ce qui se passe en vrai. Le pire c'est de rêvé qu'on va aux toilettes parce qu'en vrai on a vraiment envie de faire pipi. Alors si notre rêve est particulièrement profond, faut faire attention au matelas! :D

lOl

Aussi quand quelqu'un t'appelle dans ton rêve...Il t'appelle plusieurs fois de suite de plus en plus fort, et là tu te reveilles et tu te rend compte qu'il y a vraiment quelqu'un qui t'appelle lol.

Ou encore quand tu rêves et que quelqu'un te dit "c'est bon c'est fini"...et là le reveille sonne.
 
Plus jeune...J'avais souvent le même songe : Celui d'être pieds nus...

PS : Je suis sûre que le rose t'ira à ravir :langue:
 
lOl

Aussi quand quelqu'un t'appelle dans ton rêve...Il t'appelle plusieurs fois de suite de plus en plus fort, et là tu te reveilles et tu te rend compte qu'il y a vraiment quelqu'un qui t'appelle lol.

Ou encore quand tu rêves et que quelqu'un te dit "c'est bon c'est fini"...et là le reveille sonne.

lol, ou bien quand tu rêve que tu bois des litres d'eau mais que ça n'apaise pas ta soif. Et en vrai t'as vraiment super soif avec la bouche toute sèche.
 
Oui souvent nos rêves expriment ce qui se passe en vrai. Le pire c'est de rêvé qu'on va aux toilettes parce qu'en vrai on a vraiment envie de faire pipi. Alors si notre rêve est particulièrement profond, faut faire attention au matelas! :D

Je préfèrerais qu'on se contente de les raconter sans essayé de les expliquer sinon on risque la fusion avec d'autres postes qui tournent +/- autour du même thème, la dernière fois un inconnu a fusionné un topic qui parlait de rêve d'amour avec celui du forum islam qui traitait de l'interprétation des rêves :-D. J'avais l'air fin avec mes conseils à deux balles entre un hadith et Ibn Sirin :-D.
Par rapport à ton exemple, normalement si on ne souffre d'aucune maladie, quelque soit le songe, l'accident n'est pas possible. C'est aussi pour cette raison qu'il y a file devant le wc au moment du réveil :-).

Plus jeune...J'avais souvent le même songe : Celui d'être pieds nus...

PS : Je suis sûre que le rose t'ira à ravir :langue:

Vu ce que j'ai raconté plus haut, j'aurai l'air peu crédible si je répondais même pas en rêve :-).

ps1: Tu as le droit de conter ton songe (si tu t'en souviens).
 
Vu ce que j'ai raconté plus haut, j'aurai l'air peu crédible si je répondais même pas en rêve :-).

ps1: Tu as le droit de conter ton songe (si tu t'en souviens).

T'inquiètes ....tout le monde te prend très au sérieux :D

PS : Cela se répètait souvent...Une image récurrente ...Mais comme tu le sais, ma mémoire flanche et je suis incapable de me remémorrer un songe en particulier ... :-(
 
Un peu après l'aube ... 9 octobre

La preuve par l’ananas.

C’est un songe de bout de nuit, aussi affligeant que le précédant mais fort heureusement écourté par cette sirène naturelle qui comme à son habitude ne manque de me ranimer les weekends et jours de quille .

Pour je ne sais quelle raison, j’ai participé à un colloque ayant pour thème la beauté ; peu décontenancé par cette présence insolite que je dus estimer légitime, était demandé à votre serviteur qui pour le coup, n’eut même pas la satisfaction de se rincer l’œil en toute légalité , de démontrer la beauté en trempant ses lèvres délicates dans un bol de jus d’ananas.

Et le vainqueur est : "Papaaaa, Papaaaa , Papaaaa ".

PS : Cela se répétait souvent...Une image récurrente ...Mais comme tu le sais, ma mémoire flanche et je suis incapable de me remémorer un songe en particulier ... :-(

Tu as suffisamment démontré que ta mémoire ne flanchait pas: logiquement un songe se dissipe quelques heures après le réveil :-).
 
Ils ont dit non au suicide 10 octobre 2010

Ces deux là se cherchaient depuis longtemps ! Vous en aviez rêvé , M6 la bien nommée l’a fait pour vous ; réunir à l’occasion de cette journée annuelle de la lutte contre le suicide : Mohamed 6 et Franck Dubosc.

De nombreuses activités seront organisées sous l’œil avisé de nos deux précieux parrains, avec en point de mire, ce joli bouquet final qui opposera nos deux héros , qui s’investiront dans une inédite course à moto.
Elle aura lieu dans les couloirs du palais royal de Nivelles : l’occasion pour, vous cher public, de découvrir tout au long de cette journée, la célèbre architecture marocaine.


Songe délirant ne connait pas toujours fin heureuse, ou fin tout court!
 
Le buffet froid

Réveil aux deux gongs espacés, vieux résidus d’un péché de jeunesse où paresse matinale était connue et assumée.
Il était indispensable de m’octroyer en toute impunité, la possibilité de flâner quelque peu dans un lit particulièrement douillet, quant me tendait les bras une nouvelle journée faite de défis et d’incertitudes.

Le temps aidant, je finis par sacrifier ce passage rituel qui précédait une journée pas toujours heureuse mais qui démarrait souvent de belles manières, n’oubliant lorsque mes pieds touchent terre ferme, d’étouffer ce second appel afin de m’éviter toutes malédictions de soldats restés courageusement sous la couette, au moment où depuis ma cuisine, je jouirais déjà de l’odeur qui se dégage de cette fidèle machine à café accomplissant avec sérieux, ce pourquoi elle a été créée.

Il est des moments où, lassés par tant de redondances, désabusés sans être malheureux, la tête s’emplissant petit à petit de défis du jour, mon esprit compatissant accorde à mon corps un supplément d’âme, un peu de repos , et enfin un retour pour quelques minutes chez Morphée.

Ressurgit alors le temps d’un songe, confiné dans le même espace temps, les meilleurs sensations de mon existence ; il y avait comme un parfum de fin de vie, mais aussi puisque le décompte final n’a eut lieu : un goût de rédemption.

Ma chambre d’adolescent reconstituée, et moi sentant se fusionner les plus beaux états d’esprit que l’on connait dans les différents moments de la vie, l’insouciance de l’enfance, le plaisir et l’arrogance de l’adolescence, et la satisfaction du devoir accompli de l’adulte auquel aucun objectif ne résiste.

C’est comme si, on m’avait propulsé devant un immense buffet froid où tout est à volonté. Dans mon assiette, n’est toléré, que ce qui sied à mon délicat palais.

Gong, cette fois c’est la fin, peut-être le début.
 
Morphée est devenu fou

Surfant à partir de google, je me suis vu rechercher toutes sortes d’informations sur les petites communautés musulmanes vivants dans les différents pays européens.
Un lien très prometteur devait me permettre d’en apprendre plus sur l’une d’elles, qui semble-t-il impressionnait ,de par son dynamisme.

La curiosité me guidant dans les moments d'oisivetés, j’ai cliqué et me suis vu propulsé matériellement dans une immense mosquée en plein joumou3a.
Cette dernière reposait sur plusieurs colonnes sur lesquels étaient tagués de la plus belle des écritures, le nom d’un petit village du cœur du Rif.
Tout autour de moi, je vis une poignée d’hommes et une bonne centaine de jeunes et ravissantes demoiselles.

Quelques minutes avant de procéder à notre rituel millénaire et hebdomadaire, l’une d’elle se leva et se dirigea vers le micro pour entonner de sa plus belle voix: "el adhan".
J’étais partagé entre la surprise de voir un rôle si masculin confié à une aussi jeune dame et la plus-value que conférait l’accent tchèque à la très mélodieuse langue arabe . Oui, j’étais en Tchéquie !

Sans doute étais-je tombé , malgré moi sur une mosquée gérée par une pensée minoritaire de l’islam puisant son originalité dans des idées dites progressistes.

Comme pour démentir ma première impression, apparaît à la minute qui suivit la clôture de cet inédit appel à la prière, un imam à l’aspect caricatural ; la quarantaine, deux ventres et demi , et une barbe de soixante centimètres.
Ce dernier malgré l’embonpoint prit place avec prestance, au troisième niveau du petit escalier encastré dans l’autel. Sur le côté de celui-ci, on pouvait à nouveau lire cet étrange calligraphie en lettre latine, faisant référence à ce petit village rifain : ces gens sont décidément fiers de leur chez eux.

Silence complet, je me rapproche pour combler , les vides , que dis-je, les puits sans fond, des premiers rangs : "An Nissa"! Waw le sujet original, rien que ça! J’ai bien fait de venir en République Tchèque !

Le sermon démarre, intégralement en rifain, Je m’interroge : tout de même , il pourrait faire l’effort d’user également d’une autre langue afin de se faire comprendre d’un maximum d’individu.

Une jeune fille du dernier rang se dirigea d’un pas assuré vers le prédicateur , puis se pencha vers lui afin de lui susurrer quelques mots à l’oreille,

Hochant la tête , comme pour exprimer qu’il mesurait parfaitement la gravité de la situation, l’imam se redresse puis invite du haut de sa chair le propriétaire de la voiture X, à la déplacer , ajoutant qu’il est interdit de se garer devant l’ambassade,
Il se tourne vers moi, et me demande d’un air gêné , si je veux traduire son message en darija, puis me tend le micro, en réalité un carrelage sur lequel, je peux lire à nouveau le nom de ce village.

Gong , Morphée est devenu fou !
 
Le souffle purificateur

Nous sommes passés à côté d’une nouvelle journée, sans le souvenir d’un songe délirant qui mériterait d’être relaté ; mais c’était sans compter sur cette journée de grève du chemin de fer, programmée longtemps à l’avance, qui me permit de m’assoupir quelques minutes à l’heure de pause.

Il n’est nul besoin d’une nuit pour sombrer dans le grand n’importe quoi, et me suis vu, l’espace d’un instant attribué le pouvoir de ramoner ma cheminée quelques peu encrassées.

Même quant on est bien équipé, ce type d’opération vous contraint à demeurer, à quatre pattes une bonne demi-heure, frottant patiemment le conduit reliant la chaudière à l’extérieur, afin de le dégager de toutes mottes qui viendraient à obstruer le passage de ce gaz qu’il vaut mieux avoir dehors que chez soi: tant pis pour mère nature, de toute manière , elle me survivra!
Le rêve s’accommodant parfaitement de l’irrationnel, il n’était nullement question de courbatures et autres joyeusetés promises par ce type d’activité mais de souffle purificateur: le mien.

Ffffffff, ma cheminée est propre, seul souci , je n’y avais pas pensé : j’ai éteins toutes les lumières du quartier, les voisins ne vont pas être content ,nous sommes privés d’électricité.

Ouch, comme pour me signifier sa présence, mon fils vient de me sauter dessus, il est temps de reprendre le boulot.

Je crois que le délire survient au début et ou en fin de sommeil; soit au moment où la réalité s'évapore petit à petit de notre esprit ou quant elle commence à y reprendre ses droits.
 
Elle a fait un bébé toute seule

Mon train est sur le point d’entrer en gare , l’avant dernière station avant de commencer une nouvelle journée de formation. Fatigué, cela fait quelques minutes que le manuel de révision me glisse des mains, mais l’heure n’est plus au sommeil réparateur. Je me console en pensant à la légère brise qui s’apprête à accueillir les voyageurs qui convergent vers la capitale . Elle aura tôt fait d’annihiler les dernières velléité de corps qui aspirent au repos.

Afin d’apaiser mes désirs, je cède à l’envie de pencher ma tête contre la vitre, mes yeux se ferment, et déjà j’abandonne la réalité du moment.

Le train est déjà loin, , le pourquoi de ma présence dans ce nouvel environnement apparait comme évident : ma femme attend un enfant. Je fais les cents pas devant la salle d’accouchement, c’est la première fois que je trouve porte close pour un tel évènement. J’ignore et ne cherche à comprendre les raisons de cette inédite exclusion.

Mon épouse sort enfin, avec dans ses bras un bébé : mon enfant. Ses vêtements de gynécologues, son calme et sa prestance indique qu’elle a parfaitement rempli les rôles de patiente et médecin : une première.

Le bébé est posé sur une balance, que je remarque pour la première , la jeune maman s’en va et me lance un regard qui m’indique qu’il est désormais sous ma responsabilité ; l’angoisse s’empare de moi et je sens comme une douleur à la tête, mes tempes viennent de heurter la fenêtre du train désormais à l’arrêt, j’ai dû dormir une fraction de seconde, peut-être moins.
 
La panne

Je suis à l’arrêt , au volant d’une petite voiture en compagnie de ma fille âgée de 17 ans. Nous venions de quitter le centre de Fès pour regagner un toit où nous attendait un copieux déjeuné.
Pour cette fois, la table servie se passera de deux prestigieux convives : nous n’irons pas plus loin avec ce véhicule.
M’approchant de ma camarade d’infortune je lui souffla quelques instructions :elle sera au volant, tandis que je pousserais jusqu’à bon port.

En la regardant boire mes paroles, je ne pu m’empêcher de penser qu’elle avait bien grandi ; ses traits de jeunes femmes ont confirmé ceux que promettaient son visage d’enfant : elle ressemble à sa tante, ce qui n’est pas un mal , j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour cette dernière.

C’est ainsi que commença mon chemin de croix. Sous le soleil marocain, je me mis à pousser avec détermination et consciencieusement cette butagaz qui roula à vitesse honorable après chacune de mes impulsions.
Cette épreuve aurait pu être pénible, si à mes côtés ne se trouvait cette chère amie que le destin avait effacé de ma vie , sans jamais parvenir à altérer sa place dans mon cœur. Je fus surpris d’apprendre qu’elle vivait dans le même village que le mien et me réjouissais de ses retrouvailles impromptues. Elle était vêtue à la marocaine, foulard placé maladroitement sur sa tête , robe d’intérieure et sourire au lèvre.
Seul un proche peut jouir de la vision d’une femme sans apparat.

Tandis que nous approchions de nos demeures respectives, apparue en compagnie de ses sœurs , celle à qui je devais la moitié de la religion ; regardant par-dessus mon épaule , je m'aperçu que celle je m’apprêtais à lui présenter avait disparu , non sans avoir enrichie ma mémoire de quelques lignes,

Ignorant mon étonnement, mon épouse me prit à part et m’expliqua que le Qatar venait de décréter 3 jours de fêtes; ne voulant manquer cette occasion, elle souhaitait s’y rendre en compagnie de ses sœurs,
J’acquiesçais ,lui souhaitais bon voyage et regagnais ma demeure avec une butagaz entre les bras.
 
Salam amis les rêveurs!


Cette nuit, j'ai fais un rêve bizarre, mais je ne saurais raconter tout les détais, neanmoins j'ai pu en retenir une bonne partie que je vous livre ici!


J'etais sur une grande route par un temps sombre et humide, il ne pleuvait pas vraiment, mais il avait plu avant! J'etais en arrêt sur le côté, et je devais me séparer d'un corps, (oui comme dans les films :langue:), ce corps découpé en plusieurs gros morceaux... le tronc, je me souviens bien l'avoir jeté, il était dur et gris, comme du ciment, mais c'etait un corp dans mon esprit, meme si ca y ressemblait que très vaguement. Il y avait des enfants avec moi, ils étaient noir. Je vous dirais pas que c'était les miens, mais ils étaient bien là. Le plus drôle dans cette histoire, c'est quand j'ai jeté le corp, et qu'enfin, je me retourne pour remonter dans la voiture (une mercedes 207 bleue!!!! )et malheureusement je la vois se faire embarquer par une dépanneuse! j'avais été trop distraite me dis-je. Résultat, il fait nuit, je suis tjrs sur la route, je dois marcher, alors je marche. Jusqu'à ce que j'arrive à un endroit avec de petits hotels. Je décide alors de rester là pour la nuit. Je rentre donc, je monte les escaliers, des escaliers externes, je rentre et là, c'est horriiiiiblement horrible, sombre, sale, dégueulasse, je vous éviterais meme les détails du décors, surtout pour les toilettes, tellement c'etait sordide.
Je ne sais plus si j'ai dormis là, mais dans cette partie du rêve, il s'agit vraiment d'une visite des lieux et de découvertes très très étranges...
Je me souviens être arrivé devant un ascenceur que j'ai voulu utilisé, (ici le décors n'etait plus celui des hotels que j'avais trouvé mais plutot celui d'un grand batiment de bureau, que je visite toujours la nuit, il etait plus ou moins vide). J'appelle donc l'ascenceur en appuyant sur le bouton, le premier vient, il y avait un homme dedans un peu caché, je me souviens plus si je suis monté, ou pas. J'appelle encore un autre ascenceur, j'ouvre la porte, et là, misère, je me rend compte que cest un faux ascenceur, il y a une cage d'escalier à la place! que je dois descendre, je la descends et j'entends des voix plus bas d'hommes qui la descendent aussi.....
J'aimerais y ajouter une fin plus ou moins logique, mais malheurement il ne s'agissait que d'un rêve bizarre!
Après j'ai fais un autre reve plus chouette, où je visitais un grand parc mais ca c'est une autre histoire....:D
 
Salam amis les rêveurs!


Cette nuit, j'ai fais un rêve bizarre, mais je ne saurais raconter tout les détais, neanmoins j'ai pu en retenir une bonne partie que je vous livre ici!


J'etais sur une grande route par un temps sombre et humide, il ne pleuvait pas vraiment, mais il avait plu avant! J'etais en arrêt sur le côté, et je devais me séparer d'un corps, (oui comme dans les films :langue:), ce corps découpé en plusieurs gros morceaux... le tronc, je me souviens bien l'avoir jeté, il était dur et gris, comme du ciment, mais c'etait un corp dans mon esprit, meme si ca y ressemblait que très vaguement. Il y avait des enfants avec moi, ils étaient noir. Je vous dirais pas que c'était les miens, mais ils étaient bien là. Le plus drôle dans cette histoire, c'est quand j'ai jeté le corp, et qu'enfin, je me retourne pour remonter dans la voiture (une mercedes 207 bleue!!!! )et malheureusement je la vois se faire embarquer par une dépanneuse! j'avais été trop distraite me dis-je. Résultat, il fait nuit, je suis tjrs sur la route, je dois marcher, alors je marche. Jusqu'à ce que j'arrive à un endroit avec de petits hotels. Je décide alors de rester là pour la nuit. Je rentre donc, je monte les escaliers, des escaliers externes, je rentre et là, c'est horriiiiiblement horrible, sombre, sale, dégueulasse, je vous éviterais meme les détails du décors, surtout pour les toilettes, tellement c'etait sordide.
Je ne sais plus si j'ai dormis là, mais dans cette partie du rêve, il s'agit vraiment d'une visite des lieux et de découvertes très très étranges...
Je me souviens être arrivé devant un ascenceur que j'ai voulu utilisé, (ici le décors n'etait plus celui des hotels que j'avais trouvé mais plutot celui d'un grand batiment de bureau, que je visite toujours la nuit, il etait plus ou moins vide). J'appelle donc l'ascenceur en appuyant sur le bouton, le premier vient, il y avait un homme dedans un peu caché, je me souviens plus si je suis monté, ou pas. J'appelle encore un autre ascenceur, j'ouvre la porte, et là, misère, je me rend compte que cest un faux ascenceur, il y a une cage d'escalier à la place! que je dois descendre, je la descends et j'entends des voix plus bas d'hommes qui la descendent aussi.....
J'aimerais y ajouter une fin plus ou moins logique, mais malheurement il ne s'agissait que d'un rêve bizarre!
Après j'ai fais un autre reve plus chouette, où je visitais un grand parc mais ca c'est une autre histoire....:D

Waa, très bien baabyy!..Tu peut m'attendre ici 2 min?





....biiip...biiip...Allo? Mulder et Scully?..oui je vous appelle car je suis en ce moment même devant un cas qui mérite votre attention....Depechez-vous de venir...
 
Salam amis les rêveurs!
J'aimerais y ajouter une fin plus ou moins logique, mais malheurement il ne s'agissait que d'un rêve bizarre!

aleikum salam

Merci d’avoir rompu la monotonie de ce fil. Indépendamment de ce que tu as écrits ; en pérennisant dans ce fil ces quelques songes qui auraient sans doute disparu de ma mémoire au moment où je te réponds , je réalise que ces rêves démontrent que même l'omniscience humaine ne constitue une barrière à la "crétinerie".

Quant on entre dans le royaume de Morphée, il n'est nul besoin de se faire expliquer quoique ce soit, on sait déjà tout de ce monde qui s'offre à nous pour un soir (c'est ce qui nous rend omniscient) et dès les premiers instants , notre raison s'y accommode de situations les plus improbables (voilà pourquoi nous sommes également des crétins).
 
L'opéra

Je me suis endormi avec l’idée qu’il n’y avait rien de séduisant à un opéra et me suis vu propulser , à un moment de ma nuit dans , ce qui semblait être mon jardin.
J’y taillais les haies avec la précision d’un homme de métier tout en m’abandonnant à la récitation de morceau pourtant honni au moment de poser ma délicate joue sur le coussin.

J’ai été emporté par cet univers dans lequel, même le souvenir de l’avis lapidaire qui prédomine dans le monde réel , n’a sa place. Ces notes que l’on déverse à flot , d’une douce voix et ce souffle que l’on domine afin que jamais ne soit rompu l’harmonie de cette musicalité parfaite procure à qui maîtrise la discipline , une joie extatique.

Ce rêve a révélé mon talent caché: le respect du méconnu.
 
La fin

Éreinté, tandis que j’arpentais l’herbe du fond de mon jardin, je n’ai pu résisté à l’envie de dormir à même le sol dans une grange de fortune qui y était tapit;

Inédite manière de démarrer cette vie nouvelle que seul le sommeil me sert; je me trouve sur un marché marocain achetant un tas de babiole sans intérêt : stupide tradition d’immigrant/vacancier s’apprêtant à quitter le pays. A mes côtés, mon beau-frère me presse ; l’heure de la pitance est proche. Il est écrit qu’aujourd’hui, je trouverais gite et couvert en sa demeure.
De retour chez lui , nous sommes accueillis sur le pas de la porte par son épouse : cette vieille amie.

Troublé par ces retrouvailles, qui pour le coup constituent une surprise de taille, je reste muet et me contente de faire refléter en moi son visage amical.

Le climat étant ce qu’il est, mon hôte du moment prend l’initiative d’enclencher l’air conditionné, mais cet appel à la technologique faite pour plaire à l’homme moderne ruine en l’espace de quelques secondes ma santé.
Une douleur insupportable me gagne et me contraint à adopter la position fœtal. Ce réflexe naturel est hélas sans effet sur ma quête du bienêtre, l’air se raréfie, je suffoque et mon cœur s'alourdi , comme écrasé par une pierre dont le poids augmente à mesure que les minutes s’égrènent.

Alertée et émue par mon état, cette hôtesse qui comme beaucoup de marocaines, s’était faite le devoir de nous abandonner le salon, accoure pour s’enquérir de mon état. Sans doute désespérée de ne pouvoir offrir mieux que sa compassion, elle se penche vers moi , passe son bras protecteur autour de mon cou, puis de dépit, pose son front contre mon dos.
Ses douces marques de compassions atténuent, puis finissent par étouffer le mal qui semblait vouloir s’éterniser en moi ; prenant subitement conscience du caractère inconvenant de la scène qui venait de se jouer sous le regard paniqué du mari, je lui dégagea assez brutalement le bras ; sur son visage , je pouvais lire à mon grand regret : tristesse et incompréhension.

S’étant ressaisi , mon beau-frère met un terme à cette scène regrettable , annonce l’heure de passer à table puis s’engouffre dans la salle à manger, Les yeux rougies de larme , celle que j’avais blessé en rejetant si maladroitement son geste d’humanité murmura : tu es mon frère.
 
(...)

Le festin est servi , à notre table se trouvait mon frère et son épouse ; sans y avoir été invité ,mais au fond qui l’a été, il se fit le devoir de raconter ma vie à la manière d’un humoriste de stand-up.

Je n’ai guère eu l'occasion d’apprécier ses talents de conteur comique car très vite le malaise me reprit.
Le temps de cligner de l'œil et déjà je quittais ce monde pour un autre où la verdure domine.
La douleur m'a déserté , un sentiment de bienêtre m'envahie, mon corps flotte et se dirige lentement mais surement vers une immense arcade de pierre, au-delà de cette frontière, le monde cessera d’exister, je le sais ; cette fois c’est la fin.

Bienvenu dans le monde réel , même si ce n'est qu'un rêve : pardon.
 
une autre:

cette nuit je fus très très gênée, en effet je me balladais nue en rue, et redoutais le regard des gens, mais heureusement ceux ci ne prêtaient pas attention à moi.
J'ai essayé de cacher ma nudité à l'aide d'un tissus (je ne sais plus d'ou il vennait ce tissus), mais je n'y parvenais pas très bien, des parties restaient visibles.
Arrivée pres d'une maison (une maison voisine ds la realité), une foule de gens attendait là, des invités rejoignaient cette maison, je ne sais pas pourquoi j'etais là à coté de la porte, et des gars, des barbus, sont rentré en passant à côté de moi. Une chance pour moi, ils sont tellement pratiquant qu'ils n'ont meme pas relevé les yeux pr me regarder, et ils n'ont donc pas vue ma nudité. Quel soulagement ce fut.

Il y a d'autres éléments ds le rêves que je n'ai pas relevé car je m'en souviens plus trop bien...

j'aimerais bien lire plus d'histoire sur ce topic...
vous ne faites jamais de reves un peu etrange?
 
(...)

Le festin est servi , à notre table se trouvait mon frère et son épouse ; sans y avoir été invité ,mais au fond qui l’a été, il se fit le devoir de raconter ma vie à la manière d’un humoriste de stand-up.

Je n’ai guère eu l'occasion d’apprécier ses talents de conteur comique car très vite le malaise me reprit.
Le temps de cligner de l'œil et déjà je quittais ce monde pour un autre où la verdure domine.
La douleur m'a déserté , un sentiment de bienêtre m'envahie, mon corps flotte et se dirige lentement mais surement vers une immense arcade de pierre, au-delà de cette frontière, le monde cessera d’exister, je le sais ; cette fois c’est la fin.

Bienvenu dans le monde réel , même si ce n'est qu'un rêve : pardon.

tu sais je te jure, quand la fatigue, nous envahi, avec un tel anesthésie, la tu commence à marcher dans un monde à rien quà nous.
 
Inshallah


Cette nouvelle tranche de vie débute dans le quartier qui m’a vu naître : le danger m’y guette.
Partout où se pose mon regard , apparaissent des individus qui me contestent le droit d’exister. Essoufflé , je recherche désespérément le moyen de passer au travers de l’émaille d’un filet qui se refuse à moi. L’étau s’est encore resserré, capituler devient inéluctable.

Reculant au plus profond de ruelles qui constituent mon mince rempart contre l’issue fatale, je m’aperçois que se présente à moi celle où vit mon ami d’enfance. La peur du moment me contraint à ignorer mon savoir vivre : vu nos charges de vies respectives, s’annoncer quelques jours avant eut été un minimum.
Je me décide à arpenter les quelques dizaines de mètres qui me sépare de l’objectif indispensable et finis par trouver cette porte sur laquelle je tambourine dans l’espoir de trouver mon salut . Ma première salve suffit, car déjà l’obstacle s’entrouvre : c’est elle!

Comme toutes les fois où m’est donné l’occasion de la revoir, le rituel s’opère dans l’ordre suivant : mon cœur chavire, mes yeux s’emplissent de larme , pas le temps de dire trois que déjà je me retrouve dans ses bras, laissant couler sur cette épaule que tant de fois j’ai recherché, mon flot de frustration.
De sa main experte, elle me caresse l’arrière du crâne, me sourie puis entonne de sa voix douce une chansonnette qui a le don d’apaiser cette rage qui m’habite.

"Suis moi" , me dit elle; encore ému, je lui emboite le pas jusqu’au bureau où elle semble passer le plus clair de son temps. Muet dans un premier temps, comme pour m’accorder la possibilité de mémoriser les détails de son visage, je finis par céder à l’envie obsédante de l’interroger : Pourquoi ?

Cette courte supplique suffit à interrompre l’instant que je voulus sans fin, c’est un rêve et elle n’est plus

A la prochaine…inshallah
 
une autre:

j'aimerais bien lire plus d'histoire sur ce topic...
vous ne faites jamais de reves un peu etrange?

Je vais mettre un terme à ma participation, si tu en ouvres discrètement un autre il aura largement plus de succès que celui-ci.

tu sais je te jure, quand la fatigue, nous envahi, avec un tel anesthésie, la tu commence à marcher dans un monde à rien quà nous.

Les plus grands délires surviennent quant nous touchent l'état grippal. Sous antibiotiques nous sommes à moitié somnolant et à moitié conscient de ce qui nous entoure.
 
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