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Ce n’est que trois jours après le début de l’offensive russe en Ukraine que le Maroc a exprimé sa position, à mots feutrés. Samedi 26 février, ce pays a officiellement affirmé «suivre avec inquiétude» les événements, avant de réitérer son «soutien à l’intégrité territoriale des États membres des Nations unies» et son «attachement» au principe de «non-recours à la force pour le règlement de différends entre États». Une condamnation à reculons de cette invasion, dans laquelle le Maroc réussit le tour de force de ne pas mentionner directement la Russie.
Le soutien timoré du Maroc à l’Ukraine et par là même à l’Europe de la part d’un l’allié indéfectible de la France et de l’Union européenne s’est encore exprimé à l’Onu mercredi où le Royaume a refusé de soutenir la résolution contre la Russie. Mais le Maroc s’est lassé de l’inaction voire de la fragilité du soutien de l’UE et de ses États membres à sa cause nationale: la reconnaissance de sa souveraineté sur le Sahara occidental contre…
Le soutien timoré du Maroc à l’Ukraine et par là même à l’Europe de la part d’un l’allié indéfectible de la France et de l’Union européenne s’est encore exprimé à l’Onu mercredi où le Royaume a refusé de soutenir la résolution contre la Russie. Mais le Maroc s’est lassé de l’inaction voire de la fragilité du soutien de l’UE et de ses États membres à sa cause nationale: la reconnaissance de sa souveraineté sur le Sahara occidental contre…
Sur la question ukrainienne, le Maroc ne veut plus suivre l’Europe
DÉCRYPTAGE - L’ampleur de la déception du royaume se lit dans les conflits ouverts ces dernières années avec l’Espagne et l’Allemagne, le froid régnant sur ses relations avec la France et l’Union européenne, mais aussi dans sa dernière condamnation timide de l’attaque russe.
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