Un gamin de 8 ans avoue avoir tué son père après une fessée

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Un garçon de 8 ans accusé d'avoir tué son père et un autre homme a donné à la police des versions contradictoires de l'histoire, disant à un moment "je n'ai pas tiré avec des revolvers" avant d'avouer avoir tiré au moins deux balles sur chacune des deux victimes. Lire la suite l'article

http://fr.news.yahoo.com/3/20081119/twl-usa-enfant-meurtres-224d7fb.html

J’ai connu un cas similaire, un enfant de 10 ans qui a tué son père. Je me souviens très bien de lui, il fallait trois infirmières pour le maitriser. Il a été suivi par une amie pédopsychiatre dans un centre psychiatrique pour enfant.
 
J’ai connu un cas similaire, un enfant de 10 ans qui a tué son père. Je me souviens très bien de lui, il fallait trois infirmières pour le maitriser. Il a été suivi par une amie pédopsychiatre dans un centre psychiatrique pour enfant.

allah yster et quelle etait la cause?! :rolleyes:

ps: bonjour labess 3lik
 
allah yster et quelle etait la cause?! :rolleyes:

ps: bonjour labess 3lik

La cause une maltraitance, mais d’âpres les conclusions, la famille en question n’était pas vraiment stable. Il avait une souffrance morale importante, et n’arrivait pas à s’exprimer autrement que par la violence. Il disait qu’il se sentait seul est abandonné et une impression mal définie de doute existentiel …tout ça à cet âge

ps: Bjr à lalla je vais béné Alhamdoulilah ounti labas 3lik
 
Meurtrier à l'âge de 8 ans ... il commence bien dans la vie celui-là !
Ca me fait penser au scénario du film d'épouvante "Halloween" ... Michael Myers enfant de 8 ou 10 ans qui avait assassiné sa soeur avant de s'échapper de l'asile quelques années plus tard.
 
La cause une maltraitance, mais d’âpres les conclusions, la famille en question n’était pas vraiment stable. Il avait une souffrance morale importante, et n’arrivait pas à s’exprimer autrement que par la violence. Il disait qu’il se sentait seul est abandonné et une impression mal définie de doute existentiel …tout ça à cet âge

ps: Bjr à lalla je vais béné Alhamdoulilah ounti labas 3lik

ah bah dis donc ..c est etonnant bon dans tous les cas la famille reste le premier responsable, on peut s en prendre a un enfant
faut soigner le mal à la racine

ps: oui merci vais tres bien hamdullah
 
ah bah dis donc ..c est etonnant bon dans tous les cas la famille reste le premier responsable, on peut s en prendre a un enfant
faut soigner le mal à la racine

ps: oui merci vais tres bien hamdullah

En effet, il y a une responsabilité parental et le problème se situe à la naissance de l’enfant… je m’explique….

La vie d’un nourrisson est totalement dépendante de sa mère donneuse de nourriture et donneuse d’amour. Son humeur, sa thymie est le reflet de la thymie maternelle. On conçoit aisément qu’une dépression de la mère puisse retentir gravement sur le comportement du nourrisson. Si la mère est physiquement présente mais psychiquement et affectivement absente, le nourrisson est en état de carence il est frustre dans ses désires et aussi dans ses besoins

L’absence physique de la mère (si elle n’est pas remplacée par une image maternante a laquelle l’enfant peut se référer) a les mêmes effets délétères
D’âpres kreisler un neuropsychiatre infantile il existe deux types de dépressions

La dépression blanche

C’est quand les rapports mère enfant fonctionnent chaleureusement mais la mère continue de s’occuper de son enfant d’une façon matérielle c a dire je m’occupe de mon enfant mais le cœur n’y est pas (une dépression maternelle)

Le nourrisson en pleine détresse a perdu l’objet de l’amour désire, il utilise alors les moyens a sa disposition, il ne mange plus, il dort très mal, il pleure sans arrêt.
Si la maman reste dans son état de déprime, l’enfant peut développer de grave symptôme
Il devient indifférent morne, sans plainte ni larme il se désintéresse progressivement de son entourage. Dans ce cas de figure il faut une action rapide médicamenteuse sur la mère

Le syndrome du comportement vide

On le rencontre chez des nourrissons plus âges. La tonalite d’ennui, de vide, de morosité est plus marquée. Il s’agit d’enfant vivant chroniquement dans un univers déprime et sans chaleur affective, dans une relation désertique habituelle…l’avenir de ces enfants est malheureusement sombre

A l’adolescence l’état dépressif rappelle celui de l’adulte. L’enfant est triste, indifférent, angoissé, voire désespéré. Il s’auto déprécie, et le risque de suicide existe
Voila en partie comment s’explique de nombreux cas comme celui reporté dans le sujet initial
 
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