Je suis tombé par hasard sur une série britannique assez regardable, ça raconte l’histoire de rescapés qui ont survécu à une grippe planétaire qui aurait coûté la vie à près de 99% de la population mondiale : petit calcul rapide : ils ne sont plus que 60 millions sur terre.
Cette épidémie soudaine a rayé de la carte des vivants plusieurs milliards d’individus en moins de deux jours :
Ce qui nous donne un monde :
- avec des demeures pleines de cadavres. Vu qu’il est impossible d’enterrer tout le monde ; toutes les villes deviennent un nid à maladie à cause de la décomposition certaines, des corps humains.
- Sans service public , donc sans télévision, sans hôpitaux, sans eaux potables, sans électricité, sans dentiste , sans vaccin, sans Etat, sans police, sans loi. Une jambe cassée et on est bon pour l’amputation. Bref un monde invivable ; bel ironie pour le survivant.
- sans information, on n’ignore tout de l’origine du carnage , ni même si le virus a fini de faire des victimes. On ne sait si on peut faire confiance à un prochain qu’on aurait pas calculé dans d’autres circonstances ; imaginé une survivante nikabé sentant qu’il devient indispensable de lier son destin à une "espèce" de hippie.
Les possibilités qui s’offrent à nous, face à un tel tableau .
1.Le suicide
2.Profiter au maximum de ce qui a été laissé par les morts, bref vivre une vie de nomade
3.S’accaparer un endroit à partir duquel sera envisagé pour soi-même, un nouveau départ, bref un endroit qu’il va falloir défendre dans un monde où le stock alimentaire périmera en moins d'un an.
4. autres (...)
Pour ma part , si je ne me suicide pas dans les 24h, j'opte pour le choix numéro 3.
Cette épidémie soudaine a rayé de la carte des vivants plusieurs milliards d’individus en moins de deux jours :
Ce qui nous donne un monde :
- avec des demeures pleines de cadavres. Vu qu’il est impossible d’enterrer tout le monde ; toutes les villes deviennent un nid à maladie à cause de la décomposition certaines, des corps humains.
- Sans service public , donc sans télévision, sans hôpitaux, sans eaux potables, sans électricité, sans dentiste , sans vaccin, sans Etat, sans police, sans loi. Une jambe cassée et on est bon pour l’amputation. Bref un monde invivable ; bel ironie pour le survivant.
- sans information, on n’ignore tout de l’origine du carnage , ni même si le virus a fini de faire des victimes. On ne sait si on peut faire confiance à un prochain qu’on aurait pas calculé dans d’autres circonstances ; imaginé une survivante nikabé sentant qu’il devient indispensable de lier son destin à une "espèce" de hippie.
Les possibilités qui s’offrent à nous, face à un tel tableau .
1.Le suicide
2.Profiter au maximum de ce qui a été laissé par les morts, bref vivre une vie de nomade
3.S’accaparer un endroit à partir duquel sera envisagé pour soi-même, un nouveau départ, bref un endroit qu’il va falloir défendre dans un monde où le stock alimentaire périmera en moins d'un an.
4. autres (...)
Pour ma part , si je ne me suicide pas dans les 24h, j'opte pour le choix numéro 3.