Tamazight n atlas ablidi/Tamazight de Blida une langue en voie de disparaition

Le tamazight de l'Atlas blidéen est un dialecte sanhadja comme le kabyle (parlé à l'Est) duquel il est plus proche dans sa structure et sa prononciation que du chenoui (dialecte zénète), parlé à l'Ouest dans la région du Dahra.

Par le passé, le tamazight de l'Atlas blidéen, semble avoir été une sorte de passerelle entre le kabyle et le chenoui car le tamazight de l'Atlas blidéen occidental semble plus avoir été influencé par le chenoui que du tamazight de l'Atlas blidéen orientale.

La principale différence entre le tamazight de l'Atlas blidéen et le chenoui réside surtout dans la prononciation du [k] et du [c] (prononcé « ch ») ou du [g] et du [j]. Certains mots du chenoui prononcés avec [c] (« ch ») et [j] sont prononcés dans le tamazight de l'Atlas blidéen avec [k] et [g] (tout comme en kabyle). Un exemple, la négation :

« Il ne marche pas » : Ur yeggur k, en tamazight de l'Atlas blidéen / Ur yeggur c, en chenoui :
Il y a également certaines différences dans le lexique qui rapprochent le tamazight de l'Atlas blidéen plus du kabyle que du chenoui.

Exemples :« Égorger » : zlu en tamazight de l'Atlas blidéen / ɣres (prononcé « ghres »), en chenoui
« Demain » : azekka en tamazight de l'Atlas blidéen / ayecca (prononcé : « ayechcha ») en chenoui
Le tamazight de l'Atlas blidéen est toujours parlé et préservé chez les descendants des tribus berbères des Béni Saleh, établies sur les hauteurs de Blida, et des Béni Misra, établies dans les localités de Megta et de Lazreg de la commune de Hammam Melouane.
sont état actuel
Le dialecte est en voie d'extinction. Selon des témoignages de la population locale, la régression du dialecte a commencé pendant la révolution algérienne, lorsque l'armée française avait déplacé les habitants vers des camps de concentration et s'est poursuivi pendant la décennie noire, suite à l'exode des populations. Le brassage avec la population arabophone a contribué à l'abandon de l'utilisation du dialecte[2].
Le tamazight de l'Atlas blidéen.wmv - YouTube
 
Le tamazight de l'Atlas blidéen est un dialecte sanhadja comme le kabyle (parlé à l'Est) duquel il est plus proche dans sa structure et sa prononciation que du chenoui (dialecte zénète), parlé à l'Ouest dans la région du Dahra.

Par le passé, le tamazight de l'Atlas blidéen, semble avoir été une sorte de passerelle entre le kabyle et le chenoui car le tamazight de l'Atlas blidéen occidental semble plus avoir été influencé par le chenoui que du tamazight de l'Atlas blidéen orientale.

La principale différence entre le tamazight de l'Atlas blidéen et le chenoui réside surtout dans la prononciation du [k] et du [c] (prononcé « ch ») ou du [g] et du [j]. Certains mots du chenoui prononcés avec [c] (« ch ») et [j] sont prononcés dans le tamazight de l'Atlas blidéen avec [k] et [g] (tout comme en kabyle). Un exemple, la négation :

« Il ne marche pas » : Ur yeggur k, en tamazight de l'Atlas blidéen / Ur yeggur c, en chenoui :
Il y a également certaines différences dans le lexique qui rapprochent le tamazight de l'Atlas blidéen plus du kabyle que du chenoui.

Exemples :« Égorger » : zlu en tamazight de l'Atlas blidéen / ɣres (prononcé « ghres »), en chenoui
« Demain » : azekka en tamazight de l'Atlas blidéen / ayecca (prononcé : « ayechcha ») en chenoui
Le tamazight de l'Atlas blidéen est toujours parlé et préservé chez les descendants des tribus berbères des Béni Saleh, établies sur les hauteurs de Blida, et des Béni Misra, établies dans les localités de Megta et de Lazreg de la commune de Hammam Melouane.
sont état actuel
Le dialecte est en voie d'extinction. Selon des témoignages de la population locale, la régression du dialecte a commencé pendant la révolution algérienne, lorsque l'armée française avait déplacé les habitants vers des camps de concentration et s'est poursuivi pendant la décennie noire, suite à l'exode des populations. Le brassage avec la population arabophone a contribué à l'abandon de l'utilisation du dialecte[2].
Le tamazight de l'Atlas blidéen.wmv - YouTube


Atlas je connais mais Blidéen wallah di jamais entendu alors que je suis moi même de l'Atlas
voulez vous être plus clair????
 
Atlas je connais mais Blidéen wallah di jamais entendu alors que je suis moi même de l'Atlas
voulez vous être plus clair????
l'Atlas blideen se trouve en Algerie et et il et nommé ainsi par apport a la ville de Blida L'Atlas blidéen, ou Atlas de Blida[1],[2], ou Atlas mitidjien[3] (en arabe : الأطلس البليدي, al-Aṭlas al-Bulaydī, en tamazight : ⴰⵟⵍⴰⵙ ⵏ ⵍⴱⵍⵉⴸⴰ, Aṭlas N Lbliḏa), est un massif montagneux d'Algérie, situé au Nord du pays, et qui fait partie de l'Atlas tellien. Le point culminant de l'Atlas blidéen est le Koudiat Sidi Abdelkader, à 1 629 m d'altitude[2],[4].Aller à : Navigation, rechercher
Cet article est une ébauche concernant la géographie de l'Algérie et la montagne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.


L'Atlas blidéen est situé dans les wilayas de Blida au nord, Médéa au sud et Bouira à l’est. Il s’étend du djebel Mouzaïa dans la wilaya de Blida jusqu'au djebel Hellala dans la wilaya de Bouira, ou alors de la vallée de l’oued Djer à l’ouest, à celle de l'oued Isser à l’est. La plaine de la Mitidja se situe au pied de l'Atlas blidéen, face à ses premiers contreforts.

L'Atlas blidéen comprend les montagnes des Beni Saleh, des Beni Misra, des Beni Messouat[3].

Outre son point culminant, le Koudiat Sidi Abdelkader, les principaux sommets sont[1],[2] :

le Djebel Mouzaïa (1 604 m) ;
le Kef de Chréa (1 550 m) ;
le Ferouhka (1 497 m) ;
le Koudiat Alloui (1 319 m) ;
le Koudiat Sidi Mokrefi (1 326 m) ;
le Bou Mali (1 271 m) ;
le Djebel Kayett (1 269 m) ;
le Djebel Sidi El Mokri (1 252 m) ;
le Kef Tacherchourt (1 221 m) ;
le Djebel Tiberguent (1 196 m) ;
le Kef El Afrais (1 122 m) ;
le Koudiat Béni Arif (1 079 m) ;
le Tizgui (1 058 m) ;
le Koudiat Tidjidjelt (1 012 m).
Végétation[modifier]

Paysage de l'Atlas blidéenLa végétation est composée de pins et de cèdres de l'Atlas[3] pouvant atteindre 45 à 50 mètres de haut sur dix mètres de circonférence[5].
L'Atlas blidéen a connu un dépeuplement en grande partie pendant la colonisation française et la décennie noire. Plusieurs facteurs sont à l’origine de cette situation : la dégradation de la situation de l’agriculture de montagne, la mise en valeur de la plaine qui a attiré une partie de la population de l'Atlas pendant la colonisation française, mais aussi les conséquences de la guerre de libération, en effet l’armée coloniale française a imposée aux populations rurales montagnardes de déloger afin d’isoler les combattants et la disponibilité d’activités salariales (industrie, BTP, services) ce qui a dévalorisé l’agriculture[6].
Article détaillé : tamazight de l'Atlas blidéen.
Bien que le tamazight de l'Atlas blidéen soit en voie de disparition au début du XXIe siècle, il est toujours parlé et préservé dans le massif[7] chez les descendants des tribus amazighs des Béni Saleh (localité de Sidi El Kébir sur hauteurs de la commune de hemam melouan et de lezreg
 
l'Atlas blideen se trouve en Algerie et et il et nommé ainsi par apport a la ville de Blida L'Atlas blidéen, ou Atlas de Blida[1],[2], ou Atlas mitidjien[3] (en arabe : الأطلس البليدي, al-Aṭlas al-Bulaydī, en tamazight : ⴰⵟⵍⴰⵙ ⵏ ⵍⴱⵍⵉⴸⴰ, Aṭlas N Lbliḏa), est un massif montagneux d'Algérie, situé au Nord du pays, et qui fait partie de l'Atlas tellien. Le point culminant de l'Atlas blidéen est le Koudiat Sidi Abdelkader, à 1 629 m d'altitude[2],[4].Aller à : Navigation, rechercher
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L'Atlas blidéen est situé dans les wilayas de Blida au nord, Médéa au sud et Bouira à l’est. Il s’étend du djebel Mouzaïa dans la wilaya de Blida jusqu'au djebel Hellala dans la wilaya de Bouira, ou alors de la vallée de l’oued Djer à l’ouest, à celle de l'oued Isser à l’est. La plaine de la Mitidja se situe au pied de l'Atlas blidéen, face à ses premiers contreforts.

L'Atlas blidéen comprend les montagnes des Beni Saleh, des Beni Misra, des Beni Messouat[3].

Outre son point culminant, le Koudiat Sidi Abdelkader, les principaux sommets sont[1],[2] :

le Djebel Mouzaïa (1 604 m) ;
le Kef de Chréa (1 550 m) ;
le Ferouhka (1 497 m) ;
le Koudiat Alloui (1 319 m) ;
le Koudiat Sidi Mokrefi (1 326 m) ;
le Bou Mali (1 271 m) ;
le Djebel Kayett (1 269 m) ;
le Djebel Sidi El Mokri (1 252 m) ;
le Kef Tacherchourt (1 221 m) ;
le Djebel Tiberguent (1 196 m) ;
le Kef El Afrais (1 122 m) ;
le Koudiat Béni Arif (1 079 m) ;
le Tizgui (1 058 m) ;
le Koudiat Tidjidjelt (1 012 m).
Végétation[modifier]

Paysage de l'Atlas blidéenLa végétation est composée de pins et de cèdres de l'Atlas[3] pouvant atteindre 45 à 50 mètres de haut sur dix mètres de circonférence[5].
L'Atlas blidéen a connu un dépeuplement en grande partie pendant la colonisation française et la décennie noire. Plusieurs facteurs sont à l’origine de cette situation : la dégradation de la situation de l’agriculture de montagne, la mise en valeur de la plaine qui a attiré une partie de la population de l'Atlas pendant la colonisation française, mais aussi les conséquences de la guerre de libération, en effet l’armée coloniale française a imposée aux populations rurales montagnardes de déloger afin d’isoler les combattants et la disponibilité d’activités salariales (industrie, BTP, services) ce qui a dévalorisé l’agriculture[6].
Article détaillé : tamazight de l'Atlas blidéen.
Bien que le tamazight de l'Atlas blidéen soit en voie de disparition au début du XXIe siècle, il est toujours parlé et préservé dans le massif[7] chez les descendants des tribus amazighs des Béni Saleh (localité de Sidi El Kébir sur hauteurs de la commune de hemam melouan et de lezreg
ah !! continuation de l'Atlas!!!
ah c'est pour cela que je comprends bien la langue de certains amazigh algeriens!..vraiment proche de la notre !!

moi je croyais que tu parlais du Maroc!
@merci:)
 
ah !! continuation de l'Atlas!!!
ah c'est pour cela que je comprends bien la langue de certains amazigh algeriens!..vraiment proche de la notre !!

moi je croyais que tu parlais du Maroc!
@merci:)
tu as compris ce que il a dit dans la video car se parlait est complex c'est un melange de sanhadja et de zenet c tu parle d'une continuation geographique je pense pas cat l'Atlas blideen se situe dans l'Algerois
 
Le tamazight de l'Atlas blidéen est un dialecte sanhadja comme le kabyle (parlé à l'Est) duquel il est plus proche dans sa structure et sa prononciation que du chenoui (dialecte zénète), parlé à l'Ouest dans la région du Dahra.

Par le passé, le tamazight de l'Atlas blidéen, semble avoir été une sorte de passerelle entre le kabyle et le chenoui car le tamazight de l'Atlas blidéen occidental semble plus avoir été influencé par le chenoui que du tamazight de l'Atlas blidéen orientale.

La principale différence entre le tamazight de l'Atlas blidéen et le chenoui réside surtout dans la prononciation du [k] et du [c] (prononcé « ch ») ou du [g] et du [j]. Certains mots du chenoui prononcés avec [c] (« ch ») et [j] sont prononcés dans le tamazight de l'Atlas blidéen avec [k] et [g] (tout comme en kabyle). Un exemple, la négation :

« Il ne marche pas » : Ur yeggur k, en tamazight de l'Atlas blidéen / Ur yeggur c, en chenoui :
Il y a également certaines différences dans le lexique qui rapprochent le tamazight de l'Atlas blidéen plus du kabyle que du chenoui.

Exemples :« Égorger » : zlu en tamazight de l'Atlas blidéen / ɣres (prononcé « ghres »), en chenoui
« Demain » : azekka en tamazight de l'Atlas blidéen / ayecca (prononcé : « ayechcha ») en chenoui
Le tamazight de l'Atlas blidéen est toujours parlé et préservé chez les descendants des tribus berbères des Béni Saleh, établies sur les hauteurs de Blida, et des Béni Misra, établies dans les localités de Megta et de Lazreg de la commune de Hammam Melouane.
sont état actuel
Le dialecte est en voie d'extinction. Selon des témoignages de la population locale, la régression du dialecte a commencé pendant la révolution algérienne, lorsque l'armée française avait déplacé les habitants vers des camps de concentration et s'est poursuivi pendant la décennie noire, suite à l'exode des populations. Le brassage avec la population arabophone a contribué à l'abandon de l'utilisation du dialecte[2].
Le tamazight de l'Atlas blidéen.wmv - YouTube


Ca ressemble fort au chleuh de l'atlas au maroc, mais la video la ils arrétent pas de mettre des mots arabes dans leur phrases.
 
mais pourqoi delaisse un riche patrimoine berbere disparaitre comme ca aux yeux du monde?
et pourquoi specialement en Algerie ou beaucoup du dialect ont disaprau et d'autre risque du disparaitre ?
en ce moument 13 dialect berbere sont parler dans 48 departement qu'a deviendra t'il de ces dialect d'ici un siecle ?
 
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