Un tribunal hollandais condamne trois hommes à la prison à vie pour meurtre suite à la destruction du Boeing de Malaysia Airlines vol MH17 a tué 298

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Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Lors de la détermination de la peine jeudi après-midi, les juges ont considéré comme prouvé qu’un missile russe était responsable du lancement. Ainsi, la Cour a confirmé pour la première fois les enquêtes des enquêteurs internationaux. En outre, le tribunal a condamné trois des quatre accusés à la réclusion à perpétuité pour meurtre.
La preuve en a été fournie par des années d’enquêtes menées par l’Équipe commune d’enquête (ECE), un groupe d’enquêteurs formé par les pays les plus touchés – les Pays-Bas, la Belgique, l’Ukraine, la Malaisie et l’Australie. (La Russie a toujours refusé de coopérer)
Elle est arrivé à la conclusion que l’avion a été abattu avec un missile russe du type Buk. Selon la plate-forme d’enquête Bellingcat, le système de lancement du missile provenait auparavant de Russie et a été ramené de l’autre côté de la frontière après que le MH17 ait été abattu.
À l’époque, la Russie avait un contrôle total sur les actions des séparatistes dans la région.

Le JIT a trouvé des preuves d’une destruction par des rebelles pro-russes non seulement dans le contexte de l’enquête sur les débris et les pièces de projectiles, mais aussi dans des conversations interceptées des séparatistes.
Dans ce document enregistré, les séparatistes parlaient de l'utilisation d’un système Buk russe et d’une destruction réussie. Ils ont supposé avoir frappé un avion militaire ukrainien.

Les accusés sont trois Russes et un Ukrainien séparatiste. À l’époque, les quatre hommes occupaient des postes élevés au sein des séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine : Igor Girkin était un officier du renseignement russe et commandant des séparatistes du Donbass, connu sous le nom de « Strelkov ».
Sergueï Doubinski est un ancien officier russe et adjoint de Guirkin, tandis qu’Oleg Poulatov était l’assistant de Doubinski.
Leonid Kharchenko, l’Ukrainien séparatiste, dirigeait une unité de combat dans la région.
Seul Oleg Pulatov était représenté au tribunal par des avocats – il est le seul à être acquitté.
Bien au chaud en Russie, les trois condamnés n’ont pas à craindre d’être extradés.
 
Lors de la détermination de la peine jeudi après-midi, les juges ont considéré comme prouvé qu’un missile russe était responsable du lancement. Ainsi, la Cour a confirmé pour la première fois les enquêtes des enquêteurs internationaux. En outre, le tribunal a condamné trois des quatre accusés à la réclusion à perpétuité pour meurtre.
La preuve en a été fournie par des années d’enquêtes menées par l’Équipe commune d’enquête (ECE), un groupe d’enquêteurs formé par les pays les plus touchés – les Pays-Bas, la Belgique, l’Ukraine, la Malaisie et l’Australie. (La Russie a toujours refusé de coopérer)
Elle est arrivé à la conclusion que l’avion a été abattu avec un missile russe du type Buk. Selon la plate-forme d’enquête Bellingcat, le système de lancement du missile provenait auparavant de Russie et a été ramené de l’autre côté de la frontière après que le MH17 ait été abattu.
À l’époque, la Russie avait un contrôle total sur les actions des séparatistes dans la région.

Le JIT a trouvé des preuves d’une destruction par des rebelles pro-russes non seulement dans le contexte de l’enquête sur les débris et les pièces de projectiles, mais aussi dans des conversations interceptées des séparatistes.
Dans ce document enregistré, les séparatistes parlaient de l'utilisation d’un système Buk russe et d’une destruction réussie. Ils ont supposé avoir frappé un avion militaire ukrainien.

Les accusés sont trois Russes et un Ukrainien séparatiste. À l’époque, les quatre hommes occupaient des postes élevés au sein des séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine : Igor Girkin était un officier du renseignement russe et commandant des séparatistes du Donbass, connu sous le nom de « Strelkov ».
Sergueï Doubinski est un ancien officier russe et adjoint de Guirkin, tandis qu’Oleg Poulatov était l’assistant de Doubinski.
Leonid Kharchenko, l’Ukrainien séparatiste, dirigeait une unité de combat dans la région.
Seul Oleg Pulatov était représenté au tribunal par des avocats – il est le seul à être acquitté.
Bien au chaud en Russie, les trois condamnés n’ont pas à craindre d’être extradés.
Bellingcat

Ah Ah ah ah ah ah


 
Lors de la détermination de la peine jeudi après-midi, les juges ont considéré comme prouvé qu’un missile russe était responsable du lancement. Ainsi, la Cour a confirmé pour la première fois les enquêtes des enquêteurs internationaux. En outre, le tribunal a condamné trois des quatre accusés à la réclusion à perpétuité pour meurtre.
La preuve en a été fournie par des années d’enquêtes menées par l’Équipe commune d’enquête (ECE), un groupe d’enquêteurs formé par les pays les plus touchés – les Pays-Bas, la Belgique, l’Ukraine, la Malaisie et l’Australie. (La Russie a toujours refusé de coopérer)
Elle est arrivé à la conclusion que l’avion a été abattu avec un missile russe du type Buk. Selon la plate-forme d’enquête Bellingcat, le système de lancement du missile provenait auparavant de Russie et a été ramené de l’autre côté de la frontière après que le MH17 ait été abattu.
À l’époque, la Russie avait un contrôle total sur les actions des séparatistes dans la région.

Le JIT a trouvé des preuves d’une destruction par des rebelles pro-russes non seulement dans le contexte de l’enquête sur les débris et les pièces de projectiles, mais aussi dans des conversations interceptées des séparatistes.
Dans ce document enregistré, les séparatistes parlaient de l'utilisation d’un système Buk russe et d’une destruction réussie. Ils ont supposé avoir frappé un avion militaire ukrainien.

Les accusés sont trois Russes et un Ukrainien séparatiste. À l’époque, les quatre hommes occupaient des postes élevés au sein des séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine : Igor Girkin était un officier du renseignement russe et commandant des séparatistes du Donbass, connu sous le nom de « Strelkov ».
Sergueï Doubinski est un ancien officier russe et adjoint de Guirkin, tandis qu’Oleg Poulatov était l’assistant de Doubinski.
Leonid Kharchenko, l’Ukrainien séparatiste, dirigeait une unité de combat dans la région.
Seul Oleg Pulatov était représenté au tribunal par des avocats – il est le seul à être acquitté.
Bien au chaud en Russie, les trois condamnés n’ont pas à craindre d’être extradés.

Des russes qui commettent des actes de terrorisme ? Nooooon, ca existe :) ?
 
Un peu plus complet:

Un tribunal néerlandais a rendu ce jeudi un verdict très attendu dans le procès de quatre hommes pour la destruction du vol MH17 de Malaysia Airlines au-dessus de l'Ukraine en 2014.
Trois des quatre hommes jugés, les Russes, Igor Guirkine et Sergueï Doubinski, ainsi que l'Ukrainien Leonid Khartchenko ont été « reconnus coupable » de meurtre et d'avoir joué un rôle dans la destruction d'un avion. Ils ont été condamnés à la perpétuité par contumace. Le Russe Oleg Poulatov a lui été acquitté.
Tous étaient accusés du meurtre des 298 passagers et membres d'équipage tués lorsque l'avion reliant Amsterdam à Kuala Lumpur a été touché au-dessus de l'est de l'Ukraine, tenu par des séparatistes prorusses, par ce que le parquet dit être un missile fourni par Moscou. Les trois condamnés l'ont été par contumace car les quatre hommes ont refusé d'assister au procès, qui a duré deux ans et demi.
« Le tribunal est d'avis que le crash du vol MH17 a été provoqué par le tir d'un missile BUK depuis un champ agricole près de Pervomaïskyi (dans l'est de l'Ukraine), tuant tous les passagers », a déclaré le juge président Hendrik Steenhuis. « Il existe une abondance de preuves à l'appui de cette conclusion », telle qu'un « fragment en forme de papillon du missile trouvé dans le corps d'un membre d'équipage » dans le cockpit, a-t-il expliqué. La cour a ainsi rejeté un scénario alternatif avancé par la
défense qui évoquait l'éventualité de l'implication d'un avion de chasse ukrainien.

Par ailleurs, les magistrats ont conclu que la République populaire de Donetsk était « sous le contrôle de la Fédération de Russie » au moment de la destruction du MH17. Ceci signifie que les accusés n'ont pas le droit de revendiquer l'immunité en tant que combattants dans un conflit international, car la Russie « nie encore à ce jour » avoir contrôlé la région à l'époque.

Longue quête de justice​

Les juges ont estimé que Igor Guirkinen, Sergueï Doubinski et Leonid Khartchenko pouvaient tous être tenus pour responsables du transport du missile BUK depuis une base militaire en Russie et de son déploiement sur le site de lancement, même s'ils n'ont pas appuyé eux-mêmes sur la gâchette. Il n'y avait pas suffisamment de preuves pour montrer que Oleg Poulatov, le seul suspect à avoir été représenté par un avocat pendant le procès, était impliqué, ont-ils déclaré.

Le procès représente la fin d'une longue quête de justice pour les proches des victimes, qui venaient de 10 pays, dont 196 Néerlandais, 43 Malaisiens et 38 Australiens. Le drame avait suscité l'indignation mondiale et entraîné des sanctions contre Moscou. Les célèbres champs de tournesol ukrainiens avaient été jonchés de corps et de débris, et certaines victimes, dont des enfants, étaient encore attachées à leur siège.

Ouvert en mars 2020 avec une triste lecture des noms des victimes, le procès dit du MH17 est devenu entre-temps un test pour les efforts visant à traduire en justice les auteurs de crimes de guerre en Ukraine depuis 2014.

Moscou continue de nier​

Igor Guirkine, 51 ans, ancien espion russe devenu le soi-disant ministre de la Défense de la République populaire séparatiste de Donetsk, était en contact avec Moscou pour obtenir le système de missiles, selon le parquet. Il a nié toute implication des séparatistes dans la destruction du MH17. Sergueï Doubinski, 60 ans, également lié aux services de renseignement russes, aurait été le chef du renseignement militaire des séparatistes, et aurait donné des ordres concernant le missile.

Leurs subordonnés, Oleg Poulatov, un ancien soldat des forces spéciales russes, et Leonid Khartchenko, 50 ans, qui aurait dirigé une unité séparatiste, ont joué un rôle plus direct dans l'acheminement du missile vers le site de lancement, selon le parquet. Moscou a nié toute implication dans le drame et a refusé d'extrader tout suspect, affirmant que ceci était illégal en vertu de la loi russe.
 
Les russes sont impliqués dans le Donbass depuis au moins 2014, voir avant et on voudrait me faire croire que l'Ukraine bombardait des civils innocents alors que la réalité était toute autre !
Dans le Donbass les russes complotent, intriguent, arment, certainement longtemps avant 2014
 
Bellingcat

Ah Ah ah ah ah ah


Donne toi la peine de lire le rapport et ensuite critique les points litigieux

 
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