“Tunisiens en révolte à Lampedusa, de nombreux blessés”

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Moravec
  • Date de début Date de début
"Tunisiens en révolte à Lampedusa, de nombreux blessés”

Les insulaires font la chasse aux immigrés
Les extracommunautaires menacent de faire sauter une station service, les habitants tentent de les lyncher
15:30 – La tension monte entre les immigrants et les citoyens à Lampedusa. Un groupe de Tunisiens a volé du centre d’accueil quelques bonbonnes de gaz rares et les ont porté près d’une pompe à essence sur le vieux port, menaçant de les faire exploser. L’intervention de la police et des gendarmes a été nécessaire pour disperser la foule furieuse, qui a tentée de lyncher les immigrés. C’est la chasse aux tunisiens dans les rues de l’ile. 10 personnes blessées.

Presque tous les Tunisiens sont retournés dans le centre d’accueil
Les tunisiens sont quasiment tous retournés au centre d’accueil à Lampedusa. Les immigrants, expliquent certains agents sont retournés à l’APC de leur propre initiative, probablement préoccupé aussi par l’attitude hostile de beaucoup de Lampedusiens.

Chasse au tunisien dans les rues de l’ile
Des patrouilles de citoyens de Lampedusa sillonnent l’ile à la recherche de tunisiens après les affrontements de ce matin. La tension est grande dans les rues, tandis que les touristes bronzent sur les plages. Un Lampedusien a frappé un tunisien dans le fond de la rue de Rome, sous les yeux des policiers en tenue anti-émeute qui sont intervenus immédiatement, embarquant l’immigré dans le fourgon de Lampedusa Accueil.

Des tunisiens menacés de lynchage
La garde des finances a chargé sur un fourgon les 6 tunisiens resté bloqués dans la station service où ils avaient menacés de faire exploser des bonbonnes de gaz et où est survenu le combat à base de lancers de pierre avec quelques habitants de l’ile. Les Lampedusiens ont aussi tenté de lyncher les immigrés. Dans la station service la tension reste élevée, les gens contraignent les journalistes à s’éloigner.
Graves affrontements entre la police et les immigrants

Clash entre la police anti-émeute et les immigrants qui étaient accueillis au centre d’accueil de l’île, où, hier, un incendie a éclaté. De la structure en brique proche de la station service de l’ile, on peut voir les immigrés se faire frapper à coup de matraques par des agents et qui chutent d’environ 3 mètres de haut.

Des Lampedusiens agressent un tunisien
Deux jeunes se sont approchés d’un tunisien et l’on frappé. Les policiers sont intervenus immédiatement et ont protégé l’immigré. « Vous devez vous barrer, batards – hurlent les lampedusiens aux tunisiens – vous avez ruiné l’ile. On ne veut plus de vous ». En attendant, le groupe de Tunisiens qui avaient voler les bonbonnes de gaz est encore sous surveillance étroite pour éviter que les lampedusiens puissent les agresse. Certains d’eux ont des blessures sur le visage.

Les maitres ferment les écoles
Le principal de l’école de Lampedusa, après avoir discuté avec le maire, a fermé la grille et demandé aux enseignants de surveiller les élèves et au personnel de contrôler les accès. La décision a été prise suite aux affrontements entre tunisiens, forces de l’ordre et lampedusiens de ce matin. Les gens ont peur et craignent que les immigrés qui zonent dans l’ile puissent s’en prendre aux bébés et aux enfants.
 
Le Maire se barricade chez lui avec une batte de base-ball
le maire de Lampedusa, Dino De Rubeis, est barricadé dans sa chambre et escorté par trois officiers de police, depuis que ce matin, trois lampedusiens ont tenté de l’agresser, lui reprochant d’être trop souple sur les questions de l’immigration. Dans un tiroir de son bureau, De Rubeis garde une batte de baseball. “Je dois me défendre et je suis prêt à en faire l’usage, vous pouvez l’écrire», dit-il. “Nous sommes face à un scénario de guerre, – il ajoute – l’état doit immédiatement envoyer des hélicoptères pour transférer les tunisiens qui errent dans l’île après avoir incendié le centre d’accueil.” Devant la mairie, il ya des dizaines de personnes, certains critiquent le maire, d’autres crient contre les immigrés.

Chasse aux journalistes.
C’est quasiment une chasse aux journaliste a Lampedusa…..la foule éructent contre les journalistes. « Partez, c’est mieux pour vous » a hurlé d’un ton menaçant un groupe d’une trentaine de personnes de Lampedusa. Les chroniqueurs ont été encerclés et contraints à partir. « On ne veut pas de vous, dégagez » hurlent-ils.

http://www.tgcom.mediaset.it/cronac...sullisola-scatta-la-caccia-allimmigrato.shtml
 
Retour
Haut