amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
L’AMDH a saisi trois départements ministériels sur une supposée affaire de viol qui a duré quatre ans durant. La victime? Ibrahim J. Son bourreau? Un agent de police.
Un officier de police de Fès aurait abusé sexuellement d'un jeune homme pendant 4 ans. La victime présumée était âgée de 16 ans à peine au début des faits. Dans une lettre ouverte adressée aux ministres de la Justice, de l’Intérieur et au délégué ministériel chargé des droits de l’Homme, l’Association marocaine des droits humains (AMDH) affirme avoir reçu une plainte de la part de Mina M, habitant Fès, dans laquelle celle-ci affirme que son fils, Ibrahim J, a été victime d’aggressions sexuelles commis par un officier de police, A.H. L'AMDH demande l'ouverture d'une enquête.
Aux conséquences physiques dévastatrices sur la personne d’Ibrahim, s’ajoutent les effets psychologiques. La victime aurait même tenté de se suicider, dégoutée tant par les agressions que par le manque d’égard des autorités sur son cas.
Selon l’AMDH, la mère a bien tenté de porter plainte devant les services de la police centrale de la ville, mais elle a été «expulsé ». Ibrahim J a lui-même eu recours à la police qui, histoire de le faire taire, l’aurait incarcéré une journée durant. Affaire à suivre.
Source : h24info.ma
Un officier de police de Fès aurait abusé sexuellement d'un jeune homme pendant 4 ans. La victime présumée était âgée de 16 ans à peine au début des faits. Dans une lettre ouverte adressée aux ministres de la Justice, de l’Intérieur et au délégué ministériel chargé des droits de l’Homme, l’Association marocaine des droits humains (AMDH) affirme avoir reçu une plainte de la part de Mina M, habitant Fès, dans laquelle celle-ci affirme que son fils, Ibrahim J, a été victime d’aggressions sexuelles commis par un officier de police, A.H. L'AMDH demande l'ouverture d'une enquête.
Aux conséquences physiques dévastatrices sur la personne d’Ibrahim, s’ajoutent les effets psychologiques. La victime aurait même tenté de se suicider, dégoutée tant par les agressions que par le manque d’égard des autorités sur son cas.
Selon l’AMDH, la mère a bien tenté de porter plainte devant les services de la police centrale de la ville, mais elle a été «expulsé ». Ibrahim J a lui-même eu recours à la police qui, histoire de le faire taire, l’aurait incarcéré une journée durant. Affaire à suivre.
Source : h24info.ma