Un israélien à un poste-clé dans la future équipe d’Obama

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petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
jeudi 6 novembre 2008 - 18h:27

Ghada Houbalah

Barack Obama a proposé à ce représentant démocrate de l’Illinois, d’occuper le poste de secrétaire général de la Maison-Blanche. Ami proche d’Obama et élu de Chicago comme lui, il devrait rapidement accepter l’offre que lui a faite le 44e président. A 48 ans, Rahm Emanuel a déjà servi à la Maison-Blanche sous la présidence de Bill Clinton comme conseiller politique.

Connu pour son tempérament combatif, il était considéré comme le candidat le mieux placé pour ce poste, l’un des plus importants de l’Administration américaine. S’il accepte, il deviendra le principal « gardien » du bureau ovale et hérite d’un rôle de haut conseiller auprès du président. Le secrétaire général, qui est actuellement Joshua Bolten, est également très haut placé au sein de l’exécutif.

La réaction israélienne ne s’est pas fait attendre

Le quotidien israélien Yediot Aharonot rapporte d’un des proches de Rham, que ce dernier n’aurait pas accepté ce poste, s’il n’était pas convaincu qu’Obama est l’homme d’Israël. Tandis que le quotidien Maariv révèle que le futur secrétaire générale du président Obama s’était porté bénévole pour combattre avec l’armée israélienne sur le front nord d’Israël au cours de la première guerre du Golfe.

L’ex-ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis Danny Aaylon, a affirmé que Rahm Emanuel sera sans doute la personne la plus proche d’ Obama. Il participera à toutes les réunions les plus stratégiques au niveau de la sécurité intérieure et extérieure, il aura pour mission d’aider Obama à monter son équipe, à nommer ceux qui occuperont des grands postes économiques et à définir la politique avec laquelle il faut traiter avec le chef de la CIA et le Président de la Banque fédérale. Mais encore, tout Etat qui souhaite contacter Obama doit passer par Rham Emanuel.

Par ailleurs, à cause de la crise financière qui fait rage, le nom du prochain secrétaire au Trésor est tout autant attendu avec impatience. Durant la campagne, Barack Obama a mis en place un groupe de conseillers économiques où se retrouvent d’anciens secrétaires au Trésor de Bill Clinton, Robert Rubin et Lawrence Summers. D’autres noms circulent : celui du président de la Réserve fédérale de l’Etat de New York, Tim Geithner, ainsi que celui de l’ancien président de la Réserve fédérale américaine, Paul Volcker.

Concernant la Défense, certains conseillers de Barack Obama avaient suggéré de garder l’actuel secrétaire, Robert Gates, mais ce dernier a décliné l’offre.

Pressenti lui aussi pour ce poste, l’ancien secrétaire d’Etat de George W. Bush, le général Colin Powell, rallié à M. Obama durant la campagne, a indiqué hier qu’il n’était pas « intéressé par un poste au gouvernement », mais que si le nouveau président lui demandait des conseils, il serait « heureux de lui en prodiguer ».

Quatre candidats restent en lice pour le Pentagone : Richard Danzig, conseiller de campagne de Barack Obama, les sénateurs républicains Chuck Hagel et Richard Lugar et le démocrate Jack Reed.

Plusieurs noms circulent pour succéder à Condoleezza Rice aux Affaires étrangères : l’ancien candidat à la Maison-Blanche John Kerry, le gouverneur du Nouveau-Mexique, Bill Richardson, le négociateur des accords de Dayton pour l’ex-Yougoslavie Richard Holbrooke, ainsi que le sénateur républicain de l’Indiana, Richard Lugar.
 
Mdrrrrrr
Wallah meme s'il nomme Sharon comme VICE President en Amerique,qu'ils vont bavé au Moyen Orient
La seule et unique solution de se retirer d'Irak,d'Afghanistan et de la Palestine!!!
 
faut bien des fachistes dans un camp aussi bien démocrates que républicain , c'est la force de l'Amérique

la force qui a contribué à tuer les indiens, les noirs, les vietnamiens et maintenant les afghans et les arabes...
 
Encore une preuve que ceux qui dirigent les states sont aux mains des lobbys pro-sionistes.
obama ne sera qu'un porte-parole de ce lobby.

C'est faux
le lobby sioniste etait pour Mc Cain
Donc ils ne sont plus le lobby fort comme avant
Ils veulent transformer cette defaite en victoire,cette nomination n'a aucun poids
 
le peuple américain commence à réaliser ce qu'est réelement israel et tout les conséquences du fardeau du soutien exageré des usa pour cette état.
 
On parle toujours du lobby sioniste, mais personne n'évoque le lobby arabe (pays du golfe) puissant aux states.
Sans ce lobby, les guerres du golfe n'auraient pas souvent eu lieu...

Tout le monde était content car les américains avaient élu un barack hussein obama; mais il n'a pas fallu 2 jours pour qu'on le critique d'avoir dans son équipe un israelien d'origine.
La force des usa c'est ça: élire un africain d'origine qui à son tour prend un autre étranger dans son équipe.
Attendons de voir, il y aura peut-être un arabe et là les forums israeliens s'en plaindront :D
 
C'est faux
le lobby sioniste etait pour Mc Cain
Donc ils ne sont plus le lobby fort comme avant
Ils veulent transformer cette defaite en victoire,cette nomination n'a aucun poids

Tellement naif que s'en est presque mignon.

Regardes la liste de conseillers d'Obama (Bzrezinski notamment) et de ses choix pour son futur gouvernement (Rahm Emmanuel, Colin Powell, Robert Gates ...) cherches leurs biographies et on verra si tu oseras encore dire que les sionistes ont "perdu".
 
Tellement naif que s'en est presque mignon.

Regardes la liste de conseillers d'Obama (Bzrezinski notamment) et de ses choix pour son futur gouvernement (Rahm Emmanuel, Colin Powell, Robert Gates ...) cherches leurs biographies et on verra si tu oseras encore dire que les sionistes ont "perdu".

Ce sont des faux sionistes!!!
le cas de Rachid Kaci,Fadela Amara,et Malek Boutih,ils ont des nom arabes,mais ds leurs tetes sont indigenes
Les faux sionistes qu'Obama a nommé n'ont pas d'influence,ce n'est que de la Com
 
le peuple américain commence à réaliser ce qu'est réelement israel et tout les conséquences du fardeau du soutien exageré des usa pour cette état.

Quand je pense aux milliards de dollar du contribuable américain injecté à la défense de l'état fantome du proche orient :D

on est pas dans la *****!!!
 
Quand je pense aux milliards de dollar du contribuable américain injecté à la défense de l'état fantome du proche orient :

on est pas dans la *****!!!

Grave!

Chaque année, ce sont des milliards direct à Israel!

Avec cette crise financière qui s'annonce le peuple devrait allumer!:D

La clic de l'AIPAC doit être en mode panique grave!:D
 
On parle toujours du lobby sioniste, mais personne n'évoque le lobby arabe (pays du golfe) puissant aux states.
Sans ce lobby, les guerres du golfe n'auraient pas souvent eu lieu...

Tout le monde était content car les américains avaient élu un barack hussein obama; mais il n'a pas fallu 2 jours pour qu'on le critique d'avoir dans son équipe un israelien d'origine.
La force des usa c'est ça: élire un africain d'origine qui à son tour prend un autre étranger dans son équipe.
Attendons de voir, il y aura peut-être un arabe et là les forums israeliens s'en plaindront :D

Il n'y a pas de lobby arabe, si les USA soutiennent les monarchies du Golfe c'est par intérêt.
La force de l'AIPAC c'est de faire prendre aux USA des décisions qui vont parfois (souvent?) à l'encontre des intérêts de ces derniers.

A lire: http://contreinfo.info/article.php3?id_article=52
 
C’est un Israélien que Barack Obama s’apprête à nommer comme directeur de cabinet à la Maison-Blanche, en la personne du parlementaire américain Rahm Emanuel, indiquait jeudi matin le quotidien Haaretz dans son édition électronique.

Le poste de directeur de cabinet de la Maison-Blanche est généralement considéré comme l’un des plus élevés dans la hiérarchie du système politique américain, à l’instar du rôle joué, dans un pays comme la France, par le secrétaire général de la Présidence de la République.

A Washington, il se dit ainsi couramment que la fonction est plus importante que celle du Vice-Président élu, et fait du « chief of staff » le véritable numéro 2 de l’exécutif, exerçant une large influence sur la politique présidentielle.

Rahm Emanuel est le fils d’un médecin à la retraite, Benjamin Emanuel, ancien membre de l’Irgoun, l’organisation sioniste qui commit les actions terroristes les plus spectaculaires des années 1940 contre le peuple palestinien, notamment le tristement célèbre massacre des villageois de Deir Yassin en avril 1948.

Le quotidien israélien Maariv a retrouvé Benjamin Emanuel, d’où il ressort que ce vieux fasciste n’a pas changé d’un poil. « Evidemment que le travail de mon fils sera d’influencer le président dans un sens pro-israélien. Et pourquoi pas ? Vous le prenez pour qui ? Pour un Arabe ? Il est pas embauché à la Maison-Blanche pour balayer les couloirs, quand même ! »

La maxime « tel père, tel fils » n’est pas forcément exacte, mais le rôle d’agent pro-israélien potentiellement dévolu à Rahm a confirmé de manière encore plus explicite par un de ses proches, cité par le quotidien Yiedot Aharonot.

« En fait, Rahm, réfléchit à l’offre qui lui a été faite par Obama. Mais il est clair qu’il n’acceptera la fonction que s’il est convaincu qu’Obama est favorable aux intérêts israéliens », déclare-t-il. De telles déclarations participent, à l’évidence, des efforts déployés par le lobby sioniste et la diplomatie israélienne, qui auraient préféré avoir McCain plutôt qu’Obama à la Maison-Blanche.

La ministre des Affaires étrangères (et candidate au poste de chef de gouvernement) Tzipi Livni a fait jeudi matin des déclarations menaçantes à l’endroit de Barack Obama, l’enjoignant de maintenir une posture belliciste à l’encontre de l’Iran.De son côté, le Premier ministre démissionnaire Ehud Olmert annonçait un déplacement à Washington pour y être reçu par George Bush.

Pour une soirée d’adieu entre deux futurs cadavres politiques ? Pas si sûr. Olmert, avec l’assentiment de ses collègues de la direction israélienne, a bien l’intention d’obtenir de Bush, avant son départ effectif de la présidence en janvier prochain, le maximum de cadeaux : livraisons d’armes, subventions, voire promesse de l’installation à Jérusalem de l’ambassade américaine, toujours à Tel Aviv actuellement.

En réalité, la nomination de Rahm Emanuel, donnée comme certaine par les grands réseaux d’information aux Etats-Unis, n’est pas officielle, et le secrétariat d’Obama a fait savoir que la composition du futur gouvernement ne sera pas annoncée publiquement avant plusieurs jours. La promotion médiatique de Rahm Emanuel, personnage politique assez connu –il est l’un des responsables du groupe parlementaire Démocrate à la Chambre des Représentants- tout en n’étant pas une star au plan national, participerait donc d’une campagne pour augmenter ses chances d’avoir le job.

Pour le lobby sioniste et la direction israélienne, Rahm Emanuel a le profil de l’emploi : juif orthodoxe communautariste proclamé, parlementaire votant toujours comme il faut (en même temps que 99% des autres élus, il faut le rappeler) les innombrables voeux, résolutions et propositions de lois en faveur d’Israël, et ne manquant jamais une manifestation publique de soutien à Israël. L’organisation sioniste américaine (Zionist Organization of America) liste d’ailleurs, sur son site, la « performance » de ce parlementaire élu de Chicago, et lui décerne, sans surprise, une bonne note.

Reste à savoir s’il est « Israélien », comme l’a écrit Haaretz. Au regard de ce qui vient d’être écrit, c’est un détail. Dans un « chat » sur le net, jeudi matin, un sympathisant de Rahm Emanuel signalait cependant que l’intéressé avait effectivement servi dans l’armée israélienne, en 1991.
 
jeudi 6 novembre 2008 - 18h:27

Ghada Houbalah

Barack Obama a proposé à ce représentant démocrate de l’Illinois, d’occuper le poste de secrétaire général de la Maison-Blanche. Ami proche d’Obama et élu de Chicago comme lui, il devrait rapidement accepter l’offre que lui a faite le 44e président. A 48 ans, Rahm Emanuel a déjà servi à la Maison-Blanche sous la présidence de Bill Clinton comme conseiller politique.

Connu pour son tempérament combatif, il était considéré comme le candidat le mieux placé pour ce poste, l’un des plus importants de l’Administration américaine. S’il accepte, il deviendra le principal « gardien » du bureau ovale et hérite d’un rôle de haut conseiller auprès du président. Le secrétaire général, qui est actuellement Joshua Bolten, est également très haut placé au sein de l’exécutif.

La réaction israélienne ne s’est pas fait attendre

Le quotidien israélien Yediot Aharonot rapporte d’un des proches de Rham, que ce dernier n’aurait pas accepté ce poste, s’il n’était pas convaincu qu’Obama est l’homme d’Israël. Tandis que le quotidien Maariv révèle que le futur secrétaire générale du président Obama s’était porté bénévole pour combattre avec l’armée israélienne sur le front nord d’Israël au cours de la première guerre du Golfe.

L’ex-ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis Danny Aaylon, a affirmé que Rahm Emanuel sera sans doute la personne la plus proche d’ Obama. Il participera à toutes les réunions les plus stratégiques au niveau de la sécurité intérieure et extérieure, il aura pour mission d’aider Obama à monter son équipe, à nommer ceux qui occuperont des grands postes économiques et à définir la politique avec laquelle il faut traiter avec le chef de la CIA et le Président de la Banque fédérale. Mais encore, tout Etat qui souhaite contacter Obama doit passer par Rham Emanuel.

Par ailleurs, à cause de la crise financière qui fait rage, le nom du prochain secrétaire au Trésor est tout autant attendu avec impatience. Durant la campagne, Barack Obama a mis en place un groupe de conseillers économiques où se retrouvent d’anciens secrétaires au Trésor de Bill Clinton, Robert Rubin et Lawrence Summers. D’autres noms circulent : celui du président de la Réserve fédérale de l’Etat de New York, Tim Geithner, ainsi que celui de l’ancien président de la Réserve fédérale américaine, Paul Volcker.

Concernant la Défense, certains conseillers de Barack Obama avaient suggéré de garder l’actuel secrétaire, Robert Gates, mais ce dernier a décliné l’offre.

Pressenti lui aussi pour ce poste, l’ancien secrétaire d’Etat de George W. Bush, le général Colin Powell, rallié à M. Obama durant la campagne, a indiqué hier qu’il n’était pas « intéressé par un poste au gouvernement », mais que si le nouveau président lui demandait des conseils, il serait « heureux de lui en prodiguer ».

Quatre candidats restent en lice pour le Pentagone : Richard Danzig, conseiller de campagne de Barack Obama, les sénateurs républicains Chuck Hagel et Richard Lugar et le démocrate Jack Reed.

Plusieurs noms circulent pour succéder à Condoleezza Rice aux Affaires étrangères : l’ancien candidat à la Maison-Blanche John Kerry, le gouverneur du Nouveau-Mexique, Bill Richardson, le négociateur des accords de Dayton pour l’ex-Yougoslavie Richard Holbrooke, ainsi que le sénateur républicain de l’Indiana, Richard Lugar.


obama a vendus son âme au diable est sans la bénédiction des sionistes il n'aurait jamais mi les pieds dans la maison blanche
 
Il n'y a pas de lobby arabe, si les USA soutiennent les monarchies du Golfe c'est par intérêt.
La force de l'AIPAC c'est de faire prendre aux USA des décisions qui vont parfois (souvent?) à l'encontre des intérêts de ces derniers.

A lire: http://contreinfo.info/article.php3?id_article=52

Les interets sont liés.
N'oublions pas que le bailleur de fond de la campagne de bush étaient bien les saoudiens...
 
Rahm Emanuel, un bad cop à la Maison Blanche

De notre correspondant à Los Angeles

La scène se passe dans un restaurant, juste après la victoire de Bill Clinton, le 3 novembre 1992. Tout le monde sourit et fait la fête. Pas Rahm Emanuel, personnage central dans le succès financier de la campagne du démocrate. Selon «The Economist», qui raconte l’anecdote, Rahmbo (son surnom dans certains cercles), prend un couteau, et, à chaque nom de ses ennemis politiques qu’il égrène, le plante dans la table en hurlant: «Mort, mort, mort!».

C’est donc ce personnage haut en couleurs que Barack Obama a choisi jeudi comme secrétaire général de la Maison Blanche. Faut pas le chercher, Rahm. «C’est un dur, qui a servi comme parachutiste volontaire dans l’armée israélienne» pendant la première guerre du Golfe, explique à 20minutes.fr Samuel Popkin, expert de la politique américaine. Il lui manque même un morceau de son majeur droit, que les médecins ont dû amputer après un accident avec un couteau à viande quand il était petit.

Good cop, bad cop

Comme Barack Obama, Rahm Emanuel, 48 ans (né d’un père israélien et d’une mère américaine), est sorti du vivier politique de Chicago. Après son passage dans l’administraton Clinton, il est élu représentant de l’Illinois depuis 2003. En 2006, il fut l’un des principaux artisans de la reconquête du Congrès par les démocrates, et il est reconnu pour être un législateur féroce et efficace. Il fait partie de la garde rapprochée d’Obama, notamment via son amitié avec David Axelrod, stratège en chef de la campagne du nouveau président des Etas-Unis.

Josh Lyman dans «West Wing»?

D’après un conseiller démocrate cité par Politico, «Obama a choisi un bad cop comme chef de cabinet, car ça lui permettra d’être le good cop 90% du temps». Avec un tel choix, les républicains raillent déjà le soi-disant esprit d’ouverture promis par Obama. Les mains républicaines tendues, Rahm est plutôt du genre à les trancher...

Il aurait cependant hésité avant d’accepter le poste et de retourner à la Maison Blanche, car il désormais marié, avec trois enfants. Toujours au rayon famille, son petit frère, Ari, un agent à Hollywood, a servi de modèle pour le génial Ari Gold, dans la série «Entourage». Rahm lui-même aurait inspiré le personnage de Josh Lyman, le chef de cabinet adjoint dans la série «West Wing» («A la Maison Blanche»). En accédant au poste de n°1, l’original a désormais dépassé la fiction.


Philippe Berry, à Los Angeles
 
Un secrétaire général de la Maison Blanche, à quoi ça sert?

Alors que Rahm Emanuel vient d'accepter de devenir le chef de cabinet de Barack Obama, 20minutes.fr fait le point sur le poste de secrétaire général de la Maison Blanche. A la fois manager et conseiller, son rôle varie en fonction du style de gouvernance que le président entend mener.

De notre correspondant à New York

De l’aveu même de ceux qui en ont fait l’expérience, une grande partie du travail du secrétaire général de la Maison Blanche consiste … à déterminer quel est, au juste, son rôle exact. Membre le plus haut placé au sein de l’équipe exécutive du président, il conjugue responsabilités managériales et rôle de conseil. Gerald Ford, par exemple, devenu président de 1974 à 1977 suite au Watergate, expliquait ainsi que «vous avez besoin d’un filtre, une personne dans laquelle vous avez complètement confiance, qui travaille avec vous de manière si proche que dans les faits, elle est presque votre alter ego». Au jour le jour, la gamme de ses pouvoirs va du purement bureaucratique à une position plus partisane et agressive, en fonction de sa relation avec le président.

Alors que s’effectue la transition entre deux administrations, le secrétaire général participe activement à la sélection des membres de l’équipe du président (voir un organigramme en PDF ici). Tout en déterminant l’organigramme du cabinet du président, il supervise son travail et filtre le flux d’informations qui transitent entre l’exécutif et le Bureau ovale.

Maîtriser les fuites en temps de crise

Il conseille et guide le Président dans ses choix et priorités politiques. Il négocie également en son nom avec le Congrès, les différents échelons de l’exécutif et les agences fédérales. En termes de relations publiques, il s’assure également que les messages à l’égard de la presse restent coordonnés et tente de maîtriser les fuites en temps de crise.

Bref, son impact est en grande partie modelé sur le style du président, et l’étendue du contrôle que ce dernier souhaite avoir sur le fonctionnement de son équipe au quotidien.
Andrew Card, le premier conseiller de George W. Bush par exemple, avait la réputation de soigneusement limiter les informations arrivant jusqu'au président. «Le président doit avoir le temps de manger et de dormir, sinon il prendra des décisions sous le coup de la colère ou de l’agacement», déclarait-il par exemple en 2004.

Et pour en savoir plus sur le rôle du «chief of staff», rien de tel qu'un visionnage extensif de la série West Wing («A la Maison Blanche») pour voir en action Jon Spencer (AKA Leo McGarry).



Gilles Bouvaist
 
Il n'y a pas de lobby arabe, si les USA soutiennent les monarchies du Golfe c'est par intérêt.
La force de l'AIPAC c'est de faire prendre aux USA des décisions qui vont parfois (souvent?) à l'encontre des intérêts de ces derniers.

Il faut connaitre la constellation de pouvoirs et d'influences pour comprendre ce qui se passe la-bas. AIPAC a traditionellement beaucoup plus d'influence sur les democrates, non seulement parce que plus de 75% des juifs americains sont democrates eux-memes, mais aussi parce que les democrates ont besoin des medias (au niveau politique). Par contre, le big business (surtout petrole) a traditionellement plus d'influence sur les republicains; et durant l'epoque Bush, c'etaient essentiellement les saoudiens qui dictaient assez clairement la politique etrangere de la maison blanche. C'est un peu simpliste et carricatural, mais en gros, c'est comme ca depuis plus de 25 ans (minimum).
 
Il faut connaitre la constellation de pouvoirs et d'influences pour comprendre ce qui se passe la-bas. AIPAC a traditionellement beaucoup plus d'influence sur les democrates, non seulement parce que plus de 75% des juifs americains sont democrates eux-memes, mais aussi parce que les democrates ont besoin des medias (au niveau politique). Par contre, le big business (surtout petrole) a traditionellement plus d'influence sur les republicains; et durant l'epoque Bush, c'etaient essentiellement les saoudiens qui dictaient assez clairement la politique etrangere de la maison blanche. C'est un peu simpliste et carricatural, mais en gros, c'est comme ca depuis plus de 25 ans (minimum).
Ca laisse à méditer...sur le poids énorme des saoudiens sur la politique des usa au moyen orient...
 
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