Voici ce qu'un Amérindien, fidèle de sa religion ancestrale, a répondu aux chrétiens qui essayaient de le convertir:
«««Nous étions un peuple sans lois, mais nous étions en très bons termes avec le Grand Esprit, créateur et maître de toutes choses. Vous présumiez que nous étions des sauvages. Vous ne compreniez pas nos prières. Vous n'essayiez pas de les comprendre; lorsque nous chantions nos louanges au soleil, à la lune ou au vent, vous nous traitiez d'idolâtres. Sans comprendre, vous nous avez condamnés comme des âmes perdues, simplement parce que notre religion était différente de la vôtre...»»»
Et voici, pendant qu'on y est, le témoignage d'un chef amérindien à un missionnaire chrétien qui ne manque pas de piquant:
«««Si j'allais, moi, dans ton île, parler contre la prière et chercher à te faire recevoir mes pratiques, est-ce que tu m'écouterais?»»»
J'aurais envie de dire que cela vaut aussi pour les musulmans. Si les musulmans s'arrogent le droit de faire du prosélytisme dans des pays étrangers, la justice exige qu'ils acceptent que des étrangers (évangélistes, païens, bouddhistes, etc.) viennent faire du prosélytisme chez eux.
«««Nous étions un peuple sans lois, mais nous étions en très bons termes avec le Grand Esprit, créateur et maître de toutes choses. Vous présumiez que nous étions des sauvages. Vous ne compreniez pas nos prières. Vous n'essayiez pas de les comprendre; lorsque nous chantions nos louanges au soleil, à la lune ou au vent, vous nous traitiez d'idolâtres. Sans comprendre, vous nous avez condamnés comme des âmes perdues, simplement parce que notre religion était différente de la vôtre...»»»
Et voici, pendant qu'on y est, le témoignage d'un chef amérindien à un missionnaire chrétien qui ne manque pas de piquant:
«««Si j'allais, moi, dans ton île, parler contre la prière et chercher à te faire recevoir mes pratiques, est-ce que tu m'écouterais?»»»
J'aurais envie de dire que cela vaut aussi pour les musulmans. Si les musulmans s'arrogent le droit de faire du prosélytisme dans des pays étrangers, la justice exige qu'ils acceptent que des étrangers (évangélistes, païens, bouddhistes, etc.) viennent faire du prosélytisme chez eux.