Sophie Grimbert a vécu dans une famille de témoins de Jéhovah pendant 42 ans. En 2009, elle décide de quitter ce mouvement religieux avec sa fille. Dans son livre « Une vie d’enfer » (éditions Max Milo), elle y raconte son combat pour en sortir
Née dans une famille de témoins de Jéhovah, Sophie Grimbert a vécu pendant 42 ans dans ce mouvement religieux. « Lorsque j’étais enfant, c’était tout un univers… C’était mon univers » explique-t-elle. Dans son livre « Une vie d’enfer » publié le 17 octobre aux éditons Max Milo, elle raconte sans détour son quotidien au sein des témoins de Jéhovah.
Sophie Grimbert décrit une prison mentale dans laquelle elle s’enferme. « Je me dis que je ne peux pas perdre la vie éternelle, que je ne peux pas décevoir mes parents. Je sais que je suis dans une prison mais je me dis que c’est pour mon bien. »
Après des années de souffrance, elle décide de quitter en 2009 ce mouvement religieux avec sa fille âgée de dix ans. Elle ne reverra pas sa famille pendant plusieurs années, une expérience qui la marquera au fer rouge.
Née dans une famille de témoins de Jéhovah, Sophie Grimbert a vécu pendant 42 ans dans ce mouvement religieux. « Lorsque j’étais enfant, c’était tout un univers… C’était mon univers » explique-t-elle. Dans son livre « Une vie d’enfer » publié le 17 octobre aux éditons Max Milo, elle raconte sans détour son quotidien au sein des témoins de Jéhovah.
Sophie Grimbert décrit une prison mentale dans laquelle elle s’enferme. « Je me dis que je ne peux pas perdre la vie éternelle, que je ne peux pas décevoir mes parents. Je sais que je suis dans une prison mais je me dis que c’est pour mon bien. »
Après des années de souffrance, elle décide de quitter en 2009 ce mouvement religieux avec sa fille âgée de dix ans. Elle ne reverra pas sa famille pendant plusieurs années, une expérience qui la marquera au fer rouge.
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