Ceci n'est pas un topic sur l'interprétation des rêves:
Les pieds nus (la nuit du 6 au 7/10/2010)
Dans ce topic , je souhaite exposer toutes sortes de songes délirants qui paraissent cohérents au moment où on a la certitude de les vivre mais qui deviennent affligeants une fois de retour dans le monde des vivants.
J’ai pour habitude de libérer mes sandales à chaque passage dans la pièce où sévit mon ultime contribution à ce monde, afin d’éviter à avoir, à courir derrière au moment où il s’en emparera. Connaissant mes habitudes , ce petit pervers de Morphée s’est arrangé pour me jouer un assez vilain tour puisque déchaussé , je le fus mais au moment de ma monté dans le train.
Embêté et honteux, je me suis mit à méditer sur la distance qui séparait la gare de mon lieu de travail et qu’il me faudrait cette fois, parcourir pied nu. En toute logique, car même dans nos rêves, il existe ces moments de lucidité , je me dis qu’il me fallait avant d’arriver à bon port , trouver un magasins de chaussure.
Je m’entends encore interrogeant les passants (qui avaient la prestance des habitants des quartiers chics américains) sur la possibilité de trouver au plus près une boutique qui me permettra de mettre fin à cette épreuve quelque peu humiliante.
Arrivé à bon port, et vous noterez que je ne suis plus dans le train , je me mets à parcourir ce magasins de long en large et qui bizarrement ne contient que sacs à main et combinaison ski, quant enfin, toujours grâce à ce bon sens qui ne me quitte jamais, j’interpelle une vendeuse qui me dit de sa voix de canard (oui c’est fini les américains) : le rayon chaussure, c’est juste derrière vous.
Dépité, je constate que ce rayon ne contient que 3 paires de sandales de petites tailles et une quatrième en plastique de couleur rose pointure 43 ; votre serviteur coincé en ce lieu inédit, et chaussant du 44 se risque tout de même à essayer ce qui devait le tirer de ce mauvais pas et qu’il n’avait vu, auparavant que dans les pieds d’une cousine nettoyant avec application la surface carrelée de son rez-de-chaussée.
Nouveau rebondissement, mon chef de projet m’interpelle et me dit comme a son habitude, stop tout ce que tu fais, c’est une catastrophe, plus personne ne sait travailler, tu dois m’aider,
Embêté mais consciencieux, je décide de mettre temporairement de côté mes soucis et de le suivre dans la salle des machines afin d’évaluer avec lui la nature du nouveau défi qui se pose à nous. Il va s’en dire que n’ayant rien décidé, je conserve en main, ces sandales roses auxquelles je n’ai pas encore renoncé.
(...)
Les pieds nus (la nuit du 6 au 7/10/2010)
Dans ce topic , je souhaite exposer toutes sortes de songes délirants qui paraissent cohérents au moment où on a la certitude de les vivre mais qui deviennent affligeants une fois de retour dans le monde des vivants.
J’ai pour habitude de libérer mes sandales à chaque passage dans la pièce où sévit mon ultime contribution à ce monde, afin d’éviter à avoir, à courir derrière au moment où il s’en emparera. Connaissant mes habitudes , ce petit pervers de Morphée s’est arrangé pour me jouer un assez vilain tour puisque déchaussé , je le fus mais au moment de ma monté dans le train.
Embêté et honteux, je me suis mit à méditer sur la distance qui séparait la gare de mon lieu de travail et qu’il me faudrait cette fois, parcourir pied nu. En toute logique, car même dans nos rêves, il existe ces moments de lucidité , je me dis qu’il me fallait avant d’arriver à bon port , trouver un magasins de chaussure.
Je m’entends encore interrogeant les passants (qui avaient la prestance des habitants des quartiers chics américains) sur la possibilité de trouver au plus près une boutique qui me permettra de mettre fin à cette épreuve quelque peu humiliante.
Arrivé à bon port, et vous noterez que je ne suis plus dans le train , je me mets à parcourir ce magasins de long en large et qui bizarrement ne contient que sacs à main et combinaison ski, quant enfin, toujours grâce à ce bon sens qui ne me quitte jamais, j’interpelle une vendeuse qui me dit de sa voix de canard (oui c’est fini les américains) : le rayon chaussure, c’est juste derrière vous.
Dépité, je constate que ce rayon ne contient que 3 paires de sandales de petites tailles et une quatrième en plastique de couleur rose pointure 43 ; votre serviteur coincé en ce lieu inédit, et chaussant du 44 se risque tout de même à essayer ce qui devait le tirer de ce mauvais pas et qu’il n’avait vu, auparavant que dans les pieds d’une cousine nettoyant avec application la surface carrelée de son rez-de-chaussée.
Nouveau rebondissement, mon chef de projet m’interpelle et me dit comme a son habitude, stop tout ce que tu fais, c’est une catastrophe, plus personne ne sait travailler, tu dois m’aider,
Embêté mais consciencieux, je décide de mettre temporairement de côté mes soucis et de le suivre dans la salle des machines afin d’évaluer avec lui la nature du nouveau défi qui se pose à nous. Il va s’en dire que n’ayant rien décidé, je conserve en main, ces sandales roses auxquelles je n’ai pas encore renoncé.
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