Trouver un job à l’étranger : les premières démarches

Décrocher un job d’été à l’étranger

Avant de vous lancer dans la recherche d’un job à l’étranger, posez-vous quelques questions : qu’attendez-vous de cette expérience ? Quels types de jobs voulez-vous effectuer ? Avez-vous un pays de prédilection ? Concernant ce dernier point, certains éléments sont à prendre en compte.

Un pays avec lequel vous avez des affinités

Ce bilan personnel est essentiel. Sur vos compétences linguistiques par exemple, sachez que si vous visez un job qui exige un contact avec le public, un très bon niveau dans la langue du pays vous sera demandé. Le choix du pays est capital. La langue, la culture, les relations de travail et personnelles, le style de vie... constituent autant de facteurs d’intégration à prendre en compte pour choisir sa destination.

Décrocher un job d’été s’avère plus facile en Europe

Sachez d’ores et déjà qu’il est généralement moins compliqué de trouver un job dans un pays de l’Union européenne. En effet, pour un job d’été de moins de 3 mois dans l’Union européenne, une carte d’identité ou un passeport valide suffisent. Au-delà, vous devrez demander une carte de séjour de ressortissant d’un Etat membre de l’Union européenne auprès des administrations du pays dans lequel vous séjournez.


Pour travailler dans un pays hors de l’Union européenne, il vous faudra un visa de travail parfois difficile à obtenir. Si vous désirez partir aux Etats-Unis par exemple, vous aurez besoin d’un visa J-1 qui vous sera délivré par un organisme agréé par l’Ambassade des Etats-Unis.

Un bon plan : le visa "vacances travail"

Peu connu des étudiants qui souhaitent exercer un job à l’étranger, le visa "vacances travail" vous offre l’opportunité de partir en Australie, au Japon, en Nouvelle-Zélande et au Canada. Il permet en effet aux ressortissants des deux Etats de séjourner, à titre individuel, dans l’autre Etat signataire afin d’y passer des vacances, tout en travaillant pour compléter leurs moyens financiers. Il s’adresse aux 18-30 ans (35 ans pour le Canada) et est valable un an.

Ce visa est gratuit mais vous devrez néanmoins justifier de ressources financières pour pouvoir subvenir à vos besoins au début du séjour. Pour demander ce visa, vous devez vous renseigner auprès des ambassades des pays concernés. Vous trouverez aussi des informations sur le programme ainsi que les dossiers de demande de visa sur leurs sites Internet.


Une fois que vous aurez posé à plat toutes ces questions et que vous aurez choisi votre destination, vous allez pouvoir vous lancer dans la recherche d’un job. Internet, associations, organismes... : plusieurs moyens sont possibles pour mener à bien vos recherches.
 
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French Morning et Le Point s’associent pour lancer le hors série “Vivre New York” ,

Un guide de la ville par les talentueux journalistes de la rédaction de French Morning, qui… vivent New York, ses joies et ses peines, depuis des années.
Sur près de 150 pages d’articles pratiques et de reportages, il vous donne les clefs pour “travailler”, “s’installer” et vivre à New York au quotidien. Le tout dans le style informatif et piquant qui fait le ton de French Morning.
Apprenez notamment comment venir étudier à New York, décrocher un visa O d’artiste et travailler dans un environnement américain, comment rencontrer l’amour le vrai dans la ville du “dating” ou encore trouver le quartier qui vous correspond à travers des profils des quartiers new-yorkais. Bref, c’est le compagnon indispensable de tout futur New-Yorkais, ou du Français de New York arrivé il y a trois jours ou 30 ans.

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C'est une très bonne chose le VIE, mais c'est très difficile d'être sélectionné

C'est vrai. Mais ça reste le meilleur moyen de commencer une carrière en expat', rares sont les entreprises qui aujourd'hui vont recruter un(e) jeune français(e) pour l'envoyer au casse-pipe d'entrée. J'ai pas les statistiques exactes mais il doit y avoir des milliers de jeunes en VIE en ce moment même, ce n'est pas si impossible que ça avec une volonté forte ;)
 
C'est vrai. Mais ça reste le meilleur moyen de commencer une carrière en expat', rares sont les entreprises qui aujourd'hui vont recruter un(e) jeune français(e) pour l'envoyer au casse-pipe d'entrée. J'ai pas les statistiques exactes mais il doit y avoir des milliers de jeunes en VIE en ce moment même, ce n'est pas si impossible que ça avec une volonté forte ;)

Ah mais je remets absolument pas en cause l'utilité de la chose, c'est vraiment un truc énorme le VIE, rien à dire là dessus

J'essaierai d'en faire un c'est sûr, mais je mise pas tout dessus car je sais que c'est vraiment pas facile d'en décrocher un
 
Ah mais je remets absolument pas en cause l'utilité de la chose, c'est vraiment un truc énorme le VIE, rien à dire là dessus

J'essaierai d'en faire un c'est sûr, mais je mise pas tout dessus car je sais que c'est vraiment pas facile d'en décrocher un

Comme dirait l'autre: "mon fils, tu n'as aucune chance... alors saisis-la!" ;)
 
C'est vrai. Mais ça reste le meilleur moyen de commencer une carrière en expat', rares sont les entreprises qui aujourd'hui vont recruter un(e) jeune français(e) pour l'envoyer au casse-pipe d'entrée. J'ai pas les statistiques exactes mais il doit y avoir des milliers de jeunes en VIE en ce moment même, ce n'est pas si impossible que ça avec une volonté forte ;)

A l'époque, j'avais eu une info d'un gars qui bossait chez ubifrance, en 2007, il y avait 40000 candidats pour 700 offres de mémoires.
Pas facile mais le meilleur moyen pour décrocher un job à l'étranger.
Car après, à part partir et créer sa boite, c'est difficile.
L'âge d'or des expatriations (opportunités dans la filiale à l'étranger) est dépassé.
Sans compter tous les pays qui ont pour règle d'embaucher en priorité un local à compétences égales.
 
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