Théorie et science de l'information

Ce poste s'intéressera, entre autres, à la théorie de Richard Dawkins, à la théorie du signe, à l'entropie, etc.

La science de l'information et la théorie de l'information sont deux disciplines distinctes, bien qu'elles partagent des points communs.

Science de l'information :
  • Domaine d'étude : La science de l'information s'intéresse à la collecte, à l'organisation, à la gestion, à la préservation, à la recherche et à la diffusion de l'information.
  • Applications : Elle englobe les bibliothèques, les archives, la gestion des données, les systèmes d'information, et la technologie de l'information.
  • Objectif : Améliorer la manière dont l'information est stockée, récupérée et utilisée par les personnes et les organisations.

Théorie de l'information :
  • Domaine d'étude : La théorie de l'information, fondée par Claude Shannon, est une branche des mathématiques et de l'ingénierie électrique qui étudie la quantification, le stockage et la communication de l'information.
  • Applications : Elle est utilisée dans les télécommunications, le codage de l'information, la compression des données, et la cryptographie.
  • Objectif : Comprendre et optimiser la transmission de l'information à travers divers canaux en minimisant les erreurs et la perte d'information.
En résumé, la science de l'information est axée sur la gestion pratique et l'utilisation de l'information, tandis que la théorie de l'information se concentre sur les principes mathématiques et techniques de la communication de l'information.
 

Le terme anglais meme est proposé en 1976 par Richard Dawkins dans Le Gène égoïste.
Le biologiste l'a créé par contraction du grec μίμησις / mímêsis (« imitation ») et de l'anglais genegène »).
Dawkins décide aussi de retenir ce néologisme pour sa ressemblance avec le mot français « même »

Dawkins présente les mèmes comme des réplicateurs, comparables à ce titre aux gènes, responsables de l'évolution de certains comportements animaux et des cultures. En son sens le plus courant, le mème est un élément culturel qui se reproduit et se transmet.

L'étude des mèmes a donné naissance à une nouvelle discipline : la mémétique.

Le mème est « un élément de langage reconnaissable et transmis par répétition d'un individu à d’autres »5.
La définition que donne Richard Dawkins correspond à une « unité d'information contenue dans un cerveau, échangeable au sein d'une société ». Elle résulte d'une hypothèse selon laquelle les cultures évolueraient comme les êtres vivants, par variations et sélection naturelle.

À l'instar du gène, le mème serait l'unité de base dans cette évolution.
Mème et mémétique sont analogues à gène et génétique, appliqués aux éléments des cultures et non aux individus biologiques.
Le mème serait l'unité cognitive échangeable, permettant la réplication au sein d'un milieu social de complexes mémiques, appelés mémotypes, dont les variations de structure constitueraient l'équivalent des mutations connues en biologie.

William Seward Burroughs parle de communication virale pour la diffusion de bouche-à-oreille d'information et de concepts.
Selon cette hypothèse, toute culture est constituée d'unités échangeables, qu'elle véhicule d'un individu à l'autre, et se maintient ainsi au travers du temps en subissant toutefois des variations.
Leur rôle peut être banal (par exemple : marque très connue…)
ou crucial pour la vie en société (par exemple : paradigme, protocole…).
Un mème peut être largement répandu car il tend à se diffuser par lui-même une fois franchie une masse critique d'utilisateurs du terme (percolation).

Une classification de ces différentes approches est apportée par les travaux de Pascal Jouxtel et la société francophone de mémétique :
  • l'idée abstraite individuelle : le mème logique, comme instruction, choix, éthique personnelle, règle de conduite, algorithme ;
  • l'idée abstraite collective : le mème symbolique, comme symbole, dogme, idéologie, valeur, lien communautaire ;
  • l'objet concret individuel : le mème neuronal, comme schéma neuronal électrochimique ;
  • l'objet concret collectif : le mème pratique, comme langage, organisation, trait culturel, convention, procédé, schéma fonctionnel.
 
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Un réplicateur est une entité capable de se reproduire à l'identique.
Ce terme a été médiatisé par Richard Dawkins, biologiste et éthologue, dans son célèbre livre Le Gène égoïste.

David Deutsch donne une définition du réplicateur :
« Un réplicateur fait que l'environnement dans lequel il se trouve en fabrique une copie ;
il contribue de façon causale à sa propre réplication
» 1.

Organismes vivants​

Richard Dawkins propose ce terme afin de clarifier le discours concernant les enjeux respectifs des êtres vivants et de leurs gènes dans la sélection naturelle. Les organismes vivants sont alors dénommés « véhicules », pour marquer leur caractère utilitaire, en opposition au caractère fondamental des gènes, qui sont les réplicateurs. Ce sont eux qui sont réellement soumis à la sélection naturelle, et susceptibles de poursuivre leur lignée d'existence ou non, par le jeu de la réplication du matériel génétique des êtres vivants.

La taille de cette unité de base au sein des êtres vivants est sujette à analyses et discussions :
à partir de quelle structure est-il possible de parler d'autonomie dans la réplication ?
Un codon, un gène, un chromosome, ou un génome ?

Premiers réplicateurs​

La question des premiers réplicateurs à l'origine des êtres vivants actuels est une question cruciale de la biologie de l'origine de la vie.
Graham Cairns-Smith propose une solution remontant au monde minéral, où les réplicateurs initiaux sont des feuillets d'argile.

Les ribozymes, capables de causer la réaction catalytique conduisant à leur formation,
et donc de véhiculer l'information codant leur propre réplication, sont parmi les réplicateurs les plus souvent proposés.

Réplicateurs moléculaires​

Les virus sont des entités capables de se répliquer mais ne sont pas rangés parmi les êtres vivants,
leur matériel réplicatif est cependant de même nature.

Les prions sont des réplicateurs dont l'information propagée concerne prioritairement la forme (repliement) de la protéine, mais non la synthèse de la molécule elle-même.

Autres formes​

Dans Le Gène égoïste, R. Dawkins propose un autre type de réplicateur que les gènes.
Il s'agit de réplicateurs dont le support n'est pas connu mais qui véhiculeraient de l'information au sein des populations d'êtres vivants, par la communication et l'imitation. Il s'agit des mèmes, nommés ainsi par analogie avec « gène ». Chez l'humain, notamment, les mèmes seraient les unités de base de la transmission de certains comportements et des croyances, étudiés par la mémétique.

Susan Blackmore a proposé le terme de tème, comme réplicateur technologique venant s'ajouter au gène et au mème.

Le terme de "réplicateur" a été repris dans la série télévisée Stargate SG-1 pour nommer des robots capables de se répliquer.
 
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L'idée derrière tout ce blabla est très simple : "tout n'est qu'une copie d'une copie avec de légères variations (ou altérations ou mutations)."

Toi-même, si tu prends le temps d'y penser, tu n'es que le fruit d'une reproduction qui agit par mimétisme et pourtant, bien que semblable, tu as des particularités qui te rendent unique. :)


Trop réfléchir ça peut conduire à la folie c pour ça que j'évite
 

La mémétique utilise le concept, dû à Richard Dawkins, de mème (élément de comportement transmis par imitation) pour étudier les évolutions de la culture dans une approche darwinienne étendue. Un des exemples les plus connus est le parallèle fait entre l'évolution du vivant et celle des langues.
On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés « mèmes », dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’humain, l’animal, la machine (tout support mémoriel).

Elle s'inscrit dans le mouvement du darwinisme étendu, qui est une application de la théorie de l'évolution à des domaines aussi variés que ceux de l'intelligence artificielle, des neurosciences, de la systémique, la psychologie ou la sociologie.
Par exemple, les chercheurs en intelligence artificielle utilisent l'algorithme génétique pour résoudre des problèmes d'ingénierie, en modélisant l'évolution de créatures mathématiques virtuelles.
En neurosciences, on considère peu à peu que l'apprentissage se base sur des mécanismes darwiniens au niveau des synapses.

Le mot mème, inspiré du latin mimeme, est introduit en 1976 par le Britannique Richard Dawkins dans son livre The Selfish Gene (Le Gène égoïste). Il est créé à partir de plusieurs idées ou concepts voisins :
  • mimesis (grec ancien) : imitation, similitude ;
  • mimeme (grec ancien): chose imitée ;
  • gene (« gène ») : unité de base de l'information génétique qui se transmet de génération en génération ;
  • même (adjectif français) : identique, sans différence ;
  • memory (« mémoire ») : capacité de retenir, conserver et rappeler les informations.
La mémétique applique à la culture humaine les concepts et modèles issus de la théorie de l'évolution (et spécialement de la génétique des populations). Elle essaye ainsi d'expliquer de nombreux phénomènes culturels, tels que :

  • La propagation des rumeurs, des modes ;
  • Les phénomènes d'adhésion à des mouvements culturels, idéologiques, politiques ou religieux ;
  • Les phénomènes de sélection, tels que l'autocensure, la charge cognitive, les décisions ;
  • Les phénomènes de variation : l'apparition de variantes culturelles, l'innovation, la création.
Les théoriciens les plus connus de la mimétique sont Aaron Lynch2, Howard Bloom et Susan Blackmore.

Howard Bloom utilise le terme de superorganisme dans un sens équivalent à memeplexe.


superorganisme (colonie fourmis ruche abeille )

https://www.youtube.com/watch?v=koWYYwIt0jM
https://www.youtube.com/watch?v=cDny3-AYmes
 
Un mème peut être largement répandu car il tend à se diffuser par lui-même une fois franchie une masse critique d'utilisateurs du terme (percolation).


La percolation (du latin percolare, « filtrer », « passer au travers ») désigne communément le passage d'un fluide à travers un milieu poreux ou fissuré plus ou moins perméable. Un exemple de la vie courante est celui de l'écoulement de l'eau au travers de la poudre de café moulu contenu dans le filtre d'une machine à café (d'où le nom de percolateur).

Ce terme a aussi un sens plus précis en physique et en mathématiques :
c'est un processus physique critique qui décrit, pour un système, une transition d'un état vers un autre.
C'est un phénomène de seuil associé à la transmission d'une « information » par le biais d'un réseau de sites et de liens qui peuvent, selon leur état, relayer ou non l'information aux sites voisins.

Broadbent et Hammersley en généralisent le sens à la transmission, ou non, d'une « information » par un réseau de sites et de liens.
Dans le cas particulier de la physique des fluides, l'information est le fluide (eau ou gaz), et les sites sont les pores du filtre qui relayent l'information s'ils ne sont pas bouchés.


La théorie des systèmes dynamiques et celle de la percolation convergent sur la notion de « fragilité » :
plus un système est fragile (c'est-à-dire qu'il peut subir des changements brusques d'un état à un autre),
plus il peut être assimilé à une structure poreuse, perméable et manquant de rigidité.
La percolation permet alors de juger du seuil critique de transformation de ce système.

En théorie des systèmes dynamiques, la percolation est donc le passage d'un système d'un état (ou une phase) vers un état inférieur et moins performant (entropie) ou supérieur et plus performant (auto-organisation, néguentropie).
Cette mutation se produit soit de façon soudaine et abrupte, soit en passant par une « phase de transition » plus ou moins indécise et plus ou moins chaotique ou au contraire peu active (stase).

granulométrie
 
répétition rapport au temps et à l'espace : rythme et cycle et leur composition
exemples; battement de cœur, respiration, vague, phare, jour et nuit etc ...


Le rythme est la caractéristique induite par la perception d'une structure qui se répète.
Le rythme est la notion de forme ou de « mouvement » que produit cette répétition sur la perception et l'entendement.
On reconnaît un même rythme dans des phénomènes de cadence, de périodicité différente, lorsque l'ordre de succession et le rapport de durée entre ses moments de tension et de relâchement est identique.
Ces moments sont souvent décrits aussi comme moments d’élévation (ou arsis) et d'abaissement (ou thésis).
On parle de rythme aussi bien pour les phénomènes naturels que pour les créations humaines.
...
L'apparence inconciliable des différentes définitions et approches du rythme ont conduit certains auteurs à conclure à l’impossibilité d’une définition large du rythme4.
Chacune des disciplines et chacun des courants de pensée privilégient des éléments particuliers,
parmi lesquels trois se retrouvent de façon récurrente :
la notion de périodicité,
celle de structure,
et enfin celle de variabilité (ou mouvement).

La musique est un art et une activité culturelle consistant à combiner sons et silences au cours du temps.
Les ingrédients principaux sont le rythme (façon de combiner les sons dans le temps),
la hauteur (combinaison dans les fréquences), les nuances et le timbre.

De nombreux travaux ethnomusicologiques ont mis en évidence, notamment dans le contexte culturel ouest et centre-Africain,
des perceptions de motifs rythmiques complexes et des principes de placement et d'interprétation des événements rythmiques différent de ceux de la musique occidentale.
Ces principes permettent notamment la détection d'une battue à des instants où il y a ou il n'y a pas d’événement sonore.
Mais la filiation de la psychoacoustique avec l'acoustique musicale européenne a éloigné les chercheurs et leurs institutions de l'exploration psychoacoustique des capacités à reconnaître un motif rythmique64, tandis que les études sur la reconnaissance d'un motif temporel sans rythme (c'est-à-dire sans battue), qui ont fait partie de la sélection des opérateurs en code Morse, sont à peu près oubliées65.
 
Le temps gouverne la musique comme il gouverne la perception du son :
depuis le micro-temps, qui est l'échelle de la vibration sonore car le son est une mise en vibration de l'air,
jusqu'à la forme musicale, construction dans un temps de l'écoute45.
Comme la forme musicale ne nous est révélée qu’au fur et à mesure,
chaque instant est en puissance un moment d’avenir, une projection dans l’inconnu.

C’est le sens du titre d’une œuvre d’Henri Dutilleux qui propose de nous plonger dans le “mystère de l’instant”.
Le théologien Suisse Hans Urs von Balthasar livre cette métaphore judicieusement musicale de la condition humaine :
Faites donc confiance au temps. Le temps c’est de la musique ; et le domaine d’où elle émane, c’est l’avenir.
Mesure après mesure, la symphonie s’engendre elle-même, naissant miraculeusement d’une réserve de durée inépuisable.
” 46


La musique est composée de plusieurs éléments fondamentaux qui interagissent pour créer une composition cohérente et expressive. Voici les principaux éléments :

  1. Rythme:
    • Le rythme est l'organisation des sons dans le temps. Il comprend la durée des notes, les accents, les temps forts et faibles, et la structure temporelle globale.
  2. Mélodie:
    • La mélodie est une succession de notes qui sont perçues comme une seule entité. Elle est souvent la partie la plus reconnaissable d'une pièce musicale.
  3. Harmonie:
    • L'harmonie concerne les accords et la façon dont ils se succèdent. Elle crée une profondeur sonore en combinant différentes notes jouées simultanément.
  4. Timbre(ou Couleur sonore) :
    • Le timbre est la qualité ou la couleur du son qui permet de distinguer différents instruments ou voix, même lorsqu'ils jouent la même note.
  5. Dynamique:
    • La dynamique fait référence aux variations de volume dans la musique, allant des sons très doux (piano) aux sons très forts (forte).
  6. Tempo:
    • Le tempo est la vitesse à laquelle une pièce de musique est jouée, généralement mesurée en battements par minute (BPM).
  7. Structure(ou Forme) :
    • La structure ou la forme d'une pièce musicale est l'organisation de ses différentes sections, comme les couplets, les refrains, les ponts, etc.
  8. Texture:
    • La texture décrit la manière dont les différentes lignes mélodiques et harmoniques s'interagissent. Elle peut être monophonique (une seule ligne mélodique), homophonique (une mélodie principale accompagnée d'accords) ou polyphonique (plusieurs lignes mélodiques indépendantes).
  9. Ton:
    • Le ton fait référence à la tonalité d'une pièce musicale, déterminée par la note de base (tonique) et la gamme utilisée. Cela influence le sentiment général de la musique (majeur pour joyeux, mineur pour triste).
Chacun de ces éléments contribue à l'expérience auditive globale et à l'émotion véhiculée par une œuvre musicale.
 

Les différents éléments de la musique s'agencent de manière complexe et interactive pour former une composition cohérente. Voici comment ils interagissent :

  1. Rythme et Tempo:
    • Le rythme et le tempo forment la base temporelle de la musique. Le rythme donne la structure en divisant le temps en intervalles réguliers ou irréguliers, tandis que le tempo détermine la vitesse à laquelle ces intervalles sont joués.
    • Par exemple, une chanson peut avoir un rythme régulier en 4/4 (quatre battements par mesure) avec un tempo rapide (120 BPM).
  2. Mélodie et Harmonie:
    • La mélodie est la ligne principale que l'oreille suit. Elle est soutenue par l'harmonie, qui enrichit la mélodie avec des accords.
    • Les accords harmonisent la mélodie en fournissant un contexte sonore, créant ainsi une progression harmonique qui donne une direction émotionnelle à la musique.
  3. Timbre:
    • Le timbre permet de différencier les instruments et les voix. Un même passage mélodique peut sonner très différemment selon les instruments utilisés.
    • Par exemple, une mélodie jouée au violon aura un timbre différent de celle jouée au piano, même si les notes et le rythme sont les mêmes.
  4. Dynamique:
    • Les dynamiques ajoutent de la variation en intensité sonore. Elles aident à créer des contrastes et à souligner certaines parties de la musique.
    • Une section peut commencer doucement (piano) et culminer en volume (forte), créant une progression dramatique.
  5. Structure:
    • La structure organise la musique en sections telles que couplets, refrains, ponts, etc. Chaque section a souvent des mélodies, harmonies et rythmes spécifiques.
    • Par exemple, dans une chanson pop typique, le couplet peut être suivi d'un refrain plus énergique, puis d'un pont qui offre une variation avant de revenir au refrain.
  6. Texture:
    • La texture peut varier de monophonique (une seule ligne mélodique) à polyphonique (plusieurs lignes mélodiques indépendantes). Cette variation crée une richesse sonore.
    • Par exemple, un chœur chantant en harmonie produit une texture polyphonique, tandis qu'un soliste chantant a cappella crée une texture monophonique.
  7. Ton:
    • La tonalité donne un cadre à la musique. Elle définit les notes et les accords qui seront utilisés, influençant ainsi l'émotion de la pièce.
    • Une chanson en tonalité majeure aura une sensation plus joyeuse, tandis qu'une en tonalité mineure aura une sensation plus mélancolique.
Exemple d'agencement : Prenons une chanson pop standard :

  • Introduction : Un court passage instrumental avec un rythme en 4/4 et un tempo modéré, présentant la tonalité principale (par exemple, Do majeur).
  • Couplet : Une mélodie vocale avec des paroles, soutenue par des accords de guitare (harmonie). Le rythme reste constant, mais la dynamique est plus douce.
  • Refrain : La mélodie devient plus énergique, les accords sont plus riches, la dynamique augmente (forte), et des harmonies vocales ajoutent une texture polyphonique.
  • Pont : Une section contrastante avec une mélodie différente, peut-être dans une tonalité relative, introduisant une nouvelle texture sonore (par exemple, un solo de guitare).
  • Refrain final : Retour au refrain avec une dynamique encore plus forte, des harmonies et des rythmes accentués pour une conclusion puissante.
Ces éléments, bien qu'expliqués séparément, sont en constante interaction et évolution tout au long de la pièce, créant ainsi une œuvre musicale riche et variée.
 
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Vibration écho (watchmen)
Cymatique résonance arabesque mosaïque

Une grande quantité de perception, donc d'informations, nous est consciemment inaccessible pour diverses raisons.
Pour y avoir accès, cela demande une certaine sensibilisation pour préparer le cerveau à les recevoir.
Par exemple, décoder les différents niveaux de mémoire, de langage, sémiotique, image, archétype, etc.

Autrement, cela donne de mauvaises interprétations, comme dans le cas de certaines formes de schizophrénie ou de rêves.

Toutes les informations qui sont autour de nous, et que la transe permet de voir, de capter, sont filtrées par le cerveau.
Le cerveau peut traiter 10 milliards de bits d'information par seconde,
le corps peut en traiter 10 millions
,
et la pensée consciente 16 bits par seconde, soit très peu d'informations.
Le cerveau filtre tout le reste sinon on deviendrait fou !
Pendant la transe, la bande passante de la pensée consciente nous permet d'accéder à toutes ces informations, qui sont "autour" de nous.
(Corinne Sombrun, INREES)
À noter que la méditation, ou d'autres techniques de relaxation et de développement personnel, permettent aussi de capter ces informations.

signaux sinuosidal et dimension (bruit parasite balayage)
 
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apophenie : apocalypse : GEN : procéder de superposition et condensation : signe : cache et montre à la fois


watchmen the cell
 
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