salam
La restauration de la vieille mosquée, la construction dun centre dinformations touristiques, la création de centres socioéducatifs et de terrains de sports de proximité, le démarrage des travaux de construction détablissements scolaires primaires et secondaires, la construction dune gare routière et dun marché hebdomadaire, la mise à niveau de la voirie urbaine et de lassainissement liquide des différents quartiers de la ville, tels sont les signes perceptibles dune ville qui se développe.
Il y a encore moins de quatre ans, Smara, appelée pompeusement, capitale spirituelle du Sahara, nétait quune bourgade hostile où le visiteur le plus téméraire ne pouvait prétendre rester au-delà de quelques heures, tant les moyens les plus élémentaires étaient inexistants.
Aujourdhui, à lentrée nord de la ville, le visiteur est surpris par la ceinture verte destinée à protéger la ville des vents de sable qui la menaçaient. Cette ceinture verte en plein désert donne limpression dêtre, subitement passé dans un autre univers.
A côté du poste de police habituel et commun à toutes les villes frontalières, un centre dinformations touristiques, le premier du genre dans les provinces du Sud, indique les lieux susceptibles dintéresser le visiteur ainsi que les possibilités dhébergement dans cette ville où les infrastructures daccueil et dhébergement continuent de préocuper les responsables locaux qui tentent dattirer les investisseurs dans ce secteur.
La création dune Faculté dans la ville de Smara est un autre atout qui sajoute aux réalisations accomplies.
Si à Laâyoune, il a été décidé de créer une école supérieure technique, la Faculté de la Chariaâ ne peut avoir sa place que dans la capitale spirituelle et culturelle des provinces sahariennes.
http://www.libe.ma/Un-chantier-de-plus-Smara-aura-sa-Faculte-de-la-chariaa_a28920.html
La restauration de la vieille mosquée, la construction dun centre dinformations touristiques, la création de centres socioéducatifs et de terrains de sports de proximité, le démarrage des travaux de construction détablissements scolaires primaires et secondaires, la construction dune gare routière et dun marché hebdomadaire, la mise à niveau de la voirie urbaine et de lassainissement liquide des différents quartiers de la ville, tels sont les signes perceptibles dune ville qui se développe.
Il y a encore moins de quatre ans, Smara, appelée pompeusement, capitale spirituelle du Sahara, nétait quune bourgade hostile où le visiteur le plus téméraire ne pouvait prétendre rester au-delà de quelques heures, tant les moyens les plus élémentaires étaient inexistants.
Aujourdhui, à lentrée nord de la ville, le visiteur est surpris par la ceinture verte destinée à protéger la ville des vents de sable qui la menaçaient. Cette ceinture verte en plein désert donne limpression dêtre, subitement passé dans un autre univers.
A côté du poste de police habituel et commun à toutes les villes frontalières, un centre dinformations touristiques, le premier du genre dans les provinces du Sud, indique les lieux susceptibles dintéresser le visiteur ainsi que les possibilités dhébergement dans cette ville où les infrastructures daccueil et dhébergement continuent de préocuper les responsables locaux qui tentent dattirer les investisseurs dans ce secteur.
La création dune Faculté dans la ville de Smara est un autre atout qui sajoute aux réalisations accomplies.
Si à Laâyoune, il a été décidé de créer une école supérieure technique, la Faculté de la Chariaâ ne peut avoir sa place que dans la capitale spirituelle et culturelle des provinces sahariennes.
http://www.libe.ma/Un-chantier-de-plus-Smara-aura-sa-Faculte-de-la-chariaa_a28920.html