Alors que de nombreux réfugiés ukrainiens arrivent dans notre pays, certains en profitent à leurs dépens.
Il y a dix jours, l’inspection du travail et la police d’Anvers sont tombés sur une scène surprenante. Dans une boucherie juive, trois femmes réfugiées ukrainiennes travaillaient à l’étage de l’établissement. Elles étaient cachées, en haut d’un escalier derrière une porte verrouillée, selon les inspecteurs. Nos confrères du Morgen indiquent que deux de ces femmes travailleraient pour un salaire de sept euros de l’heure. Leur tâche serait de couper des fruits et légumes.
Exploitation sexuelle et économique: des réfugiés ukrainiens déjà victimes de Belges malhonnêtes - Metrotime
Certains Belges profitent de la vulnérabilité des réfugiés ukrainiens pour les exploiter.
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Un abri en échange de sexe et un emploi illégal dans une boucherie: les réfugiés ukrainiens sont déjà exploités en Belgique
Alors que de nombreux réfugiés ukrainiens arrivent dans notre pays, certains en profitent à leurs dépens.
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