Chers amis et amants de la Vérité,
Je suis en train de lire un livre qui parle de ce qui est arrivé quand un chrétien a appliqué le poison paulinien à une société primitive du Pacifique:
««« Vers le milieu du XIXème siècle, Tarawaï, une des îles Gambier, à mille six cents kilomètres au sud-est de Tahiti, recevait la visite du révérend père Honoré Laval (d'Eure-et-Loir), qui appartenait à l'ordre des frères de Picpus.
La population de l'île vivait en parfait équilibre démographique. Les femmes y pratiquaient la contraception avec une perle qui tenait lieu de stérilet. Le père Laval prêcha une vision de l'au-delà avec une telle ferveur qu'il embrasa la foi des habitants. Mais la liberté des moeurs choquait son puritanisme [hérité de l'apôtre de la Haine, note de birdman]. Il sépara les hommes des femmes, interdit la danse et la musique, et pendant trente-sept ans régna sur l'île en maître absolu [comme l'apôtre de la Haine sur ses communautés, note de birdman], transformant la majorité des jeunes gens en séminaristes et des jeunes filles en religieuses. En une génération, la population diminua de moitié...
L'île ne devait pas s'en relever.
En 1906, un visiteur en parcourut les ruines et, en 1938, un éditeur se préparait à publier un ouvrage du révérend père Laval. C'était une grammaire du dialecte des Gambier. On ne la publia pas... Il n'existait aucun survivant capable de la comprendre.
Les méthodes du père Laval [inspirées de l'apôtre de la Haine, note de birdman] avaient eu raison de la vie!
»»»
(Michel Anselme, La morale retrouvée, Saint-Jean-de-Braye, Éditions Dangles, 1998, p. 40-41).
Et voilà comment un chrétien a provoqué la disparition d'une culture et d'une langue.
Je suis en train de lire un livre qui parle de ce qui est arrivé quand un chrétien a appliqué le poison paulinien à une société primitive du Pacifique:
««« Vers le milieu du XIXème siècle, Tarawaï, une des îles Gambier, à mille six cents kilomètres au sud-est de Tahiti, recevait la visite du révérend père Honoré Laval (d'Eure-et-Loir), qui appartenait à l'ordre des frères de Picpus.
La population de l'île vivait en parfait équilibre démographique. Les femmes y pratiquaient la contraception avec une perle qui tenait lieu de stérilet. Le père Laval prêcha une vision de l'au-delà avec une telle ferveur qu'il embrasa la foi des habitants. Mais la liberté des moeurs choquait son puritanisme [hérité de l'apôtre de la Haine, note de birdman]. Il sépara les hommes des femmes, interdit la danse et la musique, et pendant trente-sept ans régna sur l'île en maître absolu [comme l'apôtre de la Haine sur ses communautés, note de birdman], transformant la majorité des jeunes gens en séminaristes et des jeunes filles en religieuses. En une génération, la population diminua de moitié...
L'île ne devait pas s'en relever.
En 1906, un visiteur en parcourut les ruines et, en 1938, un éditeur se préparait à publier un ouvrage du révérend père Laval. C'était une grammaire du dialecte des Gambier. On ne la publia pas... Il n'existait aucun survivant capable de la comprendre.
Les méthodes du père Laval [inspirées de l'apôtre de la Haine, note de birdman] avaient eu raison de la vie!
»»»
(Michel Anselme, La morale retrouvée, Saint-Jean-de-Braye, Éditions Dangles, 1998, p. 40-41).
Et voilà comment un chrétien a provoqué la disparition d'une culture et d'une langue.