• Le représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, a effectué une visite à Laâyoune et Smara où il a rencontré des élus et des chioukhs des tribus sahraouies et des acteurs associatifs.
• La population sahraouie a réaffirmé au responsable onusien son attachement à l'initiative marocaine d'autonomie en tant que solution réaliste jouissant du soutien international et garantissant la dignité, la liberté et les droits de la population sahraouie.
Une ferveur et une mobilisation de tous les instants caractérisent la vie quotidienne dans les Provinces du Sud.
Des élus, des chioukhs des tribus sahraouies et des acteurs de la société civile ont réitéré à Laâyoune, comme à Smara, leur attachement indéfectible à la mère patrie et leur adhésion totale au plan de règlement proposé par le Maroc et qui consiste à offrir une large autonomie aux provinces du Sud, sous souveraineté marocaine. En effet, lors d'une rencontre avec l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, ils ont insisté sur le fait que le plan d'autonomie constituait la solution idoine et unique à la question du Sahara, précisant que la souveraineté du Royaume sur ses provinces du Sud ne peut en aucun cas faire l’objet d’un quelconque chantage.Tout en rappelant les liens historiques et d’allégeance liant la population du Sahara au Trône alaouite, les élus ont souligné que tous les représentants de la population sahraouie avaient été associés à l'élaboration de l'initiative d'autonomie, à travers le Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas) et les chibouks des tribus sahraouies. «Nous avons informé M. Ross que le plan d'autonomie constitue une solution satisfaisante pour toutes les parties et que nous avons notre mot à dire, en tant qu'élus, dans la résolution de ce conflit», a précisé le président du Conseil provincial de Smara, Mohamed Salem Lbihi, dans une déclaration à la presse, exprimant son espoir que M. Ross parviendra à persuader l'autre partie de mettre fin aux allégations qu'elle ne cesse de faire circuler. M. Lbihi a souligné qu'au moment où les provinces du Sud jouissent du développement, de la stabilité et de la sécurité, les séquestrés dans les camps de Tindouf souffrent de traitements inhumains, appelant à trouver, dans les plus brefs délais, une solution définitive à la question du Sahara.
Pour sa part, Mohamed Saleh Ould Sidi Al Alem Al-Idrissi, un des chioukhs des tribus de Smara, a indiqué que le plan d'autonomie était la seule et unique solution au problème du Sahara marocain qui vit au rythme de plusieurs projets structurants, sur les plans économique, social et urbanistique. D’ailleurs, la rencontre avec M. Ross a été marquée par la présentation d'un exposé sur les réalisations et les projets de développement de la province de Smara.
Lematin
• La population sahraouie a réaffirmé au responsable onusien son attachement à l'initiative marocaine d'autonomie en tant que solution réaliste jouissant du soutien international et garantissant la dignité, la liberté et les droits de la population sahraouie.
Une ferveur et une mobilisation de tous les instants caractérisent la vie quotidienne dans les Provinces du Sud.
Des élus, des chioukhs des tribus sahraouies et des acteurs de la société civile ont réitéré à Laâyoune, comme à Smara, leur attachement indéfectible à la mère patrie et leur adhésion totale au plan de règlement proposé par le Maroc et qui consiste à offrir une large autonomie aux provinces du Sud, sous souveraineté marocaine. En effet, lors d'une rencontre avec l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, ils ont insisté sur le fait que le plan d'autonomie constituait la solution idoine et unique à la question du Sahara, précisant que la souveraineté du Royaume sur ses provinces du Sud ne peut en aucun cas faire l’objet d’un quelconque chantage.Tout en rappelant les liens historiques et d’allégeance liant la population du Sahara au Trône alaouite, les élus ont souligné que tous les représentants de la population sahraouie avaient été associés à l'élaboration de l'initiative d'autonomie, à travers le Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas) et les chibouks des tribus sahraouies. «Nous avons informé M. Ross que le plan d'autonomie constitue une solution satisfaisante pour toutes les parties et que nous avons notre mot à dire, en tant qu'élus, dans la résolution de ce conflit», a précisé le président du Conseil provincial de Smara, Mohamed Salem Lbihi, dans une déclaration à la presse, exprimant son espoir que M. Ross parviendra à persuader l'autre partie de mettre fin aux allégations qu'elle ne cesse de faire circuler. M. Lbihi a souligné qu'au moment où les provinces du Sud jouissent du développement, de la stabilité et de la sécurité, les séquestrés dans les camps de Tindouf souffrent de traitements inhumains, appelant à trouver, dans les plus brefs délais, une solution définitive à la question du Sahara.
Pour sa part, Mohamed Saleh Ould Sidi Al Alem Al-Idrissi, un des chioukhs des tribus de Smara, a indiqué que le plan d'autonomie était la seule et unique solution au problème du Sahara marocain qui vit au rythme de plusieurs projets structurants, sur les plans économique, social et urbanistique. D’ailleurs, la rencontre avec M. Ross a été marquée par la présentation d'un exposé sur les réalisations et les projets de développement de la province de Smara.
Lematin