Nordine Serroukh n’en peut plus d’attendre, si bien qu’il a alerté la presse. Depuis plus d’un an et demi, ce MRE de France attend la livraison de son appartement acheté à Tanger dans le cadre du projet immobilier Dream Hills de la société Mayfair Developments. Malgré les sommes encaissées en guise d'acompte, le promoteur s’est retrouvé en difficulté financière et a depuis sombré dans la silence après des promesses non tenues. Détails.
Mayfair Developments « nous fait courir comme des ânes depuis plus d’un an et demi », s’insurge, dans un entretien avec Yabiladi, Nordine Serroukh, un Marocain résidant en France qui attend désespérément la livraison de son appartement. Le 10 février 2011, en effet, il achete à Tanger, dans le cadre du projet Dream Hills de la société Mayfair Developments, un appartement de 74m2 avec terrasse (8m2). La facture est alors de 950 000 dirhams.
Il devra verser un acompte lors de la signature du contrat, pour achever le paiement à la date de livraison, prévue un an plus tard. Mais la situation s'est quelque peu compliquée. L'homme versera au total 255 420 dirhams d'acompte au promoteur, sous forme de cinq versements dont quatre chèques de 42 570 dirhams chacun.
Quand M. Serroukh remarque des retards dans l’évolution des travaux, il alerte immédiatement le promoteur. « La première fois, il nous avait dit d’attendre six mois. Après, pour cause d’intempéries, il fallait attendre six mois de plus », se souvient-il. Le MRE s'est déplacé à Tanger, à deux reprises, pour vérifier l’état d’avancement des travaux. Son dernier voyage date d’il y a quatre mois. « J’y ai trouvé les ouvriers qui n’avaient pas été payés depuis huit mois à l’époque, aujourd’hui, ça fait beaucoup plus »
Mayfair Developments « nous fait courir comme des ânes depuis plus d’un an et demi », s’insurge, dans un entretien avec Yabiladi, Nordine Serroukh, un Marocain résidant en France qui attend désespérément la livraison de son appartement. Le 10 février 2011, en effet, il achete à Tanger, dans le cadre du projet Dream Hills de la société Mayfair Developments, un appartement de 74m2 avec terrasse (8m2). La facture est alors de 950 000 dirhams.
Il devra verser un acompte lors de la signature du contrat, pour achever le paiement à la date de livraison, prévue un an plus tard. Mais la situation s'est quelque peu compliquée. L'homme versera au total 255 420 dirhams d'acompte au promoteur, sous forme de cinq versements dont quatre chèques de 42 570 dirhams chacun.
Quand M. Serroukh remarque des retards dans l’évolution des travaux, il alerte immédiatement le promoteur. « La première fois, il nous avait dit d’attendre six mois. Après, pour cause d’intempéries, il fallait attendre six mois de plus », se souvient-il. Le MRE s'est déplacé à Tanger, à deux reprises, pour vérifier l’état d’avancement des travaux. Son dernier voyage date d’il y a quatre mois. « J’y ai trouvé les ouvriers qui n’avaient pas été payés depuis huit mois à l’époque, aujourd’hui, ça fait beaucoup plus »