La France et le Royaume-Uni, ainsi que d'autres pays Européens tels que l'Italie et l'Allemagne, souhaitent aider le nouveau président américain, Barack Obama, à négocier avec l'Iran à propos de son programme nucléaire controversé.
Depuis ces dernières semaines, ce groupe de pays européens multiplie les démarches pour renforcer les sanctions contre la république islamique. Il s'agit d'accompagner la stratégie d'ouverture du président Obama avec l'Iran par des moyens de pressions accrus.
Les secteurs énergétique et bancaire sont dans la ligne de mire de Paris et de Londres. L'Iran peine à trouver des investisseurs pour moderniser son infrastructure énergétique, qui souffre déjà de la baisse du prix du pétrole.
Il s'agirait de l'empêcher de se procurer certains équipements et technologies destinés à son industrie pétrolière, génératrice d'une grande partie de revenus pour le pays.
Les banques iraniennes Saderat et Mellat sont aussi visées. Déjà sous le coup de sanctions unilatérales américaines, l'UE souhaite interdire leurs activités bancaires sur son territoire.
Vendredi 16 janvier, le président français Nicolas Sarkozy s'était inquiété des « progrès rapides et préoccupants du programme d'enrichissement (d'uranium) iranien » et avait annoncé la couleur : « chacun sait que [ce programme] n'a aucune finalité civile ».
Depuis ces dernières semaines, ce groupe de pays européens multiplie les démarches pour renforcer les sanctions contre la république islamique. Il s'agit d'accompagner la stratégie d'ouverture du président Obama avec l'Iran par des moyens de pressions accrus.
Les secteurs énergétique et bancaire sont dans la ligne de mire de Paris et de Londres. L'Iran peine à trouver des investisseurs pour moderniser son infrastructure énergétique, qui souffre déjà de la baisse du prix du pétrole.
Il s'agirait de l'empêcher de se procurer certains équipements et technologies destinés à son industrie pétrolière, génératrice d'une grande partie de revenus pour le pays.
Les banques iraniennes Saderat et Mellat sont aussi visées. Déjà sous le coup de sanctions unilatérales américaines, l'UE souhaite interdire leurs activités bancaires sur son territoire.
Vendredi 16 janvier, le président français Nicolas Sarkozy s'était inquiété des « progrès rapides et préoccupants du programme d'enrichissement (d'uranium) iranien » et avait annoncé la couleur : « chacun sait que [ce programme] n'a aucune finalité civile ».