Une condamnation à mort contre trois jeunes Iraniens pour avoir participé à des manifestations a mobilisé des millions de personnes sur les réseaux sociaux.
C'est un succès rare pour la société civile iranienne, mais il est encore trop tôt pour le célébrer. Après une campagne mondiale en ligne contre l'exécution de trois jeunes Iraniens pour avoir participé aux manifestations de novembre, la justice iranienne a annoncé mercredi que les avocats des condamnés pouvaient demander le réexamen des condamnations à mort du juge en chef Ebrahim Raisi.
Après la publication du verdict, plus de sept millions de personnes sur Twitter, Telegram et autres réseaux sociaux se sont opposées à l'exécution des condamnations à mort.
En quelques heures, le hashtag persan Edam Nakonid et l'anglais #NoToExecution sont devenus une tendance mondiale.
De nombreuses célébrités telles que le réalisateur Asghar Farhadi, l'actrice Taraneh Alidoosti et le footballeur Masoud Shojaie ont rejoint la campagne.
C'est un succès rare pour la société civile iranienne, mais il est encore trop tôt pour le célébrer. Après une campagne mondiale en ligne contre l'exécution de trois jeunes Iraniens pour avoir participé aux manifestations de novembre, la justice iranienne a annoncé mercredi que les avocats des condamnés pouvaient demander le réexamen des condamnations à mort du juge en chef Ebrahim Raisi.
Après la publication du verdict, plus de sept millions de personnes sur Twitter, Telegram et autres réseaux sociaux se sont opposées à l'exécution des condamnations à mort.
En quelques heures, le hashtag persan Edam Nakonid et l'anglais #NoToExecution sont devenus une tendance mondiale.
De nombreuses célébrités telles que le réalisateur Asghar Farhadi, l'actrice Taraneh Alidoosti et le footballeur Masoud Shojaie ont rejoint la campagne.