Nous sommes à l'aéroport Mohammed V en ce dimanche après-midi. Des voyageurs venus des quatre coins du monde se retrouvent au Terminal 2.
Le mouvement des rares voyageurs est régulier, mais on ne sent pas encore la grande pression des vacances. Devant une des ceintures des bagages, ce sont les passagers du vol national AT672 qui attendent leurs bagages venant de Ouarzazate. Moins de dix voyageurs récupèrent leurs sacs puis la ceinture s'arrête. Il n'y a plus rien. Les autres attendent, mais en vain. Révoltés, certains commencent à taper sur la ceinture pour attirer l'attention des responsables qui, eux, semblent indifférents au problème tandis que d'autres vont à la recherche des explications. Car ici, la communication n'existe pas et c'est au passager d'aller chercher les responsables et leur demander des explications. Après 30 minutes d'attente, on finit par connaître l'origine du problème. «Les bagages sont restés à Ouarzazate pour ne pas surcharger l'appareil», lance froidement un responsable sur place. http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=112&id=115578
Le mouvement des rares voyageurs est régulier, mais on ne sent pas encore la grande pression des vacances. Devant une des ceintures des bagages, ce sont les passagers du vol national AT672 qui attendent leurs bagages venant de Ouarzazate. Moins de dix voyageurs récupèrent leurs sacs puis la ceinture s'arrête. Il n'y a plus rien. Les autres attendent, mais en vain. Révoltés, certains commencent à taper sur la ceinture pour attirer l'attention des responsables qui, eux, semblent indifférents au problème tandis que d'autres vont à la recherche des explications. Car ici, la communication n'existe pas et c'est au passager d'aller chercher les responsables et leur demander des explications. Après 30 minutes d'attente, on finit par connaître l'origine du problème. «Les bagages sont restés à Ouarzazate pour ne pas surcharger l'appareil», lance froidement un responsable sur place. http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=112&id=115578