Un racisme défensif

Un régime raciste a-t-il besoin de nouvelles lois ?
Après l’hérétique « démocratie défensive », voilà le « racisme défensif »

L’une des questions suscitées par cette quantité importante de législations racistes israéliennes actuelles consiste à savoir pourquoi et quel en est le but ? Cette question devient plus pressante encore à la lumière de la réalité clairement établie que le racisme d’Israël possède déjà tous les outils pour être pratiqué, aucun outil ne lui manque.

En tant que régime colonial et raciste dans son essence, Israël s’appuie sur les principes et les valeurs inclus dans les nouvelles lois proposées, et qu’il a toujours formulés sous la forme de démocratie et d’Etat de droit. La sociologie et les sciences politiques israéliennes ont été secourues par ce qui est appelé prototype de « démocratie défensive » soit le droit et le devoir du régime démocratique à se défendre et à défendre sa démocratie, ce qui signifie, dans le cas israélien, que la marge de la démocratie se rétrécit au fur et à mesure que la répression nationale et raciste augmente. La conception de démocratie défensive que propage l’académie israélienne, pour contourner le droit et justifier la répression, qui est même reprise par une infime partie des académiciens arabes, est une formule pour justifier, de manière précise, la conception sioniste de l’Etat juif démocratique.

Nous assistons actuellement au racisme défensif et non à la « démocratie défensive ». C’est une question importante, où l’Etat et le régime raciste sont globalement dans une situation de réaction envers l’évolution en cours au sein des Palestiniens de l’intérieur, avec l’élaboration d’une identité nationale et patriote, et une conscience qui en est issue, pour déterminer la nature du conflit avec l’Etat et la lutte pour le droit palestinien. Ce qui veut dire, d’une manière générale, que l’Etat est en recul, que l’arrivée du gouvernement de Netanyahou au pouvoir est un signe de faiblesse et non de force, mais cela ne diminue en rien les dangers et les défis, mais aide plutôt à comprendre l’équation générale du conflit.

http://www.aloufok.net/spip.php?article734
 
Un régime raciste a-t-il besoin de nouvelles lois ?
Après l’hérétique « démocratie défensive », voilà le « racisme défensif »

L’une des questions suscitées par cette quantité importante de législations racistes israéliennes actuelles consiste à savoir pourquoi et quel en est le but ? Cette question devient plus pressante encore à la lumière de la réalité clairement établie que le racisme d’Israël possède déjà tous les outils pour être pratiqué, aucun outil ne lui manque.

En tant que régime colonial et raciste dans son essence, Israël s’appuie sur les principes et les valeurs inclus dans les nouvelles lois proposées, et qu’il a toujours formulés sous la forme de démocratie et d’Etat de droit. La sociologie et les sciences politiques israéliennes ont été secourues par ce qui est appelé prototype de « démocratie défensive » soit le droit et le devoir du régime démocratique à se défendre et à défendre sa démocratie, ce qui signifie, dans le cas israélien, que la marge de la démocratie se rétrécit au fur et à mesure que la répression nationale et raciste augmente. La conception de démocratie défensive que propage l’académie israélienne, pour contourner le droit et justifier la répression, qui est même reprise par une infime partie des académiciens arabes, est une formule pour justifier, de manière précise, la conception sioniste de l’Etat juif démocratique.

Nous assistons actuellement au racisme défensif et non à la « démocratie défensive ». C’est une question importante, où l’Etat et le régime raciste sont globalement dans une situation de réaction envers l’évolution en cours au sein des Palestiniens de l’intérieur, avec l’élaboration d’une identité nationale et patriote, et une conscience qui en est issue, pour déterminer la nature du conflit avec l’Etat et la lutte pour le droit palestinien. Ce qui veut dire, d’une manière générale, que l’Etat est en recul, que l’arrivée du gouvernement de Netanyahou au pouvoir est un signe de faiblesse et non de force, mais cela ne diminue en rien les dangers et les défis, mais aide plutôt à comprendre l’équation générale du conflit.

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La démocratie fondée sur l'État de droit, s'oppose à l'État autoritaire dans lequel l'arbitraire d'un dictateur ou d'un tyran règnerait. Elle s'oppose aussi à un État chaotique ou anarchique dans lequel les lois seraient inexistantes ou bien ne seraient pas respectées, appliquées ou observées. De nos jours, l'État de droit suppose l'existence effective (même minimale) de libertés individuelles et collectives (liberté de croyance, d'association, d'opinion) et l'indépendance du pouvoir judiciaire vis-à-vis des pouvoirs politiques. Il suppose aussi des lois connues, publiques, appliquées par les forces publiques (police et tribunaux particulièrement) y compris à l'endroit d'elles-mêmes.


Israel est très loin d'être une démocratie fondée sur l'Etat de droit... :rolleyes:
 
il n y a pas de racisme ni defensif ni offensif.il y a le racisme tout court et il doit etre viollement combattu par tout les moyens.et par tout le monde .a bon entendeur.salut !!!
 
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