Amine
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Trithérapies anti-VIH : vers des semaines de 4 jours de traitement ?
Une équipe de lhôpital Raymond Poincaré de Garches vient de montrer quune trithérapie basée sur quatre, trois voire deux jours de traitement anti-VIH permettrait un contrôle de la maladie en dessous des seuils de détection du virus.
Prendre son traitement antirétroviral non pas tous les jours mais seulement 4, 3 ou même 2 fois par semaine à raison de 2 à 4 pilules par jour, avec un VIH toujours sous contrôle, en dessous des seuils de détection... Cette nouvelle modalité de traitement a été testée chez une cinquantaine de patients pendant une moyenne de trois ans et demi dans le service du Dr Jacques Leibowitch à lhôpital Raymond Poincaré de Garches. Publiés fin janvier dans la revue FASEB, ces résultats montrent quune stratégie thérapeutique intermittente est envisageable pour traiter les patients infectés par le VIH.
Ladoption dune telle stratégie, permettrait un répit et une toxicité réduite pour les patients ainsi que des économies substantielles pour lassurance maladie. De nouveaux résultats menés sur un plus grand nombre patients seront nécessaires avant denvisager la généralisation de ces nouvelles modalités de traitement.
Une équipe de lhôpital Raymond Poincaré de Garches vient de montrer quune trithérapie basée sur quatre, trois voire deux jours de traitement anti-VIH permettrait un contrôle de la maladie en dessous des seuils de détection du virus.
Prendre son traitement antirétroviral non pas tous les jours mais seulement 4, 3 ou même 2 fois par semaine à raison de 2 à 4 pilules par jour, avec un VIH toujours sous contrôle, en dessous des seuils de détection... Cette nouvelle modalité de traitement a été testée chez une cinquantaine de patients pendant une moyenne de trois ans et demi dans le service du Dr Jacques Leibowitch à lhôpital Raymond Poincaré de Garches. Publiés fin janvier dans la revue FASEB, ces résultats montrent quune stratégie thérapeutique intermittente est envisageable pour traiter les patients infectés par le VIH.
Ladoption dune telle stratégie, permettrait un répit et une toxicité réduite pour les patients ainsi que des économies substantielles pour lassurance maladie. De nouveaux résultats menés sur un plus grand nombre patients seront nécessaires avant denvisager la généralisation de ces nouvelles modalités de traitement.