Stéphane Guillon : "En 2012, Val et Hees repartiront avec des plumes et du goudron"

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion petitbijou
  • Date de début Date de début

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
France Inter est MA radio", "Val démission" ou un plus direct et provocateur "Jean Cule Hees". A l'appel de l'intersyndicale de Radio France et de plusieurs réseaux sociaux, près de deux mille personnes se sont rassemblées, jeudi 1er juillet en fin de journée, devant la Maison de la Radio à Paris (16e), pour protester contre le non renouvellement des contrats de Stéphane Guillon et Didier Porte sur France Inter.


L'annonce leur en a été faite la dernière semaine de juin par Jean-Luc Hees, le PDG de Radio France (qui l'a annoncé dans un entretien au Monde) et Philippe Val, le directeur de France Inter. Plusieurs personnalités politiques de gauche (le sénateur communiste Jack Ralite et Jean-Luc Mélenchon du Front de Gauche) sont venus soutenir les deux humoristes qui ont dénoncé la "mise au pas de la radio publique".

"Nos licenciements sont politiques", a souligné M. Guillon en mentionnant la mobilisation des auditeurs qui auraient envoyés plus de 100 000 courriels de protestation à la direction de France Inter. Dans une imitation de Nicolas Sarkozy, il a dénoncé le péché originel de la nomination de M. Hees à la direction de Radio France par le chef de l'Etat : "Hees est un ami. Val aide Carlita à écrire son nouvel album, il n'y a pas de collusion", a-t-il dit sous les applaudissements.

Pour sa part, Didier Porte s'est attaqué au "mépris, au cynisme et à la brutalité de Hees".


http://www.lemonde.fr/actualite-med...t-du-goudron_1381972_3236.html#ens_id=1375635


"Avec Val à Charlie Hebdo, il est possible de dénoncer le fondamentalisme en publiant les caricatures de Mahomet, mais avec le même à la direction de France Inter, il est interdit de critiquer le président de la République".
:D
 
L'humour, ce n'est pas la critique, mais le spectacle de la critique. Et quand le spectacle tourne à la guignolade, il n'y a plus des guignols. Et je les trouve tristes.
 
L'humour, ce n'est pas la critique, mais le spectacle de la critique. Et quand le spectacle tourne à la guignolade, il n'y a plus des guignols. Et je les trouve tristes.

y a quand meme une différence notable entre guillon et porte , l'un fait de l'humour avec de la politique et l'autre fait de la politique avec de l'humour
 
Retour
Haut