salam
ESPACE La société américaine étudie de nouvelles pistes pour améliorer l'atterrissage de sa capsule, dans l'idée de transporter des astronautes dès l'an prochain...
Déjà utilisée pour ravitailler en vivres et matériel la Station spatiale internationale (ISS), la capsule Dragon V2 de SpaceX devrait acheminer des astronautes vers la station habitée dès l’an prochain et les ramener sur terre.
Et parmi les pistes développées pour améliorer le freinage de sa navette à l’atterrissage, la société du milliardaire américain, Elon Musk, songe à d’immenses parachutes.
Des premiers essais concluants Si, comme l’explique le site Clubic, c’est avant tout sur ses huit moteurs SuperDraco que le Dragon V2 devra compter pour un atterrissage en douceur, ces quatre parachutes géants, une fois déployés, permettront au module spatial de ralentir et de toucher terre sans encombres. Les premiers essais, en tout cas, ont été concluants.
Aux Etats-Unis, tous les responsables de l’exploration spatiale ont les yeux rivés sur les performances et les recherches de SpaceX, l’acteur privé qui permettra au pays de ne plus dépendre des navettes russes Soyouz pour transporter ses hommes et ses femmes dans l’espace. Une confiance qui donne des ailes au patron de la société, qui ne cache pas son ambition de coloniser Mars d’ici 10 à 12 ans.
ESPACE La société américaine étudie de nouvelles pistes pour améliorer l'atterrissage de sa capsule, dans l'idée de transporter des astronautes dès l'an prochain...
Déjà utilisée pour ravitailler en vivres et matériel la Station spatiale internationale (ISS), la capsule Dragon V2 de SpaceX devrait acheminer des astronautes vers la station habitée dès l’an prochain et les ramener sur terre.
Et parmi les pistes développées pour améliorer le freinage de sa navette à l’atterrissage, la société du milliardaire américain, Elon Musk, songe à d’immenses parachutes.
Des premiers essais concluants Si, comme l’explique le site Clubic, c’est avant tout sur ses huit moteurs SuperDraco que le Dragon V2 devra compter pour un atterrissage en douceur, ces quatre parachutes géants, une fois déployés, permettront au module spatial de ralentir et de toucher terre sans encombres. Les premiers essais, en tout cas, ont été concluants.
Aux Etats-Unis, tous les responsables de l’exploration spatiale ont les yeux rivés sur les performances et les recherches de SpaceX, l’acteur privé qui permettra au pays de ne plus dépendre des navettes russes Soyouz pour transporter ses hommes et ses femmes dans l’espace. Une confiance qui donne des ailes au patron de la société, qui ne cache pas son ambition de coloniser Mars d’ici 10 à 12 ans.