Un navire belge victime d'un acte de piraterie(18/04/2009)
Une conférence de presse est prévue à 17h00 au Centre de crise
BRUXELLES Le navire belge qui avait lancé un message d'alerte samedi matin au large de l'Afrique de l'Est est "a priori victime d'une prise d'otages", a indiqué à Bruxelles un porte-parole du Centre de crise du gouvernement belge.
"Il y a eu des contacts visuels, on confirme que c'est bien a priori une prise d'otages", a déclaré à l'AFP ce porte-parole, Benoît Ramacker, qui n'a pas souhaité faire plus de commentaires avant une conférence de presse prévue un peu plus tard.
Les autorités belges avaient annoncé à la mi-journée avoir perdu le contact avec un navire au large de l'Afrique de l'Est, dans une zone infestée de pirates somaliens.
Le Pompéi, un navire de 65 mètres de long et de 1.850 tonnes appartenant à la société De Nul, spécialisé dans le transport et la pose de rochers pour protéger les pipelines, avait déclenché samedi à l'aube "une alarme silencieuse au large des côtes est-africaines, puis une seconde une demi-heure plus tard", avait à ce moment expliqué M. Ramacker.
L'équipage est composé de "deux Belges", avait-t-il précisé. Selon la presse belge, il avait également à son bord un Néerlandais et des ressortissants croates et philipins.
A Bruxelles, des représentants du Premier ministre Herman Van Rompuy, des ministères des Transports, de la Justice, de l'Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères, ainsi que des sociétés ayant affrété le navire, ont tenu des réunions d'urgence, tandis que les familles de l'équipage étaient averties
Une conférence de presse est prévue à 17h00 au Centre de crise
BRUXELLES Le navire belge qui avait lancé un message d'alerte samedi matin au large de l'Afrique de l'Est est "a priori victime d'une prise d'otages", a indiqué à Bruxelles un porte-parole du Centre de crise du gouvernement belge.
"Il y a eu des contacts visuels, on confirme que c'est bien a priori une prise d'otages", a déclaré à l'AFP ce porte-parole, Benoît Ramacker, qui n'a pas souhaité faire plus de commentaires avant une conférence de presse prévue un peu plus tard.
Les autorités belges avaient annoncé à la mi-journée avoir perdu le contact avec un navire au large de l'Afrique de l'Est, dans une zone infestée de pirates somaliens.
Le Pompéi, un navire de 65 mètres de long et de 1.850 tonnes appartenant à la société De Nul, spécialisé dans le transport et la pose de rochers pour protéger les pipelines, avait déclenché samedi à l'aube "une alarme silencieuse au large des côtes est-africaines, puis une seconde une demi-heure plus tard", avait à ce moment expliqué M. Ramacker.
L'équipage est composé de "deux Belges", avait-t-il précisé. Selon la presse belge, il avait également à son bord un Néerlandais et des ressortissants croates et philipins.
A Bruxelles, des représentants du Premier ministre Herman Van Rompuy, des ministères des Transports, de la Justice, de l'Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères, ainsi que des sociétés ayant affrété le navire, ont tenu des réunions d'urgence, tandis que les familles de l'équipage étaient averties