Un inconnu interpellé après avoir agrippé Nicolas Sarkozy par le col

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petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Nicolas Sarkozy a été brièvement saisi par la veste par un inconnu lors d'un déplacement jeudi dans le Lot-et-Garonne, l'homme ayant été ensuite interpellé par les forces de sécurité, selon des images diffusées par BFM-TV et relayées sur Twitter.

Sur ces images télévisées, le chef de l'Etat est en train de saluer des personnes massées derrière une barrière lorsque l'une d'elles le saisit violemment par la veste et le tire vers l'avant, déséquilibrant le président de la République.

Des officiers de sécurité se jettent alors sur l'individu et le plaquent au sol.

Le chef de l'Etat se trouvait à Brax (Lot-et-Garonne) pour une assemblée générale des maires du département.

http://www.liberation.fr/politiques...interpelle-pour-avoir-agrippe-nicolas-sarkozy
 
Évitez de parler de ce que vous ne savez pas

Le mec est un sarkozyste acharné, ça faisait des mois qu'il lui réclamait un câlin! Il voulait juste le serrer fort dans ses bras :(
 
pourquoi 3 ans ?????

Il existe un code pénal, tout ce qu'il y a d'officiel, où les délits et les crimes sont listés....avec les peines correspondantes.

3 ans est un maximum.

il risque également une forte amende.

Et il peut éventuellement bénéficier du sursis.

P.S. A condition qu'il soit déclaré coupable.
 
Il existe un code pénal, tout ce qu'il y a d'officiel, où les délits et les crimes sont listés....avec les peines correspondantes.

3 ans est un maximum.

il risque également une forte amende.

Et il peut éventuellement bénéficier du sursis.

P.S. A condition qu'il soit déclaré coupable.

et c'est quoi le delit ?
 
Quand on se comporte comme une racaille, on se fait interpeller comme tel !

rien d'étonnant....
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C'est un président qui a trompé son monde, néanmoins, c'est le président de la république élu par le peuple.

On peut ne pas avoir les même idées avec quelqu'un, discuter avec lui sans avoir recours ni à la violence ni aux insultes

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Je cautionne pas..naturellement..mais ça fait presque plaisir de voir qu'il y a de la racaille en rase campagne, c'est surtout ça qui a du choquer le président.
 
L'agresseur de Sarkozy risque 3 mois ferme


L'agresseur de Nicolas Sarkozy était au tribunal ce vendredi SIPA
Hermann Fuster, l'homme de 32 ans qui a agrippé jeudi le chef de l'Etat en déplacement à Brax (Lot-et-Garonne), encourt trois mois de prison ferme. Le parquet a en effet demandé devant le tribunal d'Agen qu'il soit condamné à neuf mois de prison, dont six avec sursis. L'homme comparaît pour « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique ». Employé du conservatoire de musique et de danse, Hermann Fuster a été immédiatement plaqué au sol par des policiers. C'est la première fois que Nicolas Sarkozy est ainsi physiquement pris à parti. Vu la médiatisation de l'affaire, la petite salle d'audience d'Agen est pleine à craquer depuis le début de l'audience vers 14h30. Le président de la République, toutefois, n'a pas porté plainte.

Qui est-il ?
Il s'appelle Hermann Fuster, il a 32 ans et est employé municipal au Conservatoire de musique et de danse d'Agen. Voilà l'homme qui a violemment agrippé Nicolas Sarkozy jeudi à Brax (Lot-et-Garonne), alors que le président de la République prenait un bain de foules et serrait les mains. Il voulait protester auprès du chef de l'Etat contre l'intervention de l'armée française en Libye. Très apprécié et décrit comme « sympa », « calme » et « sans histoires » par certains de ses collègues, il est dépeint comme « très discret », voire « secret, peu loquace ». Selon plusieurs témoins, il aurait même fait une dépression nerveuse, accompagnée d'une tentative de suicide il y a quelques mois.

L'incident a été "très rapide, très soudain, et pas prévisible"
Michel Bernines (NC), maire de Brax, en a été témoin et raconte dans Le Télégramme : « Le chef de l'Etat, qu'il venait d'accueillir, "serrait les mains (...) quand, tout à coup, une personne qui était au deuxième ou au troisième rang, en tout cas qui n'était pas au premier, s'est jetée vers lui, l'a pris par l'épaule, allait vraisemblablement lui donner un coup de poing, je pense, et à ce moment-là, a été retenue par les hommes de la sécurité ». Et de poursuivre : « Manifestement, il était violent, a-t-il ajouté. Il l'a pris violemment par l'épaule (...) et avait bien prévu son coup. »

Par Julie Caron
 
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