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(Belga) La Sûreté de l'État a lancé une procédure afin de suspendre un commissaire de ses fonctions dans l'intérêt du service, avec réduction de traitement, après avoir constaté des irrégularités.
Cette décision doit toutefois être prise par la ministre de la Justice Annemie Turtelboom, sur proposition de la direction générale du service, précise dimanche la Sûreté, réagissant à un article de presse paru dans la 'Gazet van Antwerpen' et le 'Belang van Limburg'.
Fin juin, le commissaire en question a présenté lui-même sa démission auprès de la ministre de la Justice.
Le SPF Justice examine cette démission sur le plan juridique. En mars 2012, des indices d'irrégularités relatifs à des dépenses concernant des informateurs et leurs justificatifs ont été relevés à charge du commissaire concerné, selon la Sûreté. Mi-avril, la direction de la Sûreté a décidé de mettre le commissaire en non-activité à domicile, l'intéressé devant rester toutefois à la disposition de son service.
"Une enquête plus approfondie au sein du service a confirmé les indices et une procédure disciplinaire a été entamée envers cet agent. Cette procédure a mené à la notification à l'intéressé mi-juin d'une proposition provisoire de peine disciplinaire", développe la Sûreté.
Simultanément, cette dernière a lancé une procédure afin de suspendre le commissaire de ses fonctions, décision qui revient in fine à la ministre de la Justice. Sur base des déclarations de l'intéressé et des "infractions constatées", la direction a elle-même dénoncé les faits début juillet auprès du procureur du Roi à Anvers qui a ordonné une enquête.
La Gazet van Antwerpen et Het Belang van Limburg rapportaient samedi que la Sûreté de l'État avait suspendu le chef de sa section anversoise pour fraude et pour avoir entretenu une relation avec l'une de ses informatrices. (JAV)
encore une "histoire d'amour" ? et de fric sur le dos des contribuables
son "informatrice" l'aurait elle balancé?
http://yahoo.skynet.be/actualites/b...urete-decision-entre-les-mains-mme-turtelboom
Cette décision doit toutefois être prise par la ministre de la Justice Annemie Turtelboom, sur proposition de la direction générale du service, précise dimanche la Sûreté, réagissant à un article de presse paru dans la 'Gazet van Antwerpen' et le 'Belang van Limburg'.
Fin juin, le commissaire en question a présenté lui-même sa démission auprès de la ministre de la Justice.
Le SPF Justice examine cette démission sur le plan juridique. En mars 2012, des indices d'irrégularités relatifs à des dépenses concernant des informateurs et leurs justificatifs ont été relevés à charge du commissaire concerné, selon la Sûreté. Mi-avril, la direction de la Sûreté a décidé de mettre le commissaire en non-activité à domicile, l'intéressé devant rester toutefois à la disposition de son service.
"Une enquête plus approfondie au sein du service a confirmé les indices et une procédure disciplinaire a été entamée envers cet agent. Cette procédure a mené à la notification à l'intéressé mi-juin d'une proposition provisoire de peine disciplinaire", développe la Sûreté.
Simultanément, cette dernière a lancé une procédure afin de suspendre le commissaire de ses fonctions, décision qui revient in fine à la ministre de la Justice. Sur base des déclarations de l'intéressé et des "infractions constatées", la direction a elle-même dénoncé les faits début juillet auprès du procureur du Roi à Anvers qui a ordonné une enquête.
La Gazet van Antwerpen et Het Belang van Limburg rapportaient samedi que la Sûreté de l'État avait suspendu le chef de sa section anversoise pour fraude et pour avoir entretenu une relation avec l'une de ses informatrices. (JAV)
encore une "histoire d'amour" ? et de fric sur le dos des contribuables
son "informatrice" l'aurait elle balancé?
http://yahoo.skynet.be/actualites/b...urete-decision-entre-les-mains-mme-turtelboom