Au moment ou des forces obscures s'activent pour diviser la syrie et répeter le scenario libyen , le president Ahmed al-Charaa renverse la table avec un coup de maitre , les kurdes qui controlent 25 % de la syrie rejoint et renforce la nouvelle état syrien.
Les séparatistes alaouite ont echouer lamentablement .
il reste un seule danger Les Druzes dans la region de Souweïda qui menacent de s'allier avec Benyamin Netanyahou , mais sans doute ahmed chaare les fera plier comme les autres.
Apparament Ahmed al-Charaa est un cadeau du ciel pour sauver la syrie et l'amener a la prosperité

KHALIL ASHAWI / REUTERSORHAN QEREMAN / REUTERSKHALIL ASHAWI / REUTERSORHAN QEREMAN / REUTERS
L’accord affirme également que « la communauté kurde est une composante essentielle de l’Etat syrien », qui « garantit son droit à la citoyenneté et l’ensemble de ses droits constitutionnels », tout en rejetant « les appels à la division, les discours de haine et les tentatives de semer la discorde entre les différentes composantes de la société syrienne ». Il stipule aussi « le soutien à l’Etat syrien dans sa lutte contre les résidus du régime Assad et toutes les menaces pesant sur sa sécurité et son unité ».
L’administration autonome kurde, soutenue par les Etats-Unis, contrôle de vastes territoires dans le nord et l’est de la Syrie, riches en blé, pétrole et gaz, des ressources cruciales pour les autorités de Damas dans cette période de reconstruction. Son bras armé, les FDS, a joué un rôle clé dans la lutte contre le groupe djihadiste Etat islamique, battu dans son dernier bastion en 2019.
Marginalisés et réprimés sous le régime de la famille Assad, les Kurdes ont été privés, pendant des décennies, du droit de parler leur langue, de célébrer leurs fêtes et, pour un grand nombre d’entre eux, de la nationalité syrienne. Pendant la guerre civile déclenchée en 2011, ils ont mis en place une administration autonome dans le nord-est du pays, avec leurs propres institutions éducatives, sociales et militaires.
Depuis l’arrivée en décembre des nouvelles autorités à Damas, les Kurdes ont manifesté une certaine ouverture, voyant une occasion pour construire une nouvelle Syrie qui garantisse les droits de tous les Syriens. Toutefois, ils ont été exclus d’une conférence de dialogue national sur les grandes lignes de la transition.
Les séparatistes alaouite ont echouer lamentablement .
il reste un seule danger Les Druzes dans la region de Souweïda qui menacent de s'allier avec Benyamin Netanyahou , mais sans doute ahmed chaare les fera plier comme les autres.
Apparament Ahmed al-Charaa est un cadeau du ciel pour sauver la syrie et l'amener a la prosperité

En direct, Proche-Orient : en Syrie, le président Ahmed Al-Charaa signe un accord avec les Kurdes pour intégrer leurs institutions autonomes à l’Etat
Le texte prévoit, d’ici à la fin de l’année, « l’intégration de toutes les institutions civiles et militaires du nord-est de la Syrie, y compris les postes-frontières, l’aéroport ainsi que les champs pétroliers et gaziers ». Il s’agit d’« une vraie occasion pour construire une nouvelle Syrie », s’est félicité le leader kurde, Mazloum Abdi.L’accord est une « vraie occasion » de « construire une nouvelle Syrie », dit le chef des forces kurdes syriennes
« Nous sommes déterminés à construire un avenir meilleur qui garantisse les droits de tous les Syriens » et « nous considérons cet accord comme une véritable opportunité de construire une nouvelle Syrie qui comprenne toutes ses composantes et assure une bonne cohabitation », a écrit, sur son compte X, Mazloum Abdi, le chef des Forces démocratique syriennes (FDS), peu après l’annonce de la prochaine intégration au sein de l’Etat syrien de toutes les institutions civiles et militaires relevant de l’administration autonome kurde.Célébrations dans les rues de Damas après l’accord entre l’Etat et les FDS
De nombreuses personnes sont descendues dans les rues de Damas, lundi en soirée, pour célébrer l’annonce de la signature de l’accord entre le pouvoir syrien et les Forces démocratiques syriennes (FDS) – dirigées par les Kurdes – permettant d’intégrer les institutions de ces dernières à l’Etat.KHALIL ASHAWI / REUTERSORHAN QEREMAN / REUTERSKHALIL ASHAWI / REUTERSORHAN QEREMAN / REUTERS
Syrie : accord avec les Kurdes pour intégrer leurs institutions autonomes à l’Etat
La présidence syrienne a annoncé, lundi, un accord avec le chef des Forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les Kurdes, Mazloum Abdi. Cet accord prévoit, d’ici la fin de l’année, « l’intégration de toutes les institutions civiles et militaires du nord-est de la Syrie au sein de l’administration de l’Etat syrien, y compris les postes-frontières, l’aéroport ainsi que les champs pétroliers et gaziers ».L’accord affirme également que « la communauté kurde est une composante essentielle de l’Etat syrien », qui « garantit son droit à la citoyenneté et l’ensemble de ses droits constitutionnels », tout en rejetant « les appels à la division, les discours de haine et les tentatives de semer la discorde entre les différentes composantes de la société syrienne ». Il stipule aussi « le soutien à l’Etat syrien dans sa lutte contre les résidus du régime Assad et toutes les menaces pesant sur sa sécurité et son unité ».
L’administration autonome kurde, soutenue par les Etats-Unis, contrôle de vastes territoires dans le nord et l’est de la Syrie, riches en blé, pétrole et gaz, des ressources cruciales pour les autorités de Damas dans cette période de reconstruction. Son bras armé, les FDS, a joué un rôle clé dans la lutte contre le groupe djihadiste Etat islamique, battu dans son dernier bastion en 2019.
Marginalisés et réprimés sous le régime de la famille Assad, les Kurdes ont été privés, pendant des décennies, du droit de parler leur langue, de célébrer leurs fêtes et, pour un grand nombre d’entre eux, de la nationalité syrienne. Pendant la guerre civile déclenchée en 2011, ils ont mis en place une administration autonome dans le nord-est du pays, avec leurs propres institutions éducatives, sociales et militaires.
Depuis l’arrivée en décembre des nouvelles autorités à Damas, les Kurdes ont manifesté une certaine ouverture, voyant une occasion pour construire une nouvelle Syrie qui garantisse les droits de tous les Syriens. Toutefois, ils ont été exclus d’une conférence de dialogue national sur les grandes lignes de la transition.