Syrie: l'armée israélienne vise à s'emparer des accès à l'eau dans ses opérations près de Deraa

Les nuisibles qui profitent de la faiblesse d'un régime pour piller avec l'aide du gouv us en grande partie
comme ils ont fait avec la Palestine .
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Ces dernières semaines, Israël a continué sa campagne de bombardement contre les infrastructures militaires en Syrie. Depuis la chute de Bachar el-Assad, l’État hébreu a frappé une centaine de fois à travers le pays, et mené des dizaines d'incursions militaires dans le sud. La dernière en date, le 3 avril à Nawa, a tué dix personnes et visait à s’emparer de plusieurs ressources en eau, essentielle aux habitants dans la zone.


Publié le : 11/04/2025 - 21:02

Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa.
Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa. © Sam Hariri / AFP


Avec notre envoyée spéciale à Nawa, Manon Chapelain

Pour la première fois, Mohammar revient sur les lieux de l’attaque. Des dizaines d’oliviers, un sol aride frappé par le vent, et dans la terre se trouvent des trous béants, stigmate des dizaines de bombardements.

Son neveu Ahmrad fait partie des victimes. À la vue des chars israéliens, lui et une centaine d’autres habitants sont venus ici, certains avec des kalachnikovs à la main. « Lorsque nous sommes arrivés, les cadavres étaient réduits en morceaux, à cause de la puissance de la frappe... Des morceaux, des morceaux de chair », raconte-t-il.

Partout, les carcasses de missiles jonchent encore le sol, mais aussi, des bouteilles d’eau, des cartons, des paquets de cigarettes écrits en hébreu. « Ils peuvent essayer de revenir. On ne lâchera pas nos terres. Même s'ils veulent nous tuer, nous ne partirons pas ! », clame Mohammar.
rfi
 
Les nuisibles qui profitent de la faiblesse d'un régime pour piller avec l'aide du gouv us en grande partie
comme ils ont fait avec la Palestine .
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Ces dernières semaines, Israël a continué sa campagne de bombardement contre les infrastructures militaires en Syrie. Depuis la chute de Bachar el-Assad, l’État hébreu a frappé une centaine de fois à travers le pays, et mené des dizaines d'incursions militaires dans le sud. La dernière en date, le 3 avril à Nawa, a tué dix personnes et visait à s’emparer de plusieurs ressources en eau, essentielle aux habitants dans la zone.


Publié le : 11/04/2025 - 21:02

Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa.'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa.
Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa. © Sam Hariri / AFP


Avec notre envoyée spéciale à Nawa, Manon Chapelain

Pour la première fois, Mohammar revient sur les lieux de l’attaque. Des dizaines d’oliviers, un sol aride frappé par le vent, et dans la terre se trouvent des trous béants, stigmate des dizaines de bombardements.

Son neveu Ahmrad fait partie des victimes. À la vue des chars israéliens, lui et une centaine d’autres habitants sont venus ici, certains avec des kalachnikovs à la main. « Lorsque nous sommes arrivés, les cadavres étaient réduits en morceaux, à cause de la puissance de la frappe... Des morceaux, des morceaux de chair », raconte-t-il.

Partout, les carcasses de missiles jonchent encore le sol, mais aussi, des bouteilles d’eau, des cartons, des paquets de cigarettes écrits en hébreu. « Ils peuvent essayer de revenir. On ne lâchera pas nos terres. Même s'ils veulent nous tuer, nous ne partirons pas ! », clame Mohammar.
rfi


Et bien sûr rien dans les medias occidentaux sur cette pieuvre maléfique...

Le grand Israel en marche...ils ne cachent même plus leurs desseins diaboliques.

Sinon a part ça... les medias n'ont que la sécurité de ce monstre sur les lèvres..rien sur leur projet expansioniste qui fait couler le sang pour s'approprier les terres et l'eau du Liban de la Syrie et de la Palestine.

Où sont les donneurs de leçons sur les droits internationaux ?

Que font ces terroristes de Al Qaeda face au pillage de terres et d'eau en Syrie de la part de ces prédateurs sionistes assoiffés de sang arabe?


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Et bien sûr rien dans les medias occidentaux sur cette pieuvre maléfique...

Le grand Israel en marche...ils ne cachent même plus leurs desseins diaboliques.

Sinon a part ça... les medias n'ont que la sécurité de ce monstre sur les lèvres..rien sur leur projet expansioniste qui fait couler le sang pour s'approprier les terres et l'eau du Liban de la Syrie et de la Palestine.

Où sont les donneurs de leçons sur les droits internationaux ?

Que font ces terroristes de Al Qaeda face au pillage de terres et d'eau en Syrie de la part de ces prédateurs sionistes assoiffés de sang arabe?


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Dire la vérité en France avec la censure politique, avec la censure médiatique, avec le lobby qui n’existe pas, avec une masse qui ne s’intéresse qu’à ses distractions et ses mauvaises inclinations est toujours possible. Mais il n’y a plus grand monde disposé à l’entendre.
 
Allah y rahmou à ces chouhadas qui n'ont fait que défendre leurs biens face aux prédateurs sionistes.
Allah voit et entend tout. Sa justice sera implacable. Qu'Allah les assiste.
 
Les nuisibles qui profitent de la faiblesse d'un régime pour piller avec l'aide du gouv us en grande partie
comme ils ont fait avec la Palestine .
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Ces dernières semaines, Israël a continué sa campagne de bombardement contre les infrastructures militaires en Syrie. Depuis la chute de Bachar el-Assad, l’État hébreu a frappé une centaine de fois à travers le pays, et mené des dizaines d'incursions militaires dans le sud. La dernière en date, le 3 avril à Nawa, a tué dix personnes et visait à s’emparer de plusieurs ressources en eau, essentielle aux habitants dans la zone.


Publié le : 11/04/2025 - 21:02

Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa.'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa.
Lors des funérailles d'habitants de Nawa tués lors de frappes israéliennes, le 3 avril 2025 à Nawa, dans la région de Deraa. © Sam Hariri / AFP


Avec notre envoyée spéciale à Nawa, Manon Chapelain

Pour la première fois, Mohammar revient sur les lieux de l’attaque. Des dizaines d’oliviers, un sol aride frappé par le vent, et dans la terre se trouvent des trous béants, stigmate des dizaines de bombardements.

Son neveu Ahmrad fait partie des victimes. À la vue des chars israéliens, lui et une centaine d’autres habitants sont venus ici, certains avec des kalachnikovs à la main. « Lorsque nous sommes arrivés, les cadavres étaient réduits en morceaux, à cause de la puissance de la frappe... Des morceaux, des morceaux de chair », raconte-t-il.

Partout, les carcasses de missiles jonchent encore le sol, mais aussi, des bouteilles d’eau, des cartons, des paquets de cigarettes écrits en hébreu. « Ils peuvent essayer de revenir. On ne lâchera pas nos terres. Même s'ils veulent nous tuer, nous ne partirons pas ! », clame Mohammar.
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Ils avaient fait la même chose au Liban comme exactions afin de s'approprier les ressources en eau de la rivière Litani, ce qui a conduit à l'occupation du Liban...jusqu'à ce que le Hezbollah soit crée et l'a foutu dehors par 2 fois.

D'où sa rage de détruire le Liban avec des cibles civiles en masse et autant de crimes de de guerre.

Ils n'ont pas hésité à détruire 6 bâtiments de 7 étages chacun avec leurs habitants pour atteindre un seul combattant du seul mouvement de résistance avec peu de moyens sans chars ni aviation ni missiles qui leur a résisté jusqu'à présent.

La honte et la rage d'avoir perdu le combat avec le Hezbollah en 2006 les a poussé à être plus démoniaque et inventif dans le but d'assassiner un maximum de civils et des résistants avec des moyens de lâches alors qu'ils disposent du plus grand arsenal mondial venant de tous les occidentaux ce qui représente un stock d'armes dernier cri inépuisable et des finances intarissables des mêmes occidentaux hypocrites.

C'est après 2006 que l'incroyable se produit...Israel, les USA, la G.B et la France ont utilisé Al Qaeda pour atteindre le Hezbollah qui fait face à l'expansionisme sanglant sioniste au Liban.

Le Hezbollah avait repris le relais des mouvements palestiniens du Liban.

C'est la violence coloniale sioniste qui a crée le Hezbollah vu que le Liban a toujours été martyrisé par Israel et bien avant l'existence du Hezbollah.

En occident tout ce qui se défend contre l'agressivité expansioniste israelienne est considéré comme terroriste.


Par contre si vous vous défendez contre un adversaire de l'occident vous devenez un combattant de la liberté.

Et hop tour de passe passe.

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Dernière édition:
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Cette déclaration du général Desportes devant le Sénat en décembre 2014 à propos de la création de Daesh

Général Vincent Desportes, professeur associé à Sciences Po Paris.

Un mot sur Daech, d'abord.

Ne doutons pas de la réalité de la menace directe pour nos intérêts vitaux, dont notre territoire et notre population. Daech est le premier mouvement terroriste à contrôler un aussi vaste territoire (35% du territoire irakien, 20% du territoire syrien).
Ce qui représente 200 000 km² (soit l'équivalent de l'Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, PACA et Rhône-Alpes réunis) et une population de l'ordre de 10 millions de personnes.

Ce territoire est imparfaitement mais réellement « administré » par un « ordre islamique », fait de barbarie et de rackets.

Daech dispose d'un véritable « trésor de guerre » (2 milliards de dollars selon la CIA), de revenus massifs et autonomes, sans comparaison avec ceux dont disposait Al-Qaïda. Daech dispose d'équipements militaires nombreux, rustiques mais aussi lourds et sophistiqués.
Plus que d'une mouvance terroriste, nous sommes confrontés à une véritable armée encadrée par des militaires professionnels.

Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les Etats-Unis.

Par intérêt politique à court terme, d'autres acteurs - dont certains s'affichent en amis de l'Occident - d'autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement.

Mais les premiers responsables sont les Etats-Unis. Ce mouvement, à la très forte capacité d'attraction et de diffusion de violence, est en expansion. Il est puissant, même s'il est marqué de profondes vulnérabilités. Il est puissant mais il sera détruit. C'est sûr. Il n'a pas d'autre vocation que de disparaître.




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Cette interview par CNN de Wesley Clark, ancien Commandant suprême de l'OTAN, rappelle l'ampleur de l'ingérence étrangère dans ces événements.​


Wesley Clark : Par ailleurs, nous ne souhaitons pas coopérer avec Bachar al-Assad, les Iraniens, le Hezbollah et les Russes, car ils ne sont pas nos alliés non plus. Cela nous place dans un dilemme, et il est nécessaire de conserver une certaine ambiguïté à ce sujet. Mais nous avons besoin de l’autorisation pour suivre les pistes, déployer nos troupes et avancer nos positions.

Ecoutez, Daech est né grâce au financement de nos amis et alliés.

Comme on le dit souvent au Moyen-Orient, si vous voulez recruter des combattants prêts à se battre jusqu’à la mort contre le Hezbollah, vous n'y arriverez pas avec des slogans du type :
« Engagez-vous pour construire un monde meilleur. » Vous recrutez des fanatiques, des fondamentalistes religieux. Ce sont eux qui se battent contre le Hezbollah.



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Wesley Clark, ancien général de l’armée américaine, s’est souvenu d’une visite qu’il a faite au Pentagone quelques semaines après les attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles.

On lui a montré un document classifié qui expliquait comment les États-Unis allaient « éliminer sept pays en cinq ans, en commençant par l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et en terminant par l’Iran ».
Le mémo du Pentagone de 2001 montré à Clark était en fait un remaniement d’un plan militaire pour le Moyen-Orient qui circulait à Washington depuis plus longtemps encore – et qui n’avait rien à voir avec la réponse au 11 septembre ou au terrorisme.

Il s’agissait de protéger la base avancée des intérêts américains dans cette région riche en pétrole qu’est Israël.

Les champions de cette idée étaient un groupe de plus en plus influent appelé les néoconservateurs – ou néocons en abrégé.

En 1996, ils avaient formalisé leur plan de « refonte » du Moyen-Orient dans un document intitulé A Clean Break (Une rupture nette).

Ce document proposait qu’Israël renonce aux accords d’Oslo et à toute initiative de paix avec les Palestiniens – la « rupture nette » du titre – et passe à l’offensive contre ses ennemis régionaux, avec le soutien des États-Unis.

Qu’est-ce que cela signifie ?


Il fallait, pour les auteurs, aider Israël à « affaiblir, contenir et même faire reculer la Syrie », puis à « chasser Saddam Hussein du
pouvoir en Irak ».

L’étape suivante consisterait à « éloigner les chiites du Sud-Liban du Hezbollah, de l’Iran et de la Syrie ».

Aucun de ces pays n’avait de lien évident avec les événements du 11 septembre.

MISSION ACCOMPLIE


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Les takfiristes d’HTS sont « les petites mains » du projet israélo/US​


Dès le début, les objectifs de l’insurrection takfiri dirigée par HTS a non seulement opéré en accord avec « Israël » et les États-Unis, mais aussi sous leur direction.

Depuis 2017, les cibles des attentats terroristes à la bombe de HTS ont été des représentants du gouvernement syrien, des scientifiques syriens, des civils chiites, des pèlerins.
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Après l’évasion de centaines de dirigeants takfiris des prisons de Hasakah au début de l’année, nombre d’entre eux se sont déplacés vers le sud, en direction des positions de l’armée à Daraa et à Damas.
Des groupes takfiris ont ensuite lancé des attaques au sol contre l’armée et la police syriennes dans ces régions du sud, aujourd’hui envahies par « Israël ».

La coordination terrestre et aérienne entre « Israël » et les takfiris n’est évidemment pas nouvelle.

Il a été bien documenté, il y a près de dix ans, qu’ « Israël » fournissait à Jabhat al-Nusra (l’organisation qui a précédé HTS) des cartes et des plans des positions de l’armée syrienne à attaquer dans le sud du pays.

Auparavant, un rapport de l’ONU datant de 2014 avait confirmé l’étroite coordination entre les soi-disant

« rebelles » et « Israël ».

Aidé par les renseignements et le travail d’ « Israël » dans l’attaque de ces installations – dont le plus
récent raid d’ « Israël » sur Masyaf en septembre qui a tué 18 personnes,
HTS a lancé une attaque via
un drone ukrainien le 4 décembre sur l’institut CERS au cours de ses incursions dans Hama, s’attaquant
à un site ciblé depuis longtemps par « Israël » après que ce dernier a admis que les frappes aériennes
ne suffisaient pas à elles seules.


En ouvrant la voie à la contre-insurrection takfiri, « Israël » avait pour objectif de bombarder des sites autour de la ville d’Homs.
Le porte-parole en langue arabe de l’armée israélienne, Avichay Adraee, l’a souligné dans un tweet la nuit suivant la prise de Hama.


À ce stade, il était clair que l’armée syrienne ne se battait plus, en raison des ordres de déposer les armes donnés par de généraux corrompus, allant à l’encontre de la directive d’Assad.

Les infiltrations profondes ont presque instantanément paralysé l’armée. Les frappes aériennes russes qui avaient touché les sites terroristes dans les premiers jours du siège d’Alep avaient cessé, et le CGRI ne disposait d’aucune force active.

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Dernière édition:
La revue américaine Foreign Policy vient apporter un éclairage nouveau sur le rôle d'Israël dans le conflit syrien.

À l'issue d'une enquête fouillée publiée sur le site de la revue, la journaliste Elizabeth Tsurkov, également chercheuse au Forum Regional Thinking, un think tank israélien, affirme que l'État hébreu a secrètement armé et financé au moins douze groupes rebelles syriens, opérant dans le sud de la Syrie de 2013 à juillet 2018.

Déjà, en mars 2015, un rapport des observateurs de l'ONU dans le Golan, adressé au Conseil de sécurité, révélait l'existence
d'« échanges » entre Israël et la rébellion syrienne, entre novembre 2014 et mars 2015.

D'après le document, des « individus armés » avaient « traversé la ligne de cessez-le-feu » à plusieurs reprises, et s'étaient
« approchés de la barrière technique (israélienne, NDLR) en ayant parfois des échanges avec les forces de défense israéliennes ».

À l'époque, 55 brigades rebelles affiliées à l'Armée syrienne libre (la branche modérée de la rébellion, NDLR) se réunissent pour former le « Front du Sud ». Composée d'environ 30 000 combattants, cette nébuleuse modérée, mais disparate ne possède pas de commandement unifié.

Elle entretient des liens étroits avec les États-Unis, la Jordanie, où nombre de ses combattants ont été formés, ainsi que les monarchies arabes du Golfe (Qatar et Arabie saoudite) qui les financent allègrement.

Parfois allié aux djihadistes du Front Fatah al-Cham, ancienne branche syrienne d'Al-Qaïda, le « Front du Sud » inflige tout d'abord de sévères défaites aux forces de Bachar el-Assad dans les provinces de Deraa et de Quneitra.

Face à cette myriade de groupuscules anti-Bachar el-Assad, dont les alliances ont changé au gré du conflit, Israël n'est pas resté les bras croisés.

Selon un rapport de l'International Crisis Group, l'État hébreu « a également fourni un soutien aux factions armées du Sud à partir de 2013 ou 2014,
apparemment pour essayer de nouer des partenariats locaux et sécuriser une zone tampon à sa frontière ».

S'appuyant sur une vingtaine de témoignages collectés auprès de commandants et combattants de ces factions, Foreign Policy va encore plus loin et affirme que l'aide israélienne était destinée à des groupes liés à l'Armée syrienne libre (rebelles modérés soutenus par l'Occident, NDLR), opérant dans les villes de Quneitra, Deraa et dans les régions situées au sud de Damas.

Parmi les destinataires privilégiés des services israéliens figuraient notamment le groupe Forsan al-Jolan (les Chevaliers du Golan),
actif dans la commune de Jubata al-Khashab, située dans la partie syrienne du Golan, ainsi que Liwaa Omar bin al-Khattab (la brigade Omar bin al-Khattab), basée quant à elle dans la localité de Beit Jinn, au sud-est de Damas.

« Israël nous a soutenus de façon héroïque », soulignait en juin 2017 Moatasem al-Golani, porte-parole de Forsan al-Jolan, faction rebelle de plusieurs centaines de combattants.

« Nous n'aurions pas survécu sans l'aide d'Israël. »

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De nos jours Israel veut bénéficier des dividendes de son agression continue contre la Syrie...des massacres en profondeur sur les villageois en Syrie pour prendre son butin de eau et en terres supplémentaires au delà du Golan déjà occupé illégalement.

La Syrie ne pourra survivre à toute cette déstabilisation du prédateur israelien. Ils cherchent une guerre éternelle pour la Syrie.

Les terroristes takfiristes soi disant musulmans gardent le silence et laissent leur maître dépouiller le pays sans rien faire.

Et les USA ainsi que d'autres occidentaux qui attaquaient Assad... laissent faire Israel et ses crimes sanglants pour son expansion en Syrie et ailleurs. Ce sont de bons crimes si c'est Israel qui les commet.

Israel continue ses bombardements comme si Assad était toujours là. Pour continuer son objectif du grand Israel.

Pas un mot des mainstream sur la guerre permanente israelienne pour mettre le feu au M.O. en toute impunité.


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