Un couple de policiers jugés pour avoir escroqué le ministère de la Justice

L’affaire est peu banale : un couple de policiers est face à la justice mardi 18 juin pour une affaire d'escroquerie La victime n'est autre que le ministère de la Justice. Leur petit manège est passé inaperçu, jusqu'à une première alerte en 2022.


La policière de 40 ans, gardienne de la paix en poste à la brigade centrale des chemins de fers, est alors soupçonnée d'avoir rédigé une fausse attestation pour une mission d'interprétariat, afin de traduire des échanges entre les forces de l'ordre et le public étranger. Or, l'interprète en question n'est autre que son propre mari, policier de 46 ans, en poste, lui, en Seine-et-Marne.
La justice se demande alors s'il s'agit d'un acte isolé : les enquêteurs vont, au contraire, découvrir que les deux policiers se missionnaient mutuellement comme interprètes. Ils sont soupçonnés d'avoir d'abord effectué des réquisitions, puis de fausses attestations adressées au ministère de la Justice via un logiciel informatique dédié.
Les enquêteurs ont dénombré 171 réquisitions pour elle, 210 pour lui, soit près de 400 fausses attestations pour une facture de près de 100 000 euros, versés comme frais de justice par la cour d'appel de Paris. En attendant le procès, le couple de policiers a vu la justice lui saisir un appartement au Cap d'Agde, dans l'Hérault, et a dû pointer toutes les deux semaines au commissariat.
 
COMMENT C POSSIBLE ....des français "gaulois délinquants" ? Et de surcroit détenteurs de l'autorité publique chargés de sévir contre les

délinquants désignés pour faire la une ?

A entendre l'environnement politique et médiatique ça n'existe pas...puisqu'on n'en parle pas en boucle comme c le cas pour d'autres.




.
 
"On m'a proposé de faire de l'argent" : enquête sur les nouveaux "ripoux" de la police nationale

L'IGPN, la police des polices, observe une hausse des affaires de corruption touchant les agents.


.
 
L’IGPN observe une «augmentation» des affaires de corruption touchant les agents en bout de chaîne. Des policiers gagnent notamment de l’argent en vendant à des tiers la consultation de fichiers confidentiels.



.
 
Certains agents sont même recrutés sur des messageries chiffrées qu’ils sont censés surveiller.

«Les trafiquants y publient un message : “on recherche un flic qui veut bien faire une consultation” et des policiers y répondent, c’est aussi simple que ça», déplore cet enquêteur.

Aussi «simple» que quelques clics, mais les conséquences sont lourdes.

Comme ces criminels qui préparent un homicide et veulent savoir en amont s’ils figurent sur les fichiers des personnes recherchées pour mieux planifier leur fuite, illustre l’enquêteur.

.
 

tizniti

Soyons sérieux .
COMMENT C POSSIBLE ....des français "gaulois délinquants" ? Et de surcroit détenteurs de l'autorité publique chargés de sévir contre les délinquants désignés pour faire la une ?
Tu sais, il n'y'a pas que les etrangers en general et les musulmans en particuliers qui soient délinquants.
A entendre l'environnement politique et médiatique ça n'existe pas...puisqu'on n'en parle pas en boucle comme c le cas pour d'autres.
Ca existe mais c'est rare.
 
Haut