Un policier a brulé sa femme

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corbier

noɯnoɯ ɐʎ ıuıu
Un policier du commissariat de Montpellier a été mis en examen jeudi pour l'"assassinat" de sa femme, dont il avait maquillé le décès en mort accidentelle dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé le procureur de la République de Montpellier.

Le cadavre de sa femme, elle aussi policière à Lattes, dans l'Hérault, avait été retrouvé calciné dans sa voiture dimanche soir, selon une source proche de l'enquête. Entendu dès lundi comme témoin dans cette affaire, le fonctionnaire de police avait d'abord évoqué une panne de leur voiture qui aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule. Mais une première autopsie du corps avait montré un taux mortel d'un somnifère et que la femme était décédée avant l'incendie, avait révélé le quotidien Midi Libre. La dose de somnifère retrouvé dans le sang de la victime correspondait à l'absorption de 9 à 12 cachets de zopiclone, a affirmé le procureur. "Lors de l'autopsie et des analyses toxicologiques, il a été retrouvé dans le sang de la victime un taux de 1,4 microgramme par millilitre (de sang) d'un somnifère", la dose létale se situant entre "0,6 et 3 microgrammes", a-t-il précisé.

Confronté aux résultats de cette autopsie, le brigadier à Montpellieravait par la suite assuré que sa femme s'était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu'il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle. Après ces déclarations contradictoires, la garde à vue du mari avait été prolongée. Le policier ne fournit "aucune explication plausible", a déclaré le procureur.

RIP
 
Un policier du commissariat de Montpellier a été mis en examen jeudi pour l'"assassinat" de sa femme, dont il avait maquillé le décès en mort accidentelle dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé le procureur de la République de Montpellier.

Le cadavre de sa femme, elle aussi policière à Lattes, dans l'Hérault, avait été retrouvé calciné dans sa voiture dimanche soir, selon une source proche de l'enquête. Entendu dès lundi comme témoin dans cette affaire, le fonctionnaire de police avait d'abord évoqué une panne de leur voiture qui aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule. Mais une première autopsie du corps avait montré un taux mortel d'un somnifère et que la femme était décédée avant l'incendie, avait révélé le quotidien Midi Libre. La dose de somnifère retrouvé dans le sang de la victime correspondait à l'absorption de 9 à 12 cachets de zopiclone, a affirmé le procureur. "Lors de l'autopsie et des analyses toxicologiques, il a été retrouvé dans le sang de la victime un taux de 1,4 microgramme par millilitre (de sang) d'un somnifère", la dose létale se situant entre "0,6 et 3 microgrammes", a-t-il précisé.

Confronté aux résultats de cette autopsie, le brigadier à Montpellieravait par la suite assuré que sa femme s'était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu'il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle. Après ces déclarations contradictoires, la garde à vue du mari avait été prolongée. Le policier ne fournit "aucune explication plausible", a déclaré le procureur.

RIP
c'est encore un arabe ?? :D:D
 
Un policier du commissariat de Montpellier a été mis en examen jeudi pour l'"assassinat" de sa femme, dont il avait maquillé le décès en mort accidentelle dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé le procureur de la République de Montpellier.

Le cadavre de sa femme, elle aussi policière à Lattes, dans l'Hérault, avait été retrouvé calciné dans sa voiture dimanche soir, selon une source proche de l'enquête. Entendu dès lundi comme témoin dans cette affaire, le fonctionnaire de police avait d'abord évoqué une panne de leur voiture qui aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule. Mais une première autopsie du corps avait montré un taux mortel d'un somnifère et que la femme était décédée avant l'incendie, avait révélé le quotidien Midi Libre. La dose de somnifère retrouvé dans le sang de la victime correspondait à l'absorption de 9 à 12 cachets de zopiclone, a affirmé le procureur. "Lors de l'autopsie et des analyses toxicologiques, il a été retrouvé dans le sang de la victime un taux de 1,4 microgramme par millilitre (de sang) d'un somnifère", la dose létale se situant entre "0,6 et 3 microgrammes", a-t-il précisé.

Confronté aux résultats de cette autopsie, le brigadier à Montpellieravait par la suite assuré que sa femme s'était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu'il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle. Après ces déclarations contradictoires, la garde à vue du mari avait été prolongée. Le policier ne fournit "aucune explication plausible", a déclaré le procureur.

RIP

Femme brûlée à Lyon: le frère soupçonné


AFP

09/07/2009 | Mise à jour : 10:32
Un jeune homme de 17 ans, soupçonné d'avoir tué sa soeur pour des raisons "d'ordre familial", avant de brûler son corps dans la cave d'une cité d'Oullins, dans la banlieue de Lyon, a été mis en examen jeudi pour "homicide volontaire", a-t-on appris de source judiciaire.

Le parquet de Lyon a requis le mandat de dépôt à l'encontre du jeune Mohammed, interpellé en début de semaine parce qu'il présentait lui-même de "sérieuses brûlures" aux jambes, pour lesquelles il avait des "explications farfelues", selon la même source. "Le mobile est pour l'instant assez obscur, mais il s'agit d'une famille avec des valeurs religieuses", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.

Selon cette source, le jeune Mohammed, décrit comme un garçon "violent" et "religieux", n'aurait "pas accepté le mode de vie de sa soeur aînée". Le corps calciné de la jeune femme de 22 ans d'origine maghrébine, avait été découvert le 1er juillet par des pompiers qui intervenaient sur un incendie volontaire dans une cave d'une cité d'Oullins.
La tête de la victime était recouverte d'un sac en plastique et un tuyau d'arrosage était enroulé autour de son corps, accréditant la thèse d'un homicide.

L'autopsie du corps avait notamment révélé que la victime avait eu un récent rapport sexuel avec son petit ami, selon la même source. Entendu par les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon, ce dernier avait toutefois été écarté de tout soupçon.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...0313-lyon-femme-bruleeson-frere-soupconne.php.


cherchez l'erreur!!! :rolleyes:
 
Le crime passionnel classique sans doute
elle voulait divorcé ou l'a trompé....

bref il a brulé le corps pour maquillé son crime classique...

Non non c'est aussi un crime d'honneur car elle voulait divorcé de lui et un crime Barbare aussi ne t'en déplaise Mr Biovibs.

Quand c'est Maurice = crime Passionnel

Quand c'est Mamadou ou Mohammed = crime d'honneur et crime Barbare.
 
Non non c'est aussi un crime d'honneur car elle voulait divorcé de lui et un crime Barbare aussi ne t'en déplaise Mr Biovibs.

Quand c'est Maurice = crime Passionnel

Quand c'est Mamadou ou Mohammed = crime d'honneur et crime Barbare.

quand c'est sa compagne ou son compagnon c'est souvent un crime passionnel, quand la victime fait partie de la famille proche c'est soi de l'inceste/mauvais traitement à enfant/ soit une haine filliale/ soit une question d'honneur de religion de reputation.

dans le cas du jeune garçon il semble qu'il ai suivie les avis peu aviser de certaine de ses relation.
dans le cas qui nous occupe ici le policier a tué sa femme avec premeditation.
 
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