La présidente de l’Assemblée est revenue, jeudi 10 avril, sur ses propos qui ont fait polémique à la suite des attentats du 7 octobre.
Le leader de La France insoumise estime que «la position de LFI s’impose comme la seule issue concrète politique et humaine».
Un rétropédalage qui vient de loin. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a reconnu, jeudi 10 avril, avoir «eu tort» de «choisir» le terme de «soutien inconditionnel» de la France à Israël très rapidement après les massacres du 7 octobre perpétrés par le Hamas, qui avait fait polémique à l’époque. Le 10 octobre 2023, la députée macroniste des Yvelines avait assuré à Israël, «pays ami», «au nom de la représentation nationale, notre totale solidarité et notre soutien inconditionnel», depuis le perchoir où elle avait convoqué une minute de silence pour les victimes israéliennes, provoquant un tollé à gauche, particulièrement sur les bancs de La France insoumise.
«Je vois bien que j’ai eu tort de choisir ce mot, parce qu’il ne reflétait pas ma pensée et il a été compris de telle sorte que ça ne correspond pas à ce que je voulais dire», a déclaré Yaël Braun-Pivet sur France Inter.
«J’ai réaffirmé à l’Assemblée nationale le soutien qui était celui de la France à un pays meurtri par le terrorisme et ce soutien qui n’avait pas de condition», a-t-elle expliqué, rappelant qu’«on entendait chez certains» à l’époque, dire que les Israéliens étaient «en fait responsables de leur propre malheur».
La présidente de l’Assemblée était la seule à avoir utilisé cette expression à ce niveau de l’Etat alors que ce terme d’«inconditionnel» avait été critiqué vivement par LFI et Jean-Luc Mélenchon.
Le leader de La France insoumise estime que «la position de LFI s’impose comme la seule issue concrète politique et humaine».
Un rétropédalage qui vient de loin. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a reconnu, jeudi 10 avril, avoir «eu tort» de «choisir» le terme de «soutien inconditionnel» de la France à Israël très rapidement après les massacres du 7 octobre perpétrés par le Hamas, qui avait fait polémique à l’époque. Le 10 octobre 2023, la députée macroniste des Yvelines avait assuré à Israël, «pays ami», «au nom de la représentation nationale, notre totale solidarité et notre soutien inconditionnel», depuis le perchoir où elle avait convoqué une minute de silence pour les victimes israéliennes, provoquant un tollé à gauche, particulièrement sur les bancs de La France insoumise.
«Je vois bien que j’ai eu tort de choisir ce mot, parce qu’il ne reflétait pas ma pensée et il a été compris de telle sorte que ça ne correspond pas à ce que je voulais dire», a déclaré Yaël Braun-Pivet sur France Inter.
«J’ai réaffirmé à l’Assemblée nationale le soutien qui était celui de la France à un pays meurtri par le terrorisme et ce soutien qui n’avait pas de condition», a-t-elle expliqué, rappelant qu’«on entendait chez certains» à l’époque, dire que les Israéliens étaient «en fait responsables de leur propre malheur».
La présidente de l’Assemblée était la seule à avoir utilisé cette expression à ce niveau de l’Etat alors que ce terme d’«inconditionnel» avait été critiqué vivement par LFI et Jean-Luc Mélenchon.