traducteur
- Initiateur de la discussion mecos
- Date de début
je ne pense pas qu'un logiciel puisse traduire corrrectement un texte,qui en plus est compliqué....rien ne remplace la qualité d'une traduction humaine...
pourquoi ne mets tu pas ton texte sur ce post...peut etre que quelqu'un le fera,et tu feras le tri par la suite...bon courage
pourquoi ne mets tu pas ton texte sur ce post...peut etre que quelqu'un le fera,et tu feras le tri par la suite...bon courage
ok merci
voila le texte:
Sida le signal qu’on peut bloquer.
Pour accomplir son destin, un micro-organisme parasite doit se doter d’armes spécifiques, qui copient ou qui détournent de leur action normale les armes cellulaires de l’organisme à envahir. Ainsi, pour attaquer l’homme, le virus du sida paralyse le système immunitaire en s’attaquant à certains globules blancs, les lymphocytes T4, fer de lance de notre défense immunitaire face aux infections ou aux agressions externes. Les lymphocytes T4 portent à leur surface une protéine appelée CD4, qui leur sert de « serrure pour se protéger des agresseurs et communiquer avec les autres acteurs du système innumitaire.
David klatzmann a montré en 1984 que le virus du sida détourne à son profit et utilise précisément cette serrure du CD4 pour reconnaître le lymphocyte T4, sa cible de choix. En 1985, le pr richard axel, à new york, élucide la structure dudit CD4. la clé du virus, c’est sa protéine d’enveloppe , la glycoprotéine 120 ( ou GP 120) , qui s’adapte parfaitement, au CD4 de lymphocyte.
Quand la clé est dans la serrure la membrane du lymphocyte s’ouvre et le virus glisse son message génétique, son ADN, dans le cytoplasme de la cellule humaine. Mais ce n’est que toute première étape : il lui faut ensuite faire parvenir d’autres messages au noyau du lymphocyte pour que son ADN se mette en action, afin de l’aider à se répliquer.
mercii
voila le texte:
Sida le signal qu’on peut bloquer.
Pour accomplir son destin, un micro-organisme parasite doit se doter d’armes spécifiques, qui copient ou qui détournent de leur action normale les armes cellulaires de l’organisme à envahir. Ainsi, pour attaquer l’homme, le virus du sida paralyse le système immunitaire en s’attaquant à certains globules blancs, les lymphocytes T4, fer de lance de notre défense immunitaire face aux infections ou aux agressions externes. Les lymphocytes T4 portent à leur surface une protéine appelée CD4, qui leur sert de « serrure pour se protéger des agresseurs et communiquer avec les autres acteurs du système innumitaire.
David klatzmann a montré en 1984 que le virus du sida détourne à son profit et utilise précisément cette serrure du CD4 pour reconnaître le lymphocyte T4, sa cible de choix. En 1985, le pr richard axel, à new york, élucide la structure dudit CD4. la clé du virus, c’est sa protéine d’enveloppe , la glycoprotéine 120 ( ou GP 120) , qui s’adapte parfaitement, au CD4 de lymphocyte.
Quand la clé est dans la serrure la membrane du lymphocyte s’ouvre et le virus glisse son message génétique, son ADN, dans le cytoplasme de la cellule humaine. Mais ce n’est que toute première étape : il lui faut ensuite faire parvenir d’autres messages au noyau du lymphocyte pour que son ADN se mette en action, afin de l’aider à se répliquer.
mercii
Sridina
Bis repetita
Sridina
Bis repetita
Je t'en prie. Il y a sûrement des personnes sur ce site qui se donneront une joie à t'aider.
J'ai envoyé un mp au doc du site 