Un policier tué par des braqueurs, l'ETA suspecté

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Un brigadier-chef de 52 ans a été mortellement blessé de deux balles peu après un braquage dans une zone commerciale située en limite de Dammarie-les-Lys et de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne), mardi en fin de journée. Il circulait à bord d'une voiture de police quand ses collègues et lui, intrigués par la manoeuvre d'un véhicule qui roulait à vive allure, ont décidé de contrôler les passagers.



Depuis 2002, seize policiers tués en mission


Les policiers ont été immédiatement pris pour cible par plusieurs tireurs arrivés derrière eux.

La victime, Jean-Serge Nérin, est décédée des suites de ses blessures une heure après l'attaque. En poste au commissariat de Dammarie-les-Lys, il était père de quatre enfants.

La photo du braqueur interpellé à la une des médias espagnols

Selon les premiers éléments de l'enquête, le crime s'est produit après le braquage d'un dépôt-vente de voitures d'occasion. L'un des malfaiteurs a été interpellé, tandis que les autres sont parvenus à s'enfuir. Le suspect, placé en garde à vue, aurait «été entendu s'exprimer en basque». Ce qui laisse penser qu'il s'agit d'un membre d'un commando de l'ETA. D'autant que plusieurs médias espagnols, citant des sources de la lutte antiterroriste, ont affirmé que le policier avait trouvé la mort dans un affrontement avec des membres présumés de l'organisation séparatiste basque.

A la une du site internet du quotidien «El Mundo», figure la photo du suspect arrêté, Joseba Fernández Aspurz.

Un très important dispositif policier était déployé cette nuit sur les lieux du drame. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, est arrivé au commissariat de Dammarie-les-Lys dans la soirée.




leparisien.fr
 
Un brigadier-chef de 52 ans a été mortellement blessé de deux balles peu après un braquage dans une zone commerciale située en limite de Dammarie-les-Lys et de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne), mardi en fin de journée. Il circulait à bord d'une voiture de police quand ses collègues et lui, intrigués par la manoeuvre d'un véhicule qui roulait à vive allure, ont décidé de contrôler les passagers.



Depuis 2002, seize policiers tués en mission


Les policiers ont été immédiatement pris pour cible par plusieurs tireurs arrivés derrière eux.

La victime, Jean-Serge Nérin, est décédée des suites de ses blessures une heure après l'attaque. En poste au commissariat de Dammarie-les-Lys, il était père de quatre enfants.

La photo du braqueur interpellé à la une des médias espagnols

Selon les premiers éléments de l'enquête, le crime s'est produit après le braquage d'un dépôt-vente de voitures d'occasion. L'un des malfaiteurs a été interpellé, tandis que les autres sont parvenus à s'enfuir. Le suspect, placé en garde à vue, aurait «été entendu s'exprimer en basque». Ce qui laisse penser qu'il s'agit d'un membre d'un commando de l'ETA. D'autant que plusieurs médias espagnols, citant des sources de la lutte antiterroriste, ont affirmé que le policier avait trouvé la mort dans un affrontement avec des membres présumés de l'organisation séparatiste basque.

A la une du site internet du quotidien «El Mundo», figure la photo du suspect arrêté, Joseba Fernández Aspurz.

Un très important dispositif policier était déployé cette nuit sur les lieux du drame. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, est arrivé au commissariat de Dammarie-les-Lys dans la soirée.




leparisien.fr


Eh ben dites donc, je croyais que c'était une blague car c'est chez moi !
C'est triste ça dites donc
 
Policier tué par l'ETA : l'Espagne veut que la France lui remette le suspect
C'est la première fois qu'un policier ou gendarme français est tué par l'organisation terroriste basque.

Le membre présumé de l'ETA interpellé mardi, en Seine-et-Marne, après la mort d'un policier français lors d'une fusillade, était déjà recherché en Espagne. Joseba Fernandez Aspurz fait l'objet de deux procédures devant l'Audience nationale pour des violences urbaines perpétrées par des groupes indépendantistes basques, en mars et septembre de 2008.

La justice espganole a formellement demandé à la France que le suspect lui soit remis. Par ailleurs, José Luis Rodriguez Zapatero et Nicolas Sarkozy se sont accordés mercredi au téléphone pour intensifier leur lutte contre l'ETA.

Les faits se sont produits mardi en fin de journée. Jean-Serge Nérin, un brigadier-chef de 52 ans, a été mortellement blessé de deux balles peu après un braquage dans un dépôt-vente de voitures d'occasion situé en limite de Dammarie-les-Lys et de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne). Ce mercredi, le parquet antiterroriste de Paris, qui s'est saisi de l'enquête, a confirmé l'implication de l'ETA. C'est la première fois qu'un policier ou gendarme français est tué par l'organisation séparatiste basque.

Un commando de six personnes, dont une femme

Peu avant le drame, vers 19 heures, un commando de six personnes, dont une femme, a fait irruption dans un dépôt-vente automobile. L'enceinte grillagée se situe au milieu des champs, au bord d'une route passante qui permet de relier notamment le grand centre commercial de Villiers-en-Bière. Sous la menace de leurs armes, les malfaiteurs font main basse sur six véhicules et repartent en trombe, laissant le gérant et son employé sous le choc.

Une voiture de patrouille du commissariat de Dammarie aperçoit alors un des véhicules volés qui s'engage à très vive allure sur une chemin rural, à deux pas du dépôt-vente. A bord, les quatre policiers ne savent pas encore qu'un braquage vient d'être commis, mais ils décident de rattraper le véhicule pour le contrôler. La scène se passe à hauteur du lieu-dit Fortoiseau, en bordure d'un bois. Une deuxième voiture arrive derrière les policiers, qui se retrouvent immédiatement pris pour cible. Bien que portant un gilet pare-balles, le brigadier-chef Nérin s'écroule, touché à deux reprises. Les projectiles l'ont atteint sous l'aisselle. Il décédera une heure plus tard. En poste au commissariat de Dammarie-les-Lys depuis trente ans, il était père de quatre enfants.

La photo du braqueur interpellé à la une des médias espagnols

Ses collègues parviennent à interpeller un suspect, tandis que les autres malfaiteurs prennent la fuite. Dans la nuit, cinq des six véhicules volés sont retrouvés, tout comme l'arme qui aurait atteint Jean-Serge Nérin. Il s'agirait d'un 357 Magnum de calibre 11,43 mm, dont le numéro de série avait été limé.

Le suspect, dénommé Joseba Fernandez Aizpurua (ou Aspurz), est un jeune militant basque espagnol. Au cours de sa garde à vue, il s'est exprimé en basque et, selon le parquet, «a fait part de son appartenance à ETA». Plusieurs médias espagnols, citant des sources de la lutte antiterroriste, ont publié la photo du principal suspect.

Un très important dispositif policier a été déployé mardi soir sur les lieux du drame. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, s'est rendu au commissariat de Dammarie-les-Lys vers 21 h 30, où il est «venu partager l'émotion des policiers».

Des policiers ont appelé à un rassemblement «spontané» mercredi à 18 heures devant le commissariat de Dammarie-Les-Lys (Seine-et-Marne), «dans la calme et la dignité», afin de se «recueillir» et «exprimer le ras-le-bol.
 
Je trouve que cette info n'est pas complète une fois de plus :
parce qu'ils ne disent pas si ce Joseba Fernandez Aizpurua porte la barbe ou pas et aussi cette femme elle était en burqa au moment des faits ou pas ?
 
Policier tué: suspects mal identifiés
AFP

Cinq hommes filmés par des caméras de surveillance d'un supermarché de Dammarie-les-Lys (sud-est de Paris) et présentés comme des membres présumés de l'ETA sont en fait des pompiers catalans en vacances en France, ont indiqué les médias espagnols citant le gouvernement catalan et les pompiers.

Selon le gouvernement régional de la Catalogne, cité par la radio nationale espagnole, les cinq hommes montrés sur les images sont des pompiers séjournant en France pour y pratiquer l'alpinisme.

L'agence espagnole Europa Press assure de son côté que les pompiers de Catalogne ont reçu des appels des familles disant avoir reconnu leurs proches sur les images. Un communiqué de la police espagnole vendredi a décrit les cinq hommes comme des "terroristes de l'ETA" et appelé la population à coopérer pour les identifier et les trouver".
 
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