Nous sommes enjoints de traiter les gens avec gentillesse et davoir de bonnes paroles pour eux comme la dit Allah:
2.83 « [ ] d'avoir de bonnes paroles pour les gens [ ] »
60.8 « Allah ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables. »
Malgré ce qui précède, il ne faut pas confondre le bon comportement envers eux et le fait de les imiter au détriment de notre foi et de notre religion.
Nous croyons que la religion quils suivent est incorrecte et les fêtes religieuses font partie des symboles les plus manifestes de la religion, alors comment sassocier à eux et les féliciter pour un de leurs symboles religieux ?...
Cest dans ce sens que les savants dénoncent fermement le Musulman qui félicite les infidèles lors de leurs fêtes religieuses. Il est absolument interdit au Musulman de féliciter un non-musulman pour une fête propre à sa religion, (et à plus forte raison d'y participer), ainsi que de donner la permission à ceux qui sont sous sa tutelle, tels ses enfants et son épouse, de le faire, car cest une forme d'approbation envers leurs rites de mécréance, en plus dêtre un moyen de les conforter dans leurs fausses croyances.
Abd Allah ibn Amr a rapporté que le Prophète, Salla Allahou 'Alaihi wa Sallam, a dit :
« Celui qui aura vécu dans les pays des non Musulmans et aura participé à leurs fêtes et leurs cérémonies et les aura imités ainsi jusquà sa mort, sera ressuscité avec eux ». (Al-Bayhaqi : Sahih)
Après avoir cité des avis disant qu'il était autorisé à un musulman de féliciter ceux qui ne sont pas musulmans à propos des choses de la vie comme une naissance, un mariage, etc., et de leur souhaiter bonne santé, prospérité, etc., Ibn ul-Qayyim écrit en susbtance :
"Ce qui précède concerne le fait de les féliciter à propos de choses communes aux humains. En revanche, les féliciter à propos des symboles de leur religion est interdit à l'unanimité. Par exemple les féliciter pour leurs fêtes ou leur jeûne, et leur dire alors : "Joyeuse fête !" etc. Si celui qui dit ceci ne tombe pas lui-même dans le kufr, il commet au moins un interdit. C'est comme si on félicitait ce non musulman pour sa prosternation devant la croix" Ceci est même un péché plus grave encore auprès dAllah et plus ignoble que le fait de féliciter une personne pour avoir bu du vin, tué autrui, commis ladultère ou autre. (Ahkâmu ahl-idh-dhimma, pp. 205-206).
Or beaucoup de personnes agissent de la sorte sans se rendre compte de la gravité de leur acte. Ainsi, quiconque félicite une personne pour avoir commis un péché, une innovation ou un acte de mécréance s'expose à la malédiction et la colère dAllah.
Cet avis de Ibn ul-Qayyim se fonde sur le fait que si le musulman peut comprendre l'existence d'autres religions que l'islam, en revanche en son âme et conscience il ne peut être d'accord avec le fait qu'un homme se prosterne devant autre que Dieu. Il doit respecter cet homme en tant qu'homme. Il doit tolérer le fait que cet homme ait choisi une autre religion que l'islam. Mais il ne peut agréer ce qu'il fait. Il ne peut donc le féliciter pour cela.
Il y a ainsi une différence entre le fait de tolérer le choix des croyances et des pratiques religieuses d'autrui et le fait d'agréer ou de féliciter autrui pour ces croyances et ces pratiques.
Et Allah sait mieux.
2.83 « [ ] d'avoir de bonnes paroles pour les gens [ ] »
60.8 « Allah ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables. »
Malgré ce qui précède, il ne faut pas confondre le bon comportement envers eux et le fait de les imiter au détriment de notre foi et de notre religion.
Nous croyons que la religion quils suivent est incorrecte et les fêtes religieuses font partie des symboles les plus manifestes de la religion, alors comment sassocier à eux et les féliciter pour un de leurs symboles religieux ?...
Cest dans ce sens que les savants dénoncent fermement le Musulman qui félicite les infidèles lors de leurs fêtes religieuses. Il est absolument interdit au Musulman de féliciter un non-musulman pour une fête propre à sa religion, (et à plus forte raison d'y participer), ainsi que de donner la permission à ceux qui sont sous sa tutelle, tels ses enfants et son épouse, de le faire, car cest une forme d'approbation envers leurs rites de mécréance, en plus dêtre un moyen de les conforter dans leurs fausses croyances.
Abd Allah ibn Amr a rapporté que le Prophète, Salla Allahou 'Alaihi wa Sallam, a dit :
« Celui qui aura vécu dans les pays des non Musulmans et aura participé à leurs fêtes et leurs cérémonies et les aura imités ainsi jusquà sa mort, sera ressuscité avec eux ». (Al-Bayhaqi : Sahih)
Après avoir cité des avis disant qu'il était autorisé à un musulman de féliciter ceux qui ne sont pas musulmans à propos des choses de la vie comme une naissance, un mariage, etc., et de leur souhaiter bonne santé, prospérité, etc., Ibn ul-Qayyim écrit en susbtance :
"Ce qui précède concerne le fait de les féliciter à propos de choses communes aux humains. En revanche, les féliciter à propos des symboles de leur religion est interdit à l'unanimité. Par exemple les féliciter pour leurs fêtes ou leur jeûne, et leur dire alors : "Joyeuse fête !" etc. Si celui qui dit ceci ne tombe pas lui-même dans le kufr, il commet au moins un interdit. C'est comme si on félicitait ce non musulman pour sa prosternation devant la croix" Ceci est même un péché plus grave encore auprès dAllah et plus ignoble que le fait de féliciter une personne pour avoir bu du vin, tué autrui, commis ladultère ou autre. (Ahkâmu ahl-idh-dhimma, pp. 205-206).
Or beaucoup de personnes agissent de la sorte sans se rendre compte de la gravité de leur acte. Ainsi, quiconque félicite une personne pour avoir commis un péché, une innovation ou un acte de mécréance s'expose à la malédiction et la colère dAllah.
Cet avis de Ibn ul-Qayyim se fonde sur le fait que si le musulman peut comprendre l'existence d'autres religions que l'islam, en revanche en son âme et conscience il ne peut être d'accord avec le fait qu'un homme se prosterne devant autre que Dieu. Il doit respecter cet homme en tant qu'homme. Il doit tolérer le fait que cet homme ait choisi une autre religion que l'islam. Mais il ne peut agréer ce qu'il fait. Il ne peut donc le féliciter pour cela.
Il y a ainsi une différence entre le fait de tolérer le choix des croyances et des pratiques religieuses d'autrui et le fait d'agréer ou de féliciter autrui pour ces croyances et ces pratiques.
Et Allah sait mieux.