La difficulté pour un parent issu dune minorité spirituelle, désireux de transmettre tôt et efficacement lhéritage religieux est de faire en sorte que ce dernier ne trouble lenfant au point de lamener à se sentir obligé dentrer en conflit permanent avec les tenanciers de sa deuxième maison où enseignement contradictoire lui sera immanquablement proposé.
Tenu par un règlement quil pense naïvement élastique ou au mieux assujetti au bon sens du corps professoral, le géniteur qui ne voit nul souci à ce que lon parle du christ à son double miniaturisé se retrouve malgré lui soumis à divers questionnements quil navait prévus et assiste stupéfait, quant la guigne saccroche à lui, à une inédite gestuelle au début du partage du repas de famille.
La panique voir la colère, face à une progéniture qui semble échappé plus tôt que prévu, amène à trancher dans le vif et à porter la contradiction sur le terrain conflictuel : "fais comme je tai dis à lécole, on ta raconté des conneries".
Lidéal eut été de contredire sans avoir lair dy toucher afin de lui éviter tout désir de porter la bonne nouvelle à ceux qui lont si mal renseigné.
Pas plus tard que ce matin, remontrance fut faite, à une fillette qui envoyait les 3/4 de sa classe en enfer. C'est bête, son intéressante thèse n'est validée par aucun règlement intérieur. J'ignore encore comment cette affaire sera gérée , j'espère juste que parmi les têtes pensantes chargées de gérées le dossier, il s'en trouvera au moins une pour comprendre, que l'avis tranchée de l'enfant illustre avant tout, la tentative maladroite de vouloir la protéger d'un extérieur jugé envahissant par les parents.
Tenu par un règlement quil pense naïvement élastique ou au mieux assujetti au bon sens du corps professoral, le géniteur qui ne voit nul souci à ce que lon parle du christ à son double miniaturisé se retrouve malgré lui soumis à divers questionnements quil navait prévus et assiste stupéfait, quant la guigne saccroche à lui, à une inédite gestuelle au début du partage du repas de famille.
La panique voir la colère, face à une progéniture qui semble échappé plus tôt que prévu, amène à trancher dans le vif et à porter la contradiction sur le terrain conflictuel : "fais comme je tai dis à lécole, on ta raconté des conneries".
Lidéal eut été de contredire sans avoir lair dy toucher afin de lui éviter tout désir de porter la bonne nouvelle à ceux qui lont si mal renseigné.
Pas plus tard que ce matin, remontrance fut faite, à une fillette qui envoyait les 3/4 de sa classe en enfer. C'est bête, son intéressante thèse n'est validée par aucun règlement intérieur. J'ignore encore comment cette affaire sera gérée , j'espère juste que parmi les têtes pensantes chargées de gérées le dossier, il s'en trouvera au moins une pour comprendre, que l'avis tranchée de l'enfant illustre avant tout, la tentative maladroite de vouloir la protéger d'un extérieur jugé envahissant par les parents.