boptitprince
je ne suis qu'un prince..
http://www.lesoir.be/regions/bruxelles/2011-12-08/philippe-moureaux-menace-de-mort-882416.php
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Philippe Moureaux menacé de mort
Rédaction en ligne
jeudi 08 décembre 2011, 07:17
Le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean, Philippe Moureaux (PS), déclare dans La Capitale avoir reçu deux lettres de menaces de mort, cette semaine et la semaine dernière.
© A Dewez- Le Soir
« Il sagit de deux courriers de menace de mort qui métaient adressés, le premier à une institution communale de Molenbeek, et lautre au siège du Parti socialiste », confie M. Moureaux au journal. « Pour linstant, je ne peux pas trop en parler parce que le dossier est entre les mains de la police. » Le bourgmestre molenbeekois a refusé la protection de la police. « Ce nest pas la première fois que cela marrive. Il y a quelques années, javais supporté la présence dagents pour ma sécurité pendant trois jours. Après je nen pouvais plus », dit-il.
Philippe Moureaux voit deux phénomènes pouvant expliquer cette situation tendue : un noyau dur dopposants à sa politique dintégration et un deuxième cercle de personnes, notamment flamandes, qui lui en veulent personnellement. Et le bourgmestre dévoquer une « véritable campagne de dénigrement » à son encontre en Flandre.
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Philippe Moureaux menacé de mort
Rédaction en ligne
jeudi 08 décembre 2011, 07:17
Le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean, Philippe Moureaux (PS), déclare dans La Capitale avoir reçu deux lettres de menaces de mort, cette semaine et la semaine dernière.
© A Dewez- Le Soir
« Il sagit de deux courriers de menace de mort qui métaient adressés, le premier à une institution communale de Molenbeek, et lautre au siège du Parti socialiste », confie M. Moureaux au journal. « Pour linstant, je ne peux pas trop en parler parce que le dossier est entre les mains de la police. » Le bourgmestre molenbeekois a refusé la protection de la police. « Ce nest pas la première fois que cela marrive. Il y a quelques années, javais supporté la présence dagents pour ma sécurité pendant trois jours. Après je nen pouvais plus », dit-il.
Philippe Moureaux voit deux phénomènes pouvant expliquer cette situation tendue : un noyau dur dopposants à sa politique dintégration et un deuxième cercle de personnes, notamment flamandes, qui lui en veulent personnellement. Et le bourgmestre dévoquer une « véritable campagne de dénigrement » à son encontre en Flandre.
