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Alors que plus dun tiers des Américains sont obèses, lAgence américaine du médicament (FDA, Food and drug administration) a autorisé mardi la mise sur le marché du Belviq (ou Lorcaserin), un nouveau médicament anti-obésité des laboratoires Arena. Ce dernier avait été rejeté une première fois en 2010
avant dêtre modifié pour obtenir lapprobation de la FDA, rapporte RFI.
Dans son annonce, la FDA explique que ce médicament vient en complément dun programme de régime et dexercices. Il vise des adultes dont lindice de masse corporelle (IMC) calculé en fonction de la taille et du poids, il est estimé normal sil se situe entre 18 et 25 est de 30 ou plus, ou de 27 pour ceux qui souffrent en plus dhypertension, de diabète ou dun taux de cholestérol élevé.
Le Belviq fonctionne en activant un récepteur de sérotonine dans le cerveau, ce qui provoque une moindre sensation de faim pour les personnes sous traitement, explique la FDA. Non seulement, celles-ci auront moins faim de manière générale, mais elles se sentiront rassasiées après avoir mangé de petites quantités de nourriture.
Le Belviq a été testé sur près de 8.000 patients obèses ou en surpoids durant une période allant de 52 à 104 semaines. Près de 47% dentre eux, sans diabète, ont perdu au moins 5% de leur poids tandis que 38% de patients, souffrant du diabète, ont perdu léquivalent, indique la FDA.
Selon RFI, la lenteur de ces résultats pourrait «décourager les gens obèses à poursuivre le traitement» dautant que celui-ci nest pas remboursé par les assurances. De plus, le Belviq est contre-indiqué pour les femmes enceintes et présente de sérieux effets secondaires, prévient la FDA, parmi lesquels le syndrome sérotoninergique si le traitement est utilisé en même temps que dautres médicaments.
Des problèmes dattention et de mémoire peuvent également être constatés ainsi que des maux de tête, de la fatigue, des nausées, de la constipation pour les patients non-diabétiques et de lhypoglycémie, des maux de tête, de la fatigue, des maux de dos et de la toux pour les diabétiques.
source:Libération
Alors que plus dun tiers des Américains sont obèses, lAgence américaine du médicament (FDA, Food and drug administration) a autorisé mardi la mise sur le marché du Belviq (ou Lorcaserin), un nouveau médicament anti-obésité des laboratoires Arena. Ce dernier avait été rejeté une première fois en 2010
avant dêtre modifié pour obtenir lapprobation de la FDA, rapporte RFI.
Dans son annonce, la FDA explique que ce médicament vient en complément dun programme de régime et dexercices. Il vise des adultes dont lindice de masse corporelle (IMC) calculé en fonction de la taille et du poids, il est estimé normal sil se situe entre 18 et 25 est de 30 ou plus, ou de 27 pour ceux qui souffrent en plus dhypertension, de diabète ou dun taux de cholestérol élevé.
Le Belviq fonctionne en activant un récepteur de sérotonine dans le cerveau, ce qui provoque une moindre sensation de faim pour les personnes sous traitement, explique la FDA. Non seulement, celles-ci auront moins faim de manière générale, mais elles se sentiront rassasiées après avoir mangé de petites quantités de nourriture.
Le Belviq a été testé sur près de 8.000 patients obèses ou en surpoids durant une période allant de 52 à 104 semaines. Près de 47% dentre eux, sans diabète, ont perdu au moins 5% de leur poids tandis que 38% de patients, souffrant du diabète, ont perdu léquivalent, indique la FDA.
Selon RFI, la lenteur de ces résultats pourrait «décourager les gens obèses à poursuivre le traitement» dautant que celui-ci nest pas remboursé par les assurances. De plus, le Belviq est contre-indiqué pour les femmes enceintes et présente de sérieux effets secondaires, prévient la FDA, parmi lesquels le syndrome sérotoninergique si le traitement est utilisé en même temps que dautres médicaments.
Des problèmes dattention et de mémoire peuvent également être constatés ainsi que des maux de tête, de la fatigue, des nausées, de la constipation pour les patients non-diabétiques et de lhypoglycémie, des maux de tête, de la fatigue, des maux de dos et de la toux pour les diabétiques.
source:Libération